Équations de Friedmann

constitué par une série d’équation alternées qui explique une variable a deux variables : les variables expliqué et les variables explicatifs. Les équations que l’on retrouve dans les modèles sont de plusieurs types Les équations de définition elle définie les variable Les équations technique parce quel nous représente la théorie les fonctions prix Les équations comportementale parce quel explique le comportement des agents économique Définition (identité), technique (fonctions prix), comportement

décroissante du taux d’intérêt Io = investissement autonome (qui ne dépend pas du taux d’intérêt) : investissement réalisé en fonction d’une demande prévue, si Io diminue, on prévoit une baisse de l’investissement. Paragraphe 3 : les équations de IS  A- rappel Deux équations de IS : consommation et investissement C = cY+Co ( c : proportion marginale à consommer) I= -br + Io C et I constituent les deux premiers éléments de la demande globale . C : Demande de biens de consommation, I : demande de biens

mathématique, accessible à une personne dépourvue de formation scientifique. C’est ce que j’ai essayé de faire ici et le lecteur jugera si j’ai réussi. On m’a dit que chaque équation incluse dans le livre en diminuerait les ventes de moitié. J’ai donc décidé qu’il n’y en aurait aucune. À la fin, toutefois, j’en ai mis une, la fameuse équation d’Einstein : E = mc². J’espère que cela n’effrayera pas la moitié de mes lecteurs potentiels. J’ai eu la malchance d’être atteint d’une maladie neuro-motrice (maladie

construction de l’HPE Prémices Précuseurs Classiques • Antiquites • Religion • Mercantilistes (XVème XVIIème siècle) • Physiocrates (XVIIIème siècle) • Smith (RDN 1776) • Ricardo • Malthus • Say NéoClassiques • Walras • Pareto • Arrow et Debreu • Friedman Kéynesiens • Nouveau Keynesiens (Stiglitz) Synthèse Marc Blaug, historien de la pensée économique, dit que : « le relativisme prend n’importe quelle théorie avancée dans le passé pour un reflet plus ou moins fidèle des conditions de l’époque.

numérotation particulier : – les numéros des pages du guide sont toujours précédés de la lettre G (exemple : page G-12); – les numéros des figures, tableaux et équations du guide sont précédés de la lettre G et, sauf pour cette section Introduction au cours, du numéro du module ou de la lettre A pour les appendices (exemples : équation G-2.2, tableau G-4.1, figure G-A.3). Le tableau G-2 illustre la structure d’un module du guide; la structure de l’ensemble du guide est clairement exposée par

taux de profit. Les prix de production permettent la redistribution de la plus value entre les branches de façon à assurer par définition un même taux de profit que le capital soit employé dans une branche ou dans une autre. [pic] Dans cette équation, les biens de production sont comptés en valeur travail et non selon leur prix. Même si la définition du système de taux de profit est discutable, l'analyse menée par Marx permet d'affirmer : ● l'égalité entre la plus-value totale dégagée

quantitative de la monnaie (les quantitativistes) : c’est une théorie qui base sa réflexion sur la quantité d’offres de monnaie en circulation dans l’économie. Elle considère que plus la masse monétaire est grande, plus elle générera de l’inflation. Deux équations valident cette hypothèse, que l’on doit à Irving Fisher (1867 – 1947) : M x V = P x T et (M x V) + (M’ x V’) = P x T o M x V = P x T ; avec M, la masse monétaire ; V, la vitesse de circulation de la monnaie ; P, le prix ; T, les transactions

proportion diminue. Cette loi eut d’importantes répercussions sur la construction des fonctions de consommation. Keynes est le fondateur de la fonction macro-économique en 1936 en cherchant des solutions à cour terme à la crise de 1929, il établit comme équation : Revenu = consommation + épargne. Soit que le fondement du comportement de consommation est stable et donc prédictible. Pour savoir la proportion moyenne ou le pourcentage de consommation dans le revenu, il énonce une loi de psychologie fondamentale

Arrow,Gérard Debreu), l'École des choix publics (James M. Buchanan, Gordon Tullock), les Nouveaux classiques (Robert Lucas Jr, Finn E. Kydland et Edward C. Prescott), l'École de Chicago (George Stigler, Gary Becker) ou encore les monétaristes (Milton Friedman). Les néoclassiques sont parfois appelés « néolibéraux ». Les œuvres fondatrices du courant néoclassique sont : Carl Menger, Principes d’économie (Grundsätze der Volkswirthschaftslehre, Vienne, 1871) William Stanley Jevons, Théorie de l’économie

réserves). L’offre et la demande de monnaie et le multiplicateur monétaire Si quantité définie de dépôt à vue on a une quantité de création monétaire x X dépôts à vue (x>1) L’offre et la demande de monnaie Si nous transformons la dernière équation : L’expression en gras est le multiplicateur. Comme [(c + θ (1-c)] est inférieur à 1, son inverse est supérieure à 1. Ce terme est appelé le multiplicateur monétaire. L’offre de monnaie est un multiple de l’offre de monnaie banque centrale