Erzurum

constamment manipulés par le pouvoir russe afin de maintenir le statu quo régional. La Révolution des roses et l’élection à la présidence de Mikheil Saakachvili (2003-2004), l’ouverture de l’oléoduc BakouTbilissi-Ceyhan et du gazoduc Bakou-Tbilissi-Erzurum ensuite, accélèrent le retournement géopolitique de la Géorgie vers l’Occident. Un «partenariat stratégique» est signé avec les Etats-Unis. Les liens avec l’UE et l’OTAN sont renforcés. La perspective d’une intégration future dans les instances euro-atlantiques

régulièrement décimés, la décimation est organisée le long de marches forcées dans les régions désertiques (maladies, épuisement, gendarmes et populations qui les tuent, viols massifs, assassinats et enlèvements, islamisation forcée.) Principal massacre à Erzurum, les déportés sont précipités dans l'Euphrate. Des témoins allemands et autrichiens savent ce qui se passe. Sur un million d'Arméniens qui vivent dans les provinces orientales, 800 000 sont tués. Ce peuple qui vivait là depuis 27 siècles a disparu

point de vue naïf d’un étranger sera fréquemment utilisé par les écrivains des Lumières : il offre un moyen habile et efficace de critiquer indirectement les travers de la société française. Avant d’arriver à Paris, alors qu’ils se trouvent encore à Erzurum dans l’empire ottoman, nos deux Persans sont informés par l’intermédiaire de Mirza d’un débat qui partage la cour d’Ispahan en Perse. Il s’agit de savoir quelle est la condition principale du bonheur dans une société : est-ce la satisfaction des besoins

qui se multiplient dans la région. Elle est déjà traversée par les deux pipelines Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC) (Long de 1765 km, il traverse l’Azerbaïdjan et la Géorgie pour aboutir au port méditerranéen de Ceyhan, en Turquie) et Bakou-Tbilissi-Erzurum (BTE). Le poids de la Turquie dans la région est renforcé par la concurrence entre deux projets : d'une part le projet Nabucco, soutenu par l'Union européenne qui pourrait prolonger le BTE jusqu'aux réseaux d'énergie syrienne et irakienne et ainsi

toujours dépendante aux sources énergétiques provenant de la Russie (le gaz) et du pétrole (Moyen-Orient, Iran). Dans ce cas-là, la Turquie est un centre d’intérêts considérable grâce aux corridors énergétiques qui passent par Bakou, Tbilissi, Ceyhau et Erzurum. D’autre part, il est vrai que seulement l’adhésion turque coûterait cher à l’Union, les estimations oscillent autour de 10 milliards euros. Certains jugent la Turquie encore peu économiquement développée car en 2008 l’inflation dans le pays était

d’origine turque, contre seulement 3% aujourd’hui), et à commercer avec eux (aujourd’hui encore, la Turquie est le premier client de la Géorgie et de l’Azerbaïdjan). La construction en 2006, du gazoduc Bakou (Azerbaïdjan) – Tbilissi (Géorgie) – Erzurum (Turquie orientale), qui double le tracé de l’oléoduc BTC, démontre l’importance du volet énergétique dans la politique extérieure turque. La Turquie souhaite jouir des hydrocarbures azéris, autant qu’être indispensable à leur exportation vers l’ouest

reste discret à propos de cela, ne voulant pas être accusé de coopérer avec l’Etat « sioniste » Le transport par pipelines est plus économique. A ce sujet, Israël pourrait profiter d’infrastructures déjà existantes. Le gazoduc BTR (Bakou-Tbilissi-Erzurum) achemine déjà le gaz du Caucase et de l’Iran vers la Turquie. A partir de là, le projet « Nabucco », dont l’idée a été lancée en 2002, prévoit de construire un pipeline d’Erzurum en Turquie jusqu’à Vienne en Autriche, permettant ainsi d’approvisionner

l’Azerbaïdjan.. La Géorgie et la Turquie fournissent à l’Azerbaïdjan ses principales voies d’évacuation vers l’Occident : évacuation des hydrocarbures de la Caspienne par la voie de l’oléoduc Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC) et du gazoduc Bakou-Tbilissi-Erzurum (BTE), ligne de chemin de fer reliant Bakou, Tbilissi et Kars en construction (qui doit être opérationnelle d’ici 2011). La Géorgie reste un partenaire essentiel de l’Azerbaïdjan dans la région, au-delà de l’évacuation des hydrocarbures, Tbilissi

militaires et les marchandises interdites. Pas de règlements ni de restrictions pour la réexportation, excepté pour les matériels militaires et les marchandises interdites internationalement23.Turquie: Adana Yumurtalik, ZF de l'Egée, Antalya, ZF d'Europa, Erzurum Eastern Anatolia, Gaziantep, Aéroport Ataturk d'Istanbul, Istanbul International Stock Exchange, ZF du cuir d'Istanbul, ZF d'Istanbul, Izmir Menemem-Leather, Mardin, Mersin, Kayseri, Rize, Trabzon, Samsun.Exonération d'impôts sur les sociétés, de

Lithosphère (couche externe de la terre) : elle est découpée en plaque rigide qui flotte en quelque sorte. Théorie qui va dire que les continents sont issus des mouvements de ces plaques. 60% du territoire est situé au-dessus de 1000 mètres (Erzurum : 1853m). Montagne la plus haute de la Turquie : 5137m : Mont Ararat Quelles conséquences pour les activités humaines ? 1ère conséquence : un pays qui est dominé par les montagnes et les hautes altitudes. 2 chaines de montagne : Au nord la chaine