Epargne Chez Les Classiques Et Chez Keynes

produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole,professeur de sociologie au Cégep de ChicoutimiCourriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca[->0] Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales"Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la BibliothèquePaul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à ChicoutimiSite web: http://bibliotheque.uqac.ca/| Cette édition électronique

monnaie : Depuis Aristote il est convenu d'attribuer à la monnaie trois fonctions. Ainsi la monnaie est-elle en même temps : • • • une unité de compte. un intermédiaire des échanges. une réserve de valeur. À ce propos, l'opposition entre classiques et keynésiens est grande, les premiers ne reconnaissent pas à la monnaie cette dernière utilité. Pourtant la détention de monnaie présente deux avantages par rapport à la détention d'actifs réels et financiers. 1) la monnaie est immédiatement

théorie générale de Keynes. Pour proposer une analyse de cette fonction qui joue un rôle essentiel, Keynes s'est inspiré de la démarche de Gurnot (1838) qui consiste à sélectionner dans les différents déterminants de la demande celui qui peut être associé à une évolution constante de cette demande. Cet élément est le prix, l'évolution du prix du bien déterminant une évolution continue également de la demande. Mais les niveaux de richesses influent naturellement sur cette demande. Keynes propose une démarche

qu’affirme la théorie néo-classique. Les ménages déterminent leur niveau de consommation en fonction du revenu disponible et de la propension à consommer ; l’épargne, partie non consommée du revenu, est donc également une fonction du revenu disponible (et non plus du taux d’intérêt). Compléments :  Théorie du cycle de vie de Modigliani : le comportement d’épargne d’un agent économique évolue avec le temps ; en effet, il fait varier le montant de son épargne dans le but de maintenir, tout

Smith annonce Taylor, sur ce plan, puisqu’une partie de cet accroissement proportionnel provient, selon lui, de " l’épargne du temps qui se perd ordinairement quand on passe d’une espèce d’ouvrage à une autre " et de l’ " accroissement d’habileté chez chaque ouvrier individuellement ", conséquences de la spécialisation des tâches. Mais il va beaucoup plus loin, puisqu’il y voit aussi l’effet de " l’invention d’un grand nombre de machines qui facilitent et abrègent le travail, et qui permettent à

d’un ensemble de connaissances pour mieux appréhender son environnement économique. partagée par les membres d'une communauté donnée. » = idée d'une matrice disciplinaire à un moment donné. Paradigme : groupe donné d'associations liées à un mot. Chez Kuhn le paradigme devient: " la constellation de croyances, valeurs, techniques, etc... Problématique générale : Quand et comment est née la pensée économique ? Quelle est la place des valeurs religieuses dans la construction de la pensée économique

variable réelle ou bien une variable monétaire ? Il s’agit là d’un débat principal qui oppose les deux grandes écoles : l’école classique et néoclassique d’une part et l’école keynésienne de l’autre. Le taux d’intérêt est le prix de la renonciation : * à la consommation pour les classiques; * à la liquidité pour les Keynésiens; Analyse classique : la conception réelle du taux d’intérêt Les auteurs libéraux les plus connus ayant traité du taux d’intérêt sont pour l’essentiel

influencera un ouvrage majeur, celui d'Alfred Marschall (néoclassique). On peut donc dire que les marginalistes sont les premiers néoclassiques et il y a un certain nombre de différences notables entre les néoclassiques avec la théorie classique. En effet les classiques avaient une vision de long terme avec une perspective dynamique dans laquelle étaient mis en avant les problèmes de l'accumulation du capital. Également ils avaient une vision de la croissance économique et du devenir général du système

principalement par les administrations publiques.de macde macde macde macde macde macde macQuels sont ces facteurs de production ? Les facteurs de production : ce sont toutes les ressources économiques qui entrent dans la fabrication d’un produit. Si les classiques distinguent trois principaux facteurs de production : la terre, le capital et le travail, Le facteur travail : c’est l’énergie humaine utilisée au niveau de l’unité de production. Le facteur travail correspond à la force de travail nécessaire à

l’arrivée du capitalisme comme le résultat du comportement des riches et par un rapport particulier au travail. Chez les protestants, il y a une idée de prédestination (aller au ciel ou non). Et la richesse accumulée est un indice de prédestination. On va passer de la consommation à l’épargne c’est-à-dire que les protestants ne vont pas tout dépenser mais épargner. Il est moralement positif de travailler. Or le travail n’a pas toujours eu cette connotation positive. En France