Énumération

En quoi à travers ce poème engagé Louis Aragon rend-il hommage aux résistants ? Plan : I- Un poème engagé a) L’affiche rouge →seconde guerre mondiale = sentiment de tristesse et désolation (vers 15) →affiche comparé à une tache de sang → énumération vers 7 = résistance est diabolisé →propagande nazie dénoncé par l’auteur →vers 13 et 5 montrent l’échec du mensonge mis en place par la propagande b) La multiplication des voix →poète rapporte différente paroles : ↘la sienne : il s’adresse

encore maintenant de comme sa vie ce serait passé si elle n’aurait pas perdue cette parure ! 3. a) Il y a des phrases courtes et simples pendant les énumérations. Après les phrases deviennent plus longues avec des subordonnées. b) Il y a beaucoup de virgules et de points virgules dans les énumérations. Je pense que c’est pour souligner les énumérations. Il y a aussi un point d’exclamation à la fin du passage. Je pense que c’est pour vraiment exprimer la douleur de Mathilde. c) Anaphores : il y a

abondance de détails, de précisions. L'ensemble peut donner une impression de désordre, de grande abondance. 13.La gradation est une énumération ordonnée. On appelle gradation ascendante, une énumération ordonnée du terme le plus faible au terme le plus fort. La gradation permet de créer un effet de dramatisation. On appelle gradation descendante, une énumération ordonnée du terme le plus fort au terme le plus faible. IV) Les formes d'atténuation 14.L'euphémisme permet notamment d’atténuer l'expression

Iphicrate. Cléanthis commence en dénonçant le mépris et la maltraitance des maître dans une énumération de PSR : « qui nous méprisent […] qui font les fiers, qui nous maltraitent, et qui nous regardent comme des vers de terre ». Elle y ajoute l’hypocrisie en utilisant une hyperbole : « qui sont trop heureux dans l’occasion de nous trouver cent fois plus honnêtes gens qu’eux ». Elle finit ses accusations par une énumération en rythme ternaire en plus d’une hyperbole : « de n’avoir eu pour mérite que de l’or

donne l'idée de quelque chose de mou contraire à l'intelligence > montre qu’il ne se prends ni au sérieux ni pour un intellectuel. Exemple 2: dans le chapitre 11,Rabelais évoque la lubricité des gouvernantes >avec l ‘énumération des surnoms grossiers pour qualifier le sexe de Gargantua « L'une l'appelait mon petit fausset, une autre mon épine, une autre ma branche de corail, une autre mon bondon, mon bouchon, mon vilebrequin, mon piston, ma tarière, ma pendeloque

registre I : 1) Intro des perso 1- grâce au dialogue entre S. &Gusman (2 valets) et à la double énonciation, la scène expose naturellement et progressivement l’intrigue. 2- on nous renseigne sur la cour assidue de DJ envers Elvire (énumération+anaphore) ; injustices faites à E., à la société et à la religion. 2) S. cherche à impressionner G. par son langage : phrase latine, argmts convaincants (physique et moral) – la parole est un des enjeux de la pièce. 3) l’annonce du déroulement

Déroulement logique dans un style simple et précis - Illustration par l'exemple | Transmission d'un savoir Visée éducative et pédagogique | Épique | - Exaltation de prouesses et de personnages héroïques - Figures d'amplification (accumulations, énumérations, hyperboles, superlatifs, gradations...) - Vocabulaire générique et profusion de pluriels - Personnification des valeurs héroïques et des valeurs collectives - Champ lexical manichéen (la Bien, le Mal, etc.) | Susciter l'admiration du lecteur

Mme Tim est toujours placé dans la proposition principale. Les verbes attribués aux autres sont péjoratifs contrairement a ceux sur Mme Tim qui sont mélioratifs. Champs lexical de l'abondance très présent → « abondamment grand-mère », on a des énumération qui renforce cette idée d'abondance. L'auteur accorde donc une place centrale à Mme Tim dans son récit, il l'a divinifie et l'a place comme personnage centrale, incontournable du récit. Il lui accorde un pouvoir totale et les serveurs et les petits-enfants

soldats sont toujours sales et ont besoin ''de l'aide d'un camarade'' pour s'en sortir. Notre soldats montre aussi que la nuit peut se montrer fatal avec une énumeration des intempéris qui semble a une gadation ''la pluie, la neige, la gelée'' et qui ets la pour accentué l'atrocité de ces tranchées qui ets suivit ensuite par une nouvelle énumeration sur l'état des soldats ''on grelotte, on claque des dents, on bat la semelles''. Les soldats sont donc sales , malades et affaiblis et aussi choqués par ce

nécessaire à l'Homme:  « ils ont cambriolé l'espace qui était le mien/la coutume/ les jours/ la vie /la chanson /le rythme /l'effort [...]les mains/ le piétinement/ le sol. » Ainsi, cette énumération libératrice renforce le dramatique du poème qui permet de affecter le traditionalisme de la poésie. Cette énumération critique fortement l'impact culturel sur un individu à cause du déracinement et la séparation entre la poésie traditionnelle et les poésies moderne en forme. Cette critique permet de déterminer