Entretien d'un philosophe avec la maréchale de ***

Connaissance Objective » de Karl Popper : principales thèses et apports pour les recherches en gestion* Fabien BLANCHOT** Université de Paris IX Dauphine Correspondance : Fabien Blanchot Crepa Université de Paris IX Dauphine Place du Maréchal de Lattre de Tassigny 75775 Paris Cedex 16 Email : fabien.blanchot@wanadoo.fr * L’auteur remercie les deux lecteurs anonymes du présent travail pour leurs commentaires et suggestions

|- Sujet type II : [DM] | |- La mémoire, un mémoire, les|- La relation du texte et du | | |Le tome III des Mémoires de | |Mémoires : approche d’un |paratexte : le rôle des | | |guerre , présente-t-il une | |genre, les « Mémoires de |documents [S4] | | |vision objective de

de 1830 et à trois cents lieues de Paris que cette nouvelle fut écrite ; ainsi aucune allusion aux choses de 1839. Bien des années avant 1830, dans le temps où nos armées parcouraient l’Europe, le hasard me donna un billet de logement pour la maison d’un chanoine : c’était à Padoue, charmante ville d’Italie ; le séjour s’étant prolongé, nous devînmes amis. Repassant à Padoue vers la fin de 1830, je courus à la maison du bon chanoine : il n’y était plus ; je le savais, mais je voulais revoir le salon

ça la souveraineté divine, parce qu’un individu commandait tout le monde. Le fondement de l’exercice du pouvoir politique du Roi ? Le roi tirait ses pouvoirs de Dieu, et donc le fondement était théocratique, il représentait Dieu sur terre. Les philosophes se sont demandé si le fondement devait être religieux ? Grotius par exemple a voulu laïcisé l’exercice du pouvoir politique. Cette tentative embryonnaire de Grotius a été poursuivie par d’autres comme Rousseau qui lui parle de contrat social. On

de 1830 et à trois cents lieues de Paris que cette nouvelle fut écrite ; ainsi aucune allusion aux choses de 1839. Bien des années avant 1830, dans le temps où nos armées parcouraient l’Europe, le hasard me donna un billet de logement pour la maison d’un chanoine : c’était à Padoue, charmante ville d’Italie ; le séjour s’étant prolongé, nous devînmes amis. Repassant à Padoue vers la fin de 1830, je courus à la maison du bon chanoine : il n’y était plus ; je le savais, mais je voulais revoir le salon

Pretorius et Fabrice Nsemi, nous disons grand merci. Merci à « l’héritier du Léviathan », Joseph Tsuekila Mbumba, au jonassien Samuel Ngossa, au défenseur de l’altérité au sens lévinassien du terme, José Kabeya wa Kabeya ; et à tous les confrères philosophes et théologiens. Merci enfin de façon très particulière à mon cher frangin Gaëtan Bukonod, à son épouse Elisabeth Bukonod, à leurs enfants Gaëlie et Yannis Bukonod. L’oublie, dit-on, est la condition indispensable de la mémoire. Que tous ceux

Séquence 4 Mémoires de guerre Sommaire Introduction 1. Mémoires d’un rebelle 2. Quelle histoire raconte Le Salut ? 3. Les modalités du récit historique 4. Mémoires ou légende ? Le mémorialiste et son mythe 5. Histoire ou politique ? 6. Le Salut par l’écriture Annexe Lexique Séquence 4 – FR01 1 © Cned – Académie en ligne Introduction A Édition recommandée Nous nous reporterons dans ce cours à l’édition de poche : Charles de Gaulle, Mémoires de guerre, tome III, Le Salut : 19441946

comprendre l'engagement gidien pour LA cause et son apostasie presque simultanée ne peut se faire sans auparavant avoir déterminé la singularité du mouvement d'opinions qui porta Gide à se prononcer clairement pour la première fois de sa vie en faveur d'un projet politique. Ainsi, avant de s'engager plus loin dans la réflexion, il y a lieu tout d'abord de déterminer avec précision ce que l'on entend par le terme compagnon de route, spécialement dans la France des années trente qui nous concerne plus

droit », càd d’une réflexion (au second degré) sur les théories du droit. Il y a donc la nécessité tout à la fois de l’étude des théories du droit, et de celle d’une philosophie du droit. Etant donné que les théories générales du droit ont fait objet d’un autre cours (Introduction au droit), seule une « introduction à la philosophie du droit » va nous occuper ici. 1. Ce qu’est la philosophie du droit L’usage de l’expression « philosophie du droit » s’est répandu à partir du début du XXème siècle, notamment

société de l’époque. C’est à l’intérieur de cette aristocratie que se sont mises en place des relations personnelles, d’homme à homme, qui constituent la « féodalité » proprement dite : par le rite de l’hommage, un vassal se met sous la protection d’un seigneur plus puissant qu’il reconnaît comme son suzerain ; celui-ci lui accord un fief (le plus souvent, une terre) ou le garde à son service ou l’entretient, en échange de quoi le vassal lui doit le conseil et l’aide. Tous deux dont liés par un serment