Ergol

alors son utilisation beaucoup trop dangereuse. Ainsi, pour que mon moteur-fusée fonctionne et soit sécuritaire, j’ai dû trouver une manière de contourner ces contraintes. Dans le passé, toutes les études réalisées sur l’utilisation d’ozone comme ergol l’utilisaient directement (ou des mixtures de ce dernier) pour faire fonctionner leurs moteurs-fusée, en revanche, pour mon projet, j’ai décidé de le générer directement à bord du moteur-fusée juste avant qu’il entre dans la chambre de combustion.

Wikipédia 7/10/2014 10/10/2014 Intéressant lumière http://fr.wikipedia.org Wikipédia 18/10/2014 7/11/2014 Intéressant aérospatiale http://fr.wikipedia.org Wikipédia 2/11/2013 14/11/2014 Intéressant Moteur-fusée à ergol liquide http://fr.wikipedia.org Wikipédia 9/4/2014 16/01/2015 Intéressant ergol liquide http://fr.wikipedia.org Wikipédia 17/12/2014 16/01/2015 Intéressant voyage interstellaire http://fr.wikipedia.org Wikipédia 7/12/2014 17/12/2014 Intéressant vitesse du son http://fr.wikipedia.org Wikipédia

décollage correspond à une combustion (clic) entre ces flux d’ergols dans les chambres de combustions, ils sont ensuite accélérés jusqu'à la vitesse du son par la tuyère de Laval[->1] (clic) et sont éjectés à grande vitesse par la tuyère[->2] (clic). Les ergols servent à fournir de l'énergie : ce sont des carburants et des comburants, ils sont composés d'éléments oxydant (comburant) : espèce chimique capable de gagner un ou plusieurs électrons mais aussi d’éléments réducteurs (carburant) : espèce chimique

égale de sens opposé). Le moteur du propulseur est un système autonome qui renferme les substances nécessaires à son alimentation, les ergols. Le mouvement du propulseur repose sur l’éjection de gaz en sens opposé par une force appelée «poussée». La force de la poussée en N est égale au débit de masse éjectée en kg/s multipliée par la vitesse d’éjection en m/s. Les ergols sont de deux catégories : les combustibles et les comburants. Les premiers sont des substances réductrices telles que l’hydrogène,

aussi appelés, dans ce cas-là, des ergols. En général, le moteur se sépare en deux parties: la première, située au-dessus, ou les deux ergols sont mélangés et ou la réaction chimique à lieu. On trouve ensuite une seconde partie située en dessous et nommée la tuyère, qui a pour rôle d’accélérer les gaz avant leur sortie afin que la fusée ait plus de puissance à son décollage, grâce à la troisième loi de newton, énoncé auparavant. Il existe deux types de moteurs à ergols. En effet, le premier est appelé

réaction appelé moteur-fusée constitué de deux parties principales : le réacteur et la tuyère. Dans le réacteur (dans la chambre de combustion), on injecte deux ergols (substance subissant des réactions chimiques et produisant de l'énergie) qui vont se consumer ensemble en générant de l'énergie (Par exemple de l'hydrogène et de l'oxygène). Ces ergols sont à peu près à vitesse nulle dans le réacteur. L'énergie nouvellement produite chauffe les gaz de combustion qui se dilatent. Or ils sont "prisonniers"

(Guyane), emportant à son bord le véhicule de transfert automatique (ATV) qui permet de ravitailler la station spatiale internationale (ISS). Au moment du décollage, la masse de la fusée est égale à 7,8×102 tonnes, dont environ 3,5 tonnes de cargaison : ergols, oxygène, air, eau potable, équipements scientifiques, vivres et vêtements pour l’équipage à bord de l’ATV. D’après http://www.esa.int/esaCP/Pr_10_2012_p_FR.html On se propose dans cette partie d’étudier le décollage de la fusée.

qu'il faut éjecter en grande quantité et à vitesse élevée, chaque étage de la fusée emporte son   combustible (qui brûle) et son comburant (qui fournit l’oxygène ou son équivalent nécessaire à la combustion). Combustible et comburant appelés aussi ergols brûlent ensemble dans une chambre de combustion. Les gaz acquièrent ensuite leur vitesse finale d’éjection par détente et accélération dans une tuyère. Cette vitesse est d’autant plus grande que la pression et la température de combustion sont élevées

échelles de production Le procédé électrolytique n’est utilisé industriellement de nos jours seulement si l’électricité utilisée est bon marché et/ou si l’hydrogène produit se doit d’être d’une puretée très élevée tel que celui utilisé dans les ergols dans le domaine de l’aéronautique (fusées Ariane par exemple). Les électrolyseurs industriels peuvent atteindre une puissance unitaire de plusieurs MW. Cependant actuellement la production d’hydrogène par électrolyse tend à se développer

quelques tonnes. Le comburant et le carburant sont nommés ergols. On en utilise deux types : les ergols solides, appelés plus communément la "poudre", qui est un mélange comprenant le carburant et le comburant, et les ergols liquides qui eux sont stockés séparément et n'entrent en contact que dans le moteur. Le premier type de propulsion est plus facile à mettre en œuvre en raison de la facilité de stockage mais est moins performant. Les ergols liquides sont plus puissants. Dihydrogène et dioxygène