Entrait

hasard semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier. Le destin ensuite agit par l'entremise du roi. b) Le rôle du narrateur Le narrateur souligne la fatalité : -dès le début, on va se centrer sur les deux personnnages : « qqun qui entrait »l.4, ce qqun est repris ensuite par « il reprit qqun ».Le narrateur répète ce « qqun » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseq. (l.7-8) »Si bien qu'il ... », (l.11-12) « tellement

semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier. Le destin ensuite agit par l'entremise du roi. b) Le rôle du narrateur Le narrateur souligne la fatalité : -dès le début, on va se centrer sur les deux personnages : « qelqun qui entrait »l.4, ce qelqun est repris ensuite par « il reprit qelqun ».Le narrateur répète ce « qelqun » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conseqence. (l.7-8) »Si bien qu'il ... », (l.11-12)

s’arrêta et les portes s'ouvrirent. Face à nous s'éleva un bâtiment immense plein de couleurs et de paillettes. À coté de la porte d'entrée se trouvait une pancarte où il était écrit «Meraviglia Land». Il faisait beau et chaud. Je suivais les autres et entrait dans ce bâtiment. A l'intérieur, des personnes nous accueillaient chaleureusement dans ce qu'ils appelaient «lycée». Je n'avais jamais vu une école pareil à celle-là auparavant. Elle était magnifique. Elle était composé d'un grand hall orné de balcons

semble absent. La princesse de Clèves cherche un cavalier. Le destin ensuite agit par l'entremise du roi. b) Le rôle du narrateur Le narrateur souligne la fatalité : -dès le début, on va se centrer sur les deux personnages : « quelqu’un qui entrait »(l.4), ce quelqu’un est repris ensuite par « il reprit quelqu’un ».Le narrateur répète ce « quelqu’un » pour le hasard. -insiste sur le fait que la rencontre est inévitable : proposition subordonnée de conséquence. »Si bien qu'il ... » (l.24), «

hommes. Impression de cyclicité mécanique (à la chaine). - "en se frottant les genoux et en s'étirant les bras" = pénibilité De temps à autre, on entendait des coups de fouet derrière la haie ; bientôt la barrière s'ouvrait : c'était une carriole qui entrait. Galopant jusqu'à la première marche du perron, elle s'y arrêtait court, et vidait son monde, qui sortait par tous les côtés en se frottant les genoux et en s'étirant les bras. - en vert : l'inconfort, côté péjoratif, le paraître - l'ironie de la

prisonniers aux français. E. Consequences Dès le lendemain de la bataille, Napoléon fait mander les officiers prussiens prisonniers et leur fait jurer de ne plus prendre les armes contre lui. L'armée prussienne, battue et humiliée, entrait dans le cercle des vaincus en Europe, rejoignant l'Autriche. Napoléon étant alors à l'apogée de sa puissance créa la Confédération du Rhin en accord avec les Etats allemands afin de les protéger des Russes. Par cette création, Napoléon détruit le

plus. Les hivers surtout les nettoyaient. S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid, les danses devant le buffet, les dîners par cœur, dans la petite Sibérie de leur cambuse. Ce gredin de décembre entrait chez eux par-dessous la porte, et il apportait tous les maux, le chômage des ateliers, les fainéantises engourdies des gelées, la misère noire des temps humides. Le premier hiver, ils firent encore du feu quelquefois, se pelotonnant autour du poêle

grosses gouttes sur ses joues, le noir de ses yeux coulait, elle arpentait cette salle, le parquet grinçait a chaque pas quelle faisait, la main sur le mur. Soudain d’un air fébrile elle tombait à genoux. D’un coup un homme vêtu d’un costume noir, entrait dans la salle, se dirigeait directement vers la femme, sans réfléchir, sans y mettre un moindre geste illustrant une incertitude, ses mouvements étaient fluides et sans ambigüité, il commença à crier : -« Elizabeth, relève toi je t’en conjure »

de ses amis. Plus jeune, il était insouciant et aimait la vie, mais maintenant, rien n’est plus comme avant à cause du front. Il n’est plus rempli de ses espérances de jeune de 20 ans, il a été rattrapé par la dure réalité de la guerre alors qu’il entrait dans l’âge où on aime la vie, où on nourrit ses rêves... Ces “amis” sont: -Katczinsky (Stanislas): Il a un silhouette anguleuse et penchée. Il est débrouillard et arrive toujours à trouver de quoi manger. Il est l’un des meilleurs amis de Paul

d'État, il faut deux années d'exercice, puis deux autres de formation supplémentaire à l'école, pour obtenir cette spécialisation. Un cursus plus long qui ouvrait la possibilité de partir à la retraite dès l'âge de 55ans. La pénibilité du métier entrait aussi en ligne de compte avec le droit «à une année de bonification au bout dix ans d'exercice». Or, ce régime particulier est menacé. Car le gouvernement prévoit la possibilité d'accéder au diplôme d'infirmier anesthésiste diplômé d'État (IADE) par