Escherichia coli

Cosmétiques –Microbiologie - Instructions générales pour les examens microbiologiques NF ISO 21149 : Cosmétiques –Microbiologie – Dénombrement et détection des bactéries aérobies mésophiles NF ISO 21150 : Cosmétiques –Microbiologie – Détection d’Escherichia coli ISO 22717:2006 : Cosmetics –Microbiology – Detection of Pseudomonas aeruginosa NF ISO 22718: Cosmétiques –Microbiologie – Détection de Staphylococcus aureus Norme sur l'eau Circulaire DGS/VS 4 N° 2000-336 du 19 juin 2000 relative à la gestion du risque

souches bactériennes nous pouvions utiliser. Nous avons refait cette dernière expérience en utilisant des bactéries Escherichia coli (E.coli). 4ème expérience : Afin de mener à bien nos expériences nous avons utilisé les bactéries d’Escherichia Coli récupérées sur une boite de Petri de cellules souches. Nous avons eu besoin de : 4 boites de Petri + gélose Escherichia Coli Plusieurs pipettes stériles De l’alcool 90° Un bec bunsen De l’huile essentielle de thym Plusieurs étaleurs

donnent naissance a tous les autres plastes. Les étioplastes : Quad les plantes sont a l’ombre, les chloroplastes deviennent étioplastes, qui redeviennent au contacte de la lumière. III- Caractères distinctifs des cellules procaryotes. A- Escherichia Coli, un colibacille. Elle se trouve dans l’intestin. Elles ne sont pas pathogène, et sont de forme cylindrique. Elle possède :  Une membrane plasmique qui l’entoure, doublé extérieurement par une paroi dite bactérienne de nature très différentes

urinaires : 30,3%. Pneumopathies infectieuses : 14,76%. Infection sur site operatoire : 14,2%. Infection de la peau : 10,2%. Bacteriemie/Septicemie : 6,4%. Infection sur catheter : 2,8%. Autres infections : 7,6%. Les bacteries en causes : Escherichia Coli. Staphylococcus aureus. Pseudomonas aeroginosa. Ces 3 micro-organismes representent plus de 50% des micro-organismes isolés dans les infections nosocomiales.

sont variables Péritriche Lophotriche Entérobactéries Stenotrophomonas maltophilia Monotriche, amphitriche polaire Pseudomonas aeruginosa Les flagelles • Rôles – Mobilité – Chimiotactisme – Classification Exemple : E. coli O157H7 Les pili sexuels • • • • Peu nombreux (1 à 10 par cellule) Longs, creux et extrémités renflées Origine plasmidique (facteur F) Rôle dans les transferts génétiques orientés (conjugaison) • Certains bacteriophages s’y fixent spécifiquement

les techniques courantes de broyage. L’extraction et la purification suivent alors le même protocole. 2. L’ADN des procaryotes Le schéma de la figure I.2 résume les différents étapes de l’extraction et de la purification de l’ADN d’Escherischia coli, la bactérie la plus utilisée pour les analyses en biologie moléculaire. La lyse cellulaire utilise ici une enzyme : le lysozyme qui permet de dégrader la membrane cellulaire. La purification suit le même schéma que pour celle de l’ADN des eucaryotes

sera probablement possible de produire des molécules, car depuis 1970, les scientifiques savent modifier des micro-organismes dans le but de synthétiser des molécules. En 1978, un gène humain codant pour l'insuline est introduit dans la bactérie Escherichia coli, créant l’insuline humaine.

Correction du DM1 : les OGM. 2 pts de présentation de la copie 1) Donnez la définition d’OGM. (2 pts) En 1973, le premier OGM est fabriqué. Il s’agit d’une modification génétique d’une bactérie, Escherichia Coli. Peu après, en 1987, les premières cultures de plantes transgéniques ont lieu aux Etats-Unis. Un OGM est un organisme génétiquement modifié. C’est un organisme vivant dont on a modifié le matériel génétique par introduction d’un ou plusieurs gènes étrangers afin de lui conférer une ou des

maladies sexuellement transmissibles. Naturellement, le classement des Cinq pathologies correspond aux sous maladies en tête de liste dans différents groupes. On note à cet effet le choléra dans ces diverses formes, Infection entéro-pathogène à Escherichia coli, la Tuberculose de l'appareil respiratoire, la peste et évidemment la lèpre. Dans les parties suivantes, nous verrons ces maladies correspondent à un contexte spatio-temporel bien défini; ce qui implique que les faits pathogènes peuvent varier

d’origine fécale et ainsi de la présence possible d’organismes entéro-pathogènes. Risque : nausées, diarrhées. 4.4. Escherichia coli : C’est le principal membre du groupe des coliformes fécaux puisqu’on le retrouve presque toujours dans les matières fécales humaines, il peut alors être considéré comme un indicateur de la pollution d’origine fécale. Les souches pathogènes d’Escherichia coli entérohémorragiques qui provoquent des hémorragies intestinales, comme E col 0157 qui produits une toxine puissante