Éperon

suivent les uns à pied, les autres montés sur l'éléphant. A peine était−il sur son âne que cet animal tourne vers Cabul, au lieu de suivre la route de Cachemire. Son maître a beau tourner la bride, donner des saccades, serrer les genoux, appuyer des éperons, rendre la bride, tirer à lui, fouetter à droite et à gauche, l'animal opiniâtre courait toujours vers Cabul. Rustan suait, se démenait, se désespérait, quand il rencontre un marchand de chameaux qui lui dit: Maître, vous avez là un âne bien malin

deux survivants. » « La bataille fait rage et devient générale. / Le comte Roland ne fuit pas le danger. / Il frappe de l’épieu tant que résiste la hampe ; / après quinze coups il l’a brisée et détruite. / Il dégaine Durendal, sa bonne épée, / il éperonne son cheval et va frapper Chernuble, / il lui brise le casque où brillent des escarboucles, / lui tranche la tête et la chevelure, / lui tranche les yeux et le visage, / et la cuirasse blanche aux fines mailles, / et tout le corps jusqu’à l’enfourchure

sont composées de deux griffes (4). Entre ces deux griffes se trouve un coussinet recouvert de poils qui sécrète un liquide adhésif permettant aux fourmis de se déplacer sur des surfaces lisses et verticales.    L'étrille antenne (5), aussi appelée "éperon" sert à nettoyer les antennes des fourmis.    La glande mandibulaire (6) fabrique les phéromones d'alarmes permettant d'avertir la colonie d'un danger.    L'œil (7) a une utilité variable chez les fourmis. En effet, les fourmis peuvent être aussi

apogée : navires légers, manœuvrés à la rame, la rapidité et la maniabilité sont des atouts essentiels. Longue de 40 mètres environ, large de 5 à 6, elle est actionnée par trois rangs de rameurs (170 au total). La coque est munie à l'avant d'un éperon revêtu de bronze (étrave). On cherche d'abord à briser les rames du bateau ennemi, puis on l'éperonne sur le côté. Heurté par une trière lancée à pleine vitesse, le navire ennemi éclate avant de couler. - c’est de cette flotte de trières que

l'écurie» : J'attends que le printemps commande que s'en aille Vers le nord glorieux l'intrépide bleusaille Les 3 servants assis dodelinent leurs fronts Où brillent leurs yeux clairs comme mes éperons Un bel après-midi de garde à l'écurie J'entends sonner les trompettes d'artillerie J'admire la gaieté de ce détachement Qui va rejoindre au front notre beau régiment Le territorial

mourante. Oluf, le fils brun et blond d'Edwige la désolée, a vingt ans aujourd'hui. Il est très adroit à tous les exercices, nul ne tire mieux l'arc que lui; il refend la flèche qui vient de se planter en tremblant dans le coeur du but; sans mors ni éperon il dompte les chevaux les plus sauvages. Il n'a jamais impunément regardé une femme ou une jeune fille; mais aucune de celles qui l'ont aimé n'a été heureuse. L'inégalité fatale de son caractère s'oppose à toute réalisation de bonheur entre une femme

ses larmes. Cela lui fit ressouvenir de choses qu’il avait oublié, des détails qu’il n’avait pas remarqués, des démonstrations sincères lui semblèrent louches. Il lui revint dans l’esprit qu’un jeune homme, un espèce de fat moitié cravate, moitié éperons, lui avait fait la cour. Un soir, Jacintha l’avait appelé du nom de ce jeune homme au lieu du sien et qu’elle en avait parlé favorablement dans le monde à plusieurs reprises, et comme de quelqu’un qui ne lui déplairait pas. A cette idée, il entra

révélée dans la partie extérieure ouest de la galerie, les archéologues ont répertorié des grains carbonisés et des matériaux ferreux utilisés pour la construction (nombreux clous) comme pour les activités pratiquées (deux chaînons, un fer de lance, un éperon et des scories). La butte n° 1 présente une pièce unique ovale de 11 mètres par 9 sans foyer et dont le mobilier se réduit aux formes céramique habituelles et à quelques clous de fer, scories et une pointe de lance. Les dimensions réduites ajoutées

la porte de l’Anglais. Elle était fermée. Il y avait déjà quelque mouvement dans l’hôtel. Le jour se levait. Les valets d’écurie pansaient les chevaux dans la cour, et, du second étage, un officier descendait les escaliers en faisant résonner ses éperons. Il allait présider à cet intéressant travail, plus agréable aux chevaux qu’aux humains, et qu’en termes techniques on appelle la botte. Léon rentra dans la chambre bleue, et, avec tous les ménagements que l’amour peut inventer, à grands renforts

ressources ne lui ont bien sûr jamais permis de franchir la porte des magasins dont il parle pour se faire valoir. Et il n'a pas davantage bénéficié des conditions de vie réservées aux Français des classes moyennes, même s'il en parle avec enthousiasme, éperonné par la curiosité de ses jeunes auditeurs qui lui demandent inlassablement de leur parler de ce pays béni des dieux : « — Et la vie ? C'était comment la vie, là-bas ? — Ah ! La vie là-bas ! répondait-il, une vraie vie de Pacha ! Croyez-moi, ils