Ernest Beaux

au d’un mémoire démontrant le bas taux de financement du Musée afin de faire modifier les normes d’attributions des subventions basées sur les surfaces d’exposition. 5. En octobre 1994, commercialisation du premier accessoire de la Collection beaux-arts regroupant un ensemble d’objets haut de gamme inspirés d’œuvres de la collection du Musée ou d’artistes. 6. Réaménagement du restaurant à l’hiver 1995. 7. Souligner les bons coups des employés et fais beaucoup de travail de motivation

: Le directeur général accomplit le rôle de régulateur et le rôle informationnel diffuseur. 13) En octobre 1994, afin d’accroître la rentabilité de la librairie-boutique, M. John R. Porter a commercialisé le premier accessoire de la collection Beaux-arts qui regroupe un ensemble d’objets haut de gamme inspirés d’œuvres de la collection du musée ou d’artistes qui y sont présentés. Question 2 : Le directeur général accomplit le rôle d’entrepreneur 14) Effectuer la location d’espaces dans

à la conceptualisation Son expérience de chercheur lui permet de concevoir un projet possible pour le Musée des beaux-arts de Montréal. Il est capable de prévoir les retombées possible de cette exposition. Il réussira son mandat comme prévu donc il a bien réussi à conceptualiser son projet. Compétences liées aux relations interpersonnelles Lorsqu’il applique au Musée des beaux-arts de Montréal, il dit avoir de la difficulté à quitter ses étudiants pour lesquels il est professeur d’histoire

avantages et inconvénient de chaque geste. Exemples: 1) En 1989, il met en branle un projet d'une exposition sur le mobilier d'époque victorienne au Québec au musée des beaux-arts de Montréal, qui fait appel à l'expertise d'une quinzaine de cherches œuvrant dans diverses disciplines. «En 1989, j'ai soumis au musée des beaux-arts de Montréal le projet d'une exposition majeure sur le mobilier d'époque victorienne au Québec qui faisait appel à l'expertise d'une quinzaine de chercheurs de diverses

domaine connexe à celui du milieu muséal. Cette direction démontre aussi que M. Porter a acquis les compétences d’envisager une organisation dans son ensemble. 6 Conceptualisation Occupation simultanée du poste de conservateur en chef du Musée des Beaux-Arts de Montréal et celui de professeur à l’Université Laval Ces expériences démontres la capacité de M. Porter à gérer plus d’un dossier de façon simultanée tout en étant efficace. Ceci nécessite une bonne vision globale et une excellente gestion

Musée des beaux des Arts Lincendie Kldkjls lzenksjen izheih kzne izhe zeh jzne jzabe jzeghb jebvr jzhgeh hrghzvh hjegrhevf djvrbyerv fhjfgeyv hegeh fhrgv f,huergv jghegvhd jgey bjduvb fjhddgf djryeb skrgyebv jxhueiryebfdhn, heuyebfd jbfb hshusbb firsyusgb yeiugfdb ejfdgdb fhjgduybr jkhudkjt ,ennbjidxbe rdhbhcxbf edfhdhd fhju ssdhsd sugshdg sy ugsuyg gdfgys ysg shv sudg ysgg yyu sg yg yb gydgsgy uidsu y suisuvhcbyds yydsgfi ys g fghg sigsy n ygsdfgv gi h ui b yiuf jn hu gy fj kh uf

autonomes du Musée. 6) Présente à différentes instances gouvernementales un mémoire démontrant que le Musée du Québec ne dispose pas des ressources financières suffisantes 7) En octobre 1994, commercialise le premier accessoire de la Collection beaux-arts 8) Commence la location d’espaces pour la tenue de congrès, de rencontres d’affaires et de mariages. 9) Met sur pied une fondation qui a pour mandat d’accroître la stabilité financière du Musée 10) Négocie une réduction du temps de travail

alors qu’il était professeur d’histoire de l’art ancien du Québec, il a eu le bonheur de former des étudiants et de les voir réaliser à leur tour de grands projets. 5- Compétences liées à la conceptualisation En 1989, il a soumis au Musée des beaux-arts de Montréal le projet d’une exposition majeure sur le mobilier d’époque victorienne au Québec qui faisait appel à l’expertise d’une quinzaine de chercheurs de divers disciplines. Peu de gens croyaient en ce projet pour lequel tout était à faire

Georges Bohy, un poète académicien Robert Goffin[2], deux professeurs d'université, Paul Demoor et Félicien Favresse, un futur président du Conseil d'Etat, Marc Somechaussen et un haut magistrat, Henri Simon. Ensuite, il s'inscrit à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles dans la classe de Constant Montald[3]. L'année suivante, il suit les cours de peinture décorative donner par se dernier. Il rencontre alors le peintre et poète Pierre-Louis Flouquet[4] et Jules Payro futur professeur d'Histoire de

Faculté des lettres (CELAT), à l’Université Laval, Québec. 7. En 1989, John R. Porter soumet au Musée des beaux-arts de Montréal le projet d’une exposition majeure sur le mobilier d’époque victorienne au Québec qui faisait appel à l’expertise d’une quinzaine de chercheurs de diverses disciplines. 8. En 1990, John R. Porter accepte le poste de Conservateur en chef du Musée des beaux-arts de Montréal tout en gardant son poste d’enseignant auprès de l’Université Laval à Québec. Lors