Équations de Friedmann

................ 10 Chapitre II : Généralité sur les Equations Différentelles Stochastiques II-1 Equations Différentielles Stochastiques .............................................................. 14 II-1-1 Equations différentielles stochastiques de type Itô ........................................... 14 II-1-1.1 Equations différentielles de type linéaire................................................... 14 II-1-2 Equations différentielles stochastiques réductibles .................

sociales, part avec plusieurs handicaps par rapport aux sciences de la nature. Nous les évoquerons à partir de trois questions : • Peut-on mettre les actions humaines en équations ? • Y a-t-il un parasitage du discours économique par les idéologies ? Mark Blaug, La pensée économique, Economica, 1981, page 354. Milton Friedman, The methodology of positive economics, 1953. Numéro 41 • Octobre 2006 Y a-t-il des lois en économie? La loi de Gresham, la loi de l’offre et de la demande, la loi

question des choix de consommation en intertemporel. La décision de consommation prend en compte les revenus de demain, et pas que du revenu courant. b) Franco Modiglani et le cycle de vie Il a utiliser les travaux de Fisher. c)Milton Friedman et la théorie du revenu permanent. a- Fisher et choix intertemporel Idée La consommation d'aujourd'hui dépend des revenus d'aujourd'hui mais aussi : des revenus de demain ( taux d'intêtet) des « envies » de dépenses de demain. Qu'est

l’intervention de l’Etat. Les deux principaux fondateurs sont Paul Samuelson et John Hicks. On cherche dans ce courant à concilier la macroéconomie keynésienne et la microéconomie néoclassique. Les idées de Keynes ont été traduites en quelques équations illustrées par un célèbre graphique (IS-LM) : Dans sa version de base proposée par Hicks, le modèle IS/LM comporte trois secteurs, ou trois marchés : celui des biens, celui de la monnaie et celui des titres, censé permettre aux décideurs de choisir

Le rôle de la monnaie et l’explication monétariste • Pour les auteurs néoclassiques et monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman, Prix Nobel d’Economie), l’inflation résulte d’une émission de monnaie trop importante. La justification de cette idée repose sur l’existence d’une relation économique, appelée « Théorie Quantitative de la Monnaie » ou équation d’Irving Fisher. Cette dernière s’exprime ainsi : M.v = P.Y ou M.v = P.T M représente la masse monétaire en circulation (demande de

information imparfaite ou a une mobilité imparfaite. Le chômage structurel appelle aussi le chômage naturel ou d’équilibre qui est d'abord lie aux structure de la production et les politiques monétaires et industrielles n'y peuvent rien. Pour M. Friedman le chômage naturel ne signifie pas que ce taux de chômage soit immuable, cela signifie qu'une politique monétaire ou budgétaire ne peut réduire. Il ne peut être réduit que par une formation adapte de la population active et par une offre suffisante

transaction (X) sur les marchés, pour que ce soit possible, il faut que le prix de chacun des biens multiplié par le volume de chacun des biens soit assuré par la monnaie. n Ʃ pi.xi = P.T , soit le volume global des transactions i=1 MV = PT équation de Fisher avec MV : capacité transactionnelle de la monnaie M : masse monétaire entendue comme la somme des moyens de paiements en circulation, elle ne dépend pas de autres variables. V : vitesse de circulation de la monnaie, nombre de fois sur la

temps : a tout le temps suivit les débats de son époque. Défenseur de l'étalon or, abandonne le bimétallisme défendu par ses professeurs. Fait une distension importante entre les différents moyens de change et introduit la monnaie bancaire dans son équation (alors très important avec développement de l'éco US). La variable M`est la plus importante de son modèle. Seule condition de son modèle : la vitesse de circulation doit être constante. A. Vila : (doctorant à l'EHESS) la théorie quantitative

battement du cœur — un prototype d'une approche contemporaine de la modélisation où "les schémas mathématiques unifient des réalités différentes mais isomorphes"[10]. La priorité donnée à la description formelle sur le phénomène, la non linéarité des équations, l'analogie directe entre domaines différents, et la vérification indirecte (par simulation des conséquences) caractérisent cette modélisation. Cette pratique modélisatrice qui ne suppose ni unité de la science ni réductionnisme mécanique va s'imposer

et 70. 1. L’analyse de la demande de monnaie de Milton Friedman. Renouvellement du courant de pensée car théorie quantitative de la monnaie de l’école de Chicago. S’appuie sur des travaux statistique. Friedman écrit avec Schwartz. a) La notion de patrimoine. C’est ce que l’on possède. Dans l’analyse Keynésienne on s'intéresse à leurs revenus et pas à la richesse qui est un stock, ils ont parfois des titres à revenu. Friedman dit que le comportement des agents dépend aussi de leurs richesse