Epargne Chez Les Classiques Et Chez Keynes

(Prix et production, 1931) privilégie l’impact d’une variation autonome de la masse monétaire pour expliquer le cycle. Hayek s’est opposé à Keynes dans l’analyse de la crise des 1930s, car pour lui elle repose sur une insuffisance de l’épargne, alors que Keynes met au contraire l’accent sur l’excès d’épargne. I) Une filiation marquée par rapport aux classiques dans sa vision de la crise… A) L’adhésion à la loi des débouchés de Say et à la main invisible de Smith… Hayek s’inscrit dans la tradition

CONSOMMATION ET INVESTISSEMENT I. Deux visions opposées de la Consommation et de l’Epargne A. Keynes B. Les Classiques II. Investissement et épargne A. Définitions B. Causalité entre épargne et investissement III. Les conditions d’équilibre A. Niveau optimal d’épargne B. La fonction d’investissement INTRO Depuis la seconde guerre mondiale, l’état du capitalisme nous place dans une société de consommation

de la surproduction Chapitre 1 - Loi des débouchés selon les Classiques I Le cercle vertueux du capital Pour tous les classiques (fin du 18iè jusqu'au début du 20iè), sous réserve que le libéralisme prévaut, il existe un cercle vertueux d'accroissement des richesses: l'accumulation du capital engendre la croissance, qui augmente les revenus et donc le taux de profit, qui lui augmente l'accumulation du capital etc. Selon les classiques l'épargne est entièrement et immédiatement transformer en capital

représentation Classique de l’économie Principaux auteurs : Adam Smith, 1776, La richesse des nations David Ricardo Malthus Jean-Baptiste Say Le noyau dur de la théorie néoclassique se représente à travers un circuit, le circuit de l’économie classique. La question centrale que se posent tous les classiques c’est : comment accroître la richesse des nations ? Comment accroître le produit national ? comment accroître la production ? Eléments de réponses : l’accumulation du capital (le K chez les classiques

représentation Classique de l’économie Principaux auteurs : Adam Smith, 1776, La richesse des nations David Ricardo Malthus Jean-Baptiste Say Le noyau dur de la théorie néoclassique se représente à travers un circuit, le circuit de l’économie classique. La question centrale que se posent tous les classiques c’est : comment accroître la richesse des nations ? Comment accroître le produit national ? comment accroître la production ? Eléments de réponses : l’accumulation du capital (le K chez les classiques

La dépense intérieure 7 III. La conception de l'équilibre macro-économique chez les keynésiens: comptabilité nationale et politique économique 8 1. L'univers des keynésiens, une logique de la demande 8 2. Les déterminants de la demande globale 8 a) La fonction de consommation chez Keynes 8 b) La fonction d'épargne 9 c) La demande d'investissement 9 d) La demande d'exportation 10 3. La notion d'équilibre chez Keynes 11 a) Équilibre sur le marché des biens 11 b) Théorie du multiplicateur et

utiliser une démarche scientifique qui cherche à mettre dans un premier temps en valeur des données objectives, càd des rapports constants qui sont pour les unes des causes et pour les autres des conséquences. Par exemple la fonction de consommation de Keynes donne une réponse sur la propension à consommer. Il y a donc une corrélation entre le revenu d'une nation et sa consommation. Cela permet de construire les modèles, c'est-à-dire des représentations simplifiées de la réalité. La comptabilité nationale

KEYNES ET LE TAUX D’INTERET Pour les néo-classiques : Y= C+ S (revenu se réparti entre C et S, ce partage se fait selon le Ti) Ce partage se fait en fonction du taux d'intérêt, quand le taux d'intérêt augmente l'individu sera tenté de placer son argent plutôt que de le consommer inversement il sera tenté de moins épargner et plus consommer. Donc épargne fonction du taux d'intérêt, fonction croissante du taux d'intérêt. Sur le marché des capitaux le Ti va permettre de réaliser l'égalité

Revenu, consommation, épargne On peut constater des fortes inégalités de revenus, et une évolution de ces inégalités sur une longue période. il en ressort que les inégalité ne provienne pas uniquement du revenu professionnel. Ces inégalités sont aussi influencées par les mesures de l’état qui veut ou non les réduire. Les inégalité de revenu vont correspondre aux inégalités de consommation et d’épargne. I. Les revenus. Le PIB se définit comme la somme des valeurs ajutés. On distingue :

facilitation  des  échanges  ou  peut‐elle  être demandée pour elle‐même ?  Demande de monnaie :  §  Existe‐t‐elle ?  §  La monnaie est‐elle neutre ?  §  Elle n’intervient pas vraiment dans l’économie réelle ?  Thèse de la neutralité de la monnaie jusqu’à Keynes : presque plus de moyen de la puissance publique  pour intervenir dans économie. Mais si elle n’est pas neutre, alors elle justifie qu’il y ait une intervention  publique et donc la non séparation de l’économie publique et privée.  Là  où  la  puissance