Épilogue

fantastique et surnaturelle, traversée de spectres, d'anges et d'esprits qui apportent des révélations au poète. L'angoisse alterne encore avec l'espérance mais c'est finalement l'espérance qui l'emporte. * A celle qui est restée en France : Épilogue composé de huit sections. Il est dédié à Léopoldine Hugo, la fille du poète morte noyée dans la Seine, qui occupe une place centrale dans ce recueil. A première vue, le recueil semble organisé selon un ordre chronologique. Mais Victor Hugo a faussé

petit peu en confiance. A mon avis, Tiberge représente ce que Des Grieux aurait été si il n’avait pas fait la rencontre de Manon. Il est le seul personnage de votre livre mon ami, auquel je ne trouve pas de défaut frappant. Je ne pourrais donc pas épiloguer sur son compte. J’aimerais parler en cet instant du père de De Grieux. Même si il n’est pas présent pendant tout le long du livre, il reste un personnage important. Si je me rappel bien, c’est à cause de lui que Manon se fait déportée, c’est exact 

le front comme s’il était étourdi) ? Le plan présenté sur le premier rabat aidera à se repérer en cours de lecture. On commentera le schéma du style ogival qui accompagne le plan. Feuilletage : Le livre est divisé en quatre parties suivies d’un épilogue. Comment sont matérialisées les sousparties dans le livre (par des paragraphes séparés par une astérisque) ? Parmi les illustrations, lesquelles comportent des allusions au Moyen-Âge (architecture, costumes, armes, etc.) ? En lisant la biographie

Léopoldine échappe au temps, comme les deux symboles d'immortalité qui ornent à tout jamais sa tombe. Ce texte (comme L'Albatros de Baudelaire, ou Le Dormeur du val de Rimbaud) présente l'originalité de pouvoir être lu différemment en fonction de son épilogue ou des connaissances que l'on a des motivations qui lui ont donné naissance. Supprimer les dix-huit derniers pieds permet de le lire comme un poème d'amour qui pourrait être dédié à une femme aimée et vivante, que le poète va rejoindre

ressemble au comportement de Louis)B. Confronte public seulement, confident, mais pas à sa familleEx : prologue, premiers mots de la pièce, s’adresse à lui-même, seul le public l’entend : « plus tard l’année d’après j’allais mourir à mon tour »Ex : épilogue : annonce mort, comme dans le prologue, seul à savoir, pouvoir double énonciation « Je ne reviens plus jamais. Je meurs quelques mois plus tard »C. Rempli de haine, empêche de fuir ou de se confronter, poids de sens sentiments et de sa crise personnelle

que les scélérats sont pardonnés et que les forces du mal sont neutralisées. -CALIBAN : « et je serai bien sage désormais pour obtenir votre grâce… Triple âne que j’étais de prendre cet ivrogne pour un dieu et d’adorer cet imbécile ! »V, 1 * Epilogue Les personnages quittent l’ile -PROSPERO : « maintenant, tous mes charmes sont détruits. Je suis réduit à ma propre force, je n’ai plus que la mienne, et elle est bien peu de choses » « Oh ! Puisque j’ai repris mon duché et pardonné au traitre

mon demi-frère aîné Sydney tandis que mon père sombrais dans l'alcoolisme, fléau qui étais très présente dans la music-hall londonien. L'absence de succès professionnel de ma mère et la maladie mentale qui la rongeais , plongea ma famille a sont épilogue. Je me rappelle qu'elle ce fut internée en 1894 puis encore qu'elle que année plus tard dans un hôpital psychiatrique moi et mon demi-frère fut confiés à l'orphelinat de Hanwell, dans la banlieue de Londres la première fois , puis je vécut avec mon

laitière naïve. I - La fable se décompose en deux temps fortement marqués: Le récit proprement dit (les 29 premiers vers), une morale longuement développée (14 vers). Le récit est construit comme un petit drame, comporte trois actes et un bref épilogue de deux vers. Vers 1 à 11 : présentation de Perrette (un portrait antipatique à l’imparfait brosse son apparence vestimentaire, le mobile de son voyage et ses pensées à compter du vers 12 à 21: puis on passe de la description du personnage un peu

final, évidemment mises en relief par l’amplification qui a précédé, par contraste. Par ailleurs l’antithèse formée avec « s’enfla », l’expression de la conséquence « si bien que » ajoutent une sorte de commentaire ironique bien savoureux à cet épilogue. 1°) La construction du récit Elle favorise le dynamisme de l’action. La situation initiale n’est pas développée : au contraire, le premier vers, qui est un vers court, lance directement l’action (« vit », verbe au passé simple). La simple

appercoivent un corps à la mer le corps du medecin. Chapitre 16: Ils sont donc rendu deux sur l'île. En allant chercher le corps du medecin Vera vole le revolver de Lombard et le tue. Elle a vaincu le tueur mais pris de folie elle va se pendre. Épilogue: Les policier se demandent comment le tueur a pu s'y prendre pour tuer dix personne sur une île. Le tueur explique son meurtre dans une bouteille jeté à la mer et espère qu'un jour quelqu'un la retrouvera il s'est suicidé après l'avoir écrite.