Escrime

vers  », «  mot » Champs lexicale de la poésie · «  Escrime  » : sa difficulté à composer en comparant son écriture à un sport de combat  · La comparaison commence implicitement dans la première strophe, en effet le poète pratique une «  fantasque escrime  » (v. 5) qui rappelle les «  traitsredoublés  » (v. 3) du soleil. ·

inquiétant. Les pluriels de ces lieux vont renforcer l'omniprésence de la violence du Soleil - « Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime » : apparition du poète mis en valeur par la 1ére pers. du singulier. Son but est de travailler, qui est montré par le verbe « exercer ». - « Flairant dans tous les coins les hasards de la rime »: rime sémantique avec » escrime » → montre que le travail de Baudelaire est un combat - « Trébuchant sur les mots comme sur les pavés » ; « Heurtant

familier- non formelle, reflète ses actions, brusque8 - “ si rudement sur eux, par surprise, qu’il les renversa comme une bande de porcs, frappant à tort et à travers à la vieille escrime”allitération en [r]- sonorité de la violence, leurs os qui se brisent sous la brutalité de FJean - harmonie imitative9 “à la vieille escrime”complément de manière - confirme la tonalité héroï-comique du passage dans la mesure où elle fait percevoir Frère Jean comme un chevalier, garant d’un ordre ancien9 à 13 - “cervelle”

la création poétique. Les verbes « flairant » (v6), « trébuchant» (v7) et « heurtant » (v8) témoignent de la difficulté de l’artiste à atteindre la réalisation poétique. Il compare, à l’aide d’une métaphore, l’activité poétique à une « fantasque escrime » (v5). Pour BAUDELAIRE, l’activité poétique est semblable à un combat inattendu. De surcroit, la création poétique peut être liée à l’aléatoire : « hasards de la rime » (v6), « heurtant parfois des vers » (v8). Le poète tel un promeneur avide de

vers 5,le poète apparait pour la première fois-> “je”-> se distingue comme un homme singulier, seul X en mouvement-> verbe d’action “je vais m’exercer”-> activité poétique vivante qui s’exerce en marchant-> périphrase “la fantasque escrime”B / POÉSIE DE COMBAT D’ÉPÉE, CONTRE LE LANGAGE ET LA VILLE-> animalisation du poète de manière méliorative -> acuité sensorielle= établir des correspondances poétique-> participe présent “flairant”-> poète assimiler au chiffonier->

précisément à la lisière, « faubourg » v1 mais aussi rural, « champs » et « blé » v4 au moment où le soleil est au plus haut (v3) =>La ville est décrite de façon négative. Vers5 : Apparition du poète « Je ». « Escrime »=> Le poète exerce une action violente et « fantasque escrime » est une métaphore pour la création poétique qui sort du classique (« fantasque »). Le poète est « seule », ce qui rend la recherche d’inspiration difficile. Vers 6 : Le poète utilise son flair « flairant » et les

siècle) : règle très compliqué, basé sur des savoirs physiques et mathématique (dont la géométrie). L’épistèmê de la ressemblance éclate dans l’argumentation de maitre paumier-raquettier Forbert.Partie 3 : Les arts académiques de la Renaissance (escrime, danse et équitation) :Académies = Écoles. Des étrangers viennent travailler dans celle-ci, de nouvelles pratiques physiques se développent. Formes de connaissances influence les livres académiques.L’escrime : académie de l’épée  maniement des armes

représentées sont ensuite l’escrime, le tennis, la natation, le cyclisme et la lutte gréco-romaine. Répartition par clubs 45 clubs accueillent les 75 sélectionnés dont 9 pour Lagardère Paris Racing (escrime, judo, tennis, natation, triathlon), 6 pour Levallois Sporting Club (5 judo et 1 escrime) et 5 pour l’US Créteil (athlétisme, badminton, cyclisme) Résultats La France remporte 34 médailles (11 or, 11 argent et 12 bronze). Elle se classe 7ème sur 79 pays représentés (classement or).

Soleil Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures Les persiennes, abri des sécrètes luxures, Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés, Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime, Flairant dans tous les coins les hasards de la rime, Trébuchant sur les mots comme sur les pavés Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés. Ce père nourricier, ennemi des chloroses, Eveille dans les champs les vers comme les roses;

paysage de ville et de champs, tous rassemblés par le soleil : «  Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés / Sur la ville et les champs (...) » (l.3-4), et parle de lui, poète, en comparant son activité,« Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime » (l.5 ) avec son entourage urbain ; « Trébuchant sur les mots comme sur les pavés » (l.7). Il compare également le poète au soleil « Quand, ainsi qu'un poète, il descend dans les villes » (l.17) et considère l'activité de ce dernier comme pareille