Entre chiens et loups

l'an passé. -Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né? Reprit l'agneau, je tette encor ma mère. -Si ce n'est toi, c'est donc ton frère. -Je n'en ai point. - C'est donc quelqu'un des tiens: Car vous ne m'épargnez guère, Vous, vos bergers, et vos chiens. On me l'a dit: il faut que je me venge. » Là-dessus, au fond des forêts Le loup l'emporte, et puis le mange, Sans autre forme de procès. Le loup timide Un agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un loup survint, timide et n'osant l'aventure

+ peu conventionnelle Périphrases pour la charogne  dégouter le lecteur Description de la décomposition de la charogne  odeur désagréable « putride » « exhalaisons »…. Evocation du corps Charogne pas entière  évocation de la chienne qui lâche un morceau Opposition entre « beau matin » et « charogne » a. Une description effroyable Adjectifs suscitants l’effroi  « horrible » « infâme » Registre épique  hyperboles ; images guerrière (métaphore) Verbes de mouvements impression de vie pour la charogne

jamais absolues. Crise de confiance Décalage entre les moyens techniques dont disposent potentiellement les malades et la mises en ouvre de ces moyens (impératifs économiques) = crise de la médecine Pour les profanes, crise de la médecine = éclatement prétendu du savoir médical Crise de communication : du fait de l'expansion des médias => besoin d'information mais amalgame entre découvertes scientifiques et application de ces découvertes, entre science et technique "Le savoir n'est jamais que

lecteurs. Le narrateur nous fait comprendre qu'il considère la race Humaine comme des animaux plus faibles en les comparants à divers animaux tels que des chiens, des chats, des loups et bien d'autres encore en nous rappelant qu'ils sont leurs : "confrères" l-3. Il cherche à pousser la réflexion des lecteurs concernant le niveau d'intelligence entre l'animal et l'humain, et ceci à travers le regard des animaux. En effet, il nous explique que même si les animaux chassent, ils ne s'entretuent pas contrairement

franche, mais ironique, de la guerre. En premier lieu, il convient d'expliquer que, dans son œuvre, La Bruyère se distingue nettement des animaux dénaturés qu'il décrit, c'est-à-dire du reste du monde. On voit donc apparaitre une distinction entre l'auteur, qui s'exprime à la première personne du singulier (“j'entends"; " je ne parle point”), et ses interlocuteurs, qu'il vouvoie (“ vous dites" ; " ne diriez vous pas"). La Bruyère se place comme être supérieur face au cruel reste du monde, et

b – Qu’ y-a-t-il à l’intérieur du récipient dans l’image A ? c – Pourquoi les poissons sont-ils hors du récipient ? d – Où se passe la scène dans l’image B ? e – La femme, le petit garçon et les deux chiens sont à la recherche de la petite fille. Pourquoi ? f – Que fait la petite fille entre-temps ? g – Un danger la menace. Lequel ? h – Que penses-tu de cette fillette ? Niveau : 1AM Projet1 : Le récit Séquence : 03 Domaine : Lecture

coups de pinceau 1. premier coup de pinceau : un scélérat immoral La description de Don Juan se fait à l’aide une longue phrase complexe sous la forme d'une série d’énumérations : « le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien » qui évoque son indignité, « un diable, un Turc, un hérétique » qui évoque le domaine religieux, « bête brute, pourceau d’Epicure, un vrai Sardanapale » qui évoque le domaine moral. Ces énumérations caractérisent Don Juan travers des évaluatifs négatifs

Bienvenue à Evil Wood. Anna est une jeune fille de 16 ans, et comme tous les jeunes de cet âge là, ce n'est pas toujours facile. Entre les amis, les garçons, les parents et les hormones qui y jouent pour beaucoup… Jeune fille modèle, héritière du trône de St-Julien de Notrivage, son adolescence stricte de petite princesse va être chamboulée lors d'une simple promenade en forêt… Un jour la reine Valence, sa mère, lui demanda d'aller promener Diamant, leur petite chihuahua, dans le bois d'à côté

paradigme de formes (nombre, genre/classe, personne, temps, aspect, mode, &c.). •  Le sens de chaque forme dépend des sens des autres formes faisant partie du même paradigme. 1 Catégories grammaticales et distinctions de sens •  Il faut discriminer entre les distinctions catégoriques obligatoires imposées par la grammaire (p. ex. nombre, genre) et les distinctions de sens facultatives (p. ex. quantité, sexe). •  Toute langue est douée de la capacité de représenter toute distinction de sens imaginable

meurt quelques heures plus tard, apaisée par la promesse qu’il lui a fait de s’occuper de l’enfant. Fou ? : Il l'observe endormie, il ne voit dans ses yeux que de l'indifférence. Il perd alors les pédales, et tente par tous les moyens de rallumer entre eux la flamme -en vain. Le temps avançant, il se rend compte qu'elle apparaît de plus en plus heureuse, ragaillardie et satisfaite alors que ses absences se multiplient. Un jour, fou de jalousie, il la suit et réalise que le plaisir qu'elle prend vient