Épargne retraite

INTRODUCTION : La faillite de la banque d’investissement américaine Lehman Brothers en septembre dernier a entraîné une crise financière planétaire touchant les grandes banques internationales sous l’effet d’un risque systémique repérable aujourd’hui à l’échelle internationale. La crise actuelle correspond en partie à une crise bancaire, tant les banques jouent un rôle de premier ordre sur les marchés financiers depuis la libéralisation des systèmes financiers opérée depuis près de trois décennies

relance. En diminuant le niveau de variables tels que les taux de TVA, les barèmes de l’IRPP (voir fiche 30) ou le taux de l’impôt sur les sociétés, l’État peut accorder un pouvoir d’achat supplémentaire et ainsi relancer la consommation et l’investissement, donc l’emploi. LES LIMITES DE LA POLITIQUE BUDGÉTAIRE DE RELANCE q Les « fuites » dans le circuit économique limitent les effets de la relance budgétaire Dès que l’économie s’ouvre sur l’extérieur, toute injection supplémentaire de fonds

possible de la consommation. Le taux d'intérêt devrait également influencer la décision d'épargne et donc de consommation. On peut penser a priori qu'une hausse du taux d'intérêt est néfaste à la consommation dans la mesure où les agents sont incités à épargner plus pour profiter d’un rendement supérieur. Il existe en réalité un second effet qui vient jouer en sens inverse. Si le taux d'intérêt augmente, les revenus du patrimoine augmentent mécaniquement. La hausse du revenu encourage la consommation au

l'Insee, le taux d'épargne des ménages français a atteint 16,8% de leur revenu disponible brut en 2011. L’épargne des ménages a gonflé de 17 milliards d'euros. Il s'agit d'un point haut historique. Jamais depuis 1983, les Français n'avaient eu une épargne aussi importante. Ce qui les classe parmi les fourmis les plus efficaces d'Europe. Une richesse très convoitée. En effet, l’épargne, qui est l’action d’épargner, d’être économe dans la dépense, de mettre de l’argent de côté dans un but particulier

avoir - 70 de consommastion obligatoire = il s’agit des depense de nourriture, loyer, s’habiller + deux trois truc obliger - 30 consommation dont : - 10 occasionnelles, non obligatoire - 20 en epargne Y = cY + sY .c = est la proportion a consommer .s = proportion a epargner L’épargne est une grandeur résiduelle .c + s = 1 .c = 1 - s .s + c = 1

comptedesretraitstrimestriels, à égauxchacun 12000DT. à Le premier retraita eu lieu le 01/l l/2007,Iedernier retraita eu lieu le 0ll0ZlZ0A9. Toutes opérations capitalisées tauxtrimestriel les sont au deZ,svo. calculerle solde compte du immédiatement après dernier le retrait. Exercice No5: Le $110112006, industriel acquis matériel fabrication, foumisseur a proposé un a un de le lui trois soluiions paiement de : paiement comptant 35 000 DT au de -.1) Acceptation deuxtraitesde 25 00 DT chacune, première de la échéant dans3

²Thèmes : L’activation de la clientèle interne Sujet : Comment réactiver une clientèle non active ou peu équipée ? Problématique : Seulement 45% des clients en portefeuilles sont vus dans l’année, nous allons voir ce que nous pouvons faire pour récupérer les 65% restant. 1 Pourquoi une baisse du stock clientèle d’actif puis 3 ans ? A) Un environnement en maturité et concurrentiel a. Un marché de la banque de détail en maturité b. Une concurrence accrue (banalisation du livret A, des cibles

respecter les critères d’éligibilité au risque d’être radiée. 40% des ordres proviennent de la bourse en ligne en temps réel. Administration (e/ses privées) Dépenses / Epargne →Banques Besoins de financement Obligations (administration) Dépenses / Epargne → Bourse Actions (Appel public à l’épargne) Valorisation : Rentabilité Rentabilité Risque Risque Un placement rentable est souvent risqué Un placement sûr est souvent

d’investissement et leur politique d’emploi 2. La consommation finale, moteur de l’activité [pic] 2. La fonction de consommation : consommation – épargne- revenu - propension moyennes et marginales… La consommation C est réellement fonction de : C : f( revenu, âge, patrimoine, nombre d’enfants, inquiétude/emploi, …) 1. Consommation, épargne et revenu Le revenu est la variable déterminante de la consommation C = f (revenu) Deux outils méthodologiques : - Propension moyenne à

individuels 1 Consommation et épargne : définition et formes 1.1 L’épargne 1.2 La consommation 2 Les déterminants de la consommation individuelle 2.1 La structure des préférences du consommateur 2.2 Les déterminants économiques 2.3 Les déterminants sociétaux 3 Les déterminants de l’épargne individuelle 1 Consommation et épargne : définition et formes 1 1.1 L’épargne