Esope Roseau

l'auteur des fables qui sont énormément connus. Elles sont variés au niveau des vers ( octosyllabe puis alexandrin ) ou encore au niveau des rimes ( rimes embrassées puis rimes plates ) . Il s'inspire principalement de deux fabuliste de l'antiquité : Esope & Phèdre . Ses fables sont toutes regroupées dans huit livres , le première livre étant publiée en 1668. Le but de la Fontaine est de faire passer des satires des être humains par le comportement d'animaux présent dans ses fables assez courtes

La Laitière et le Pot au Lait – Jean De La Fontaine Les Fables s’inscrivent dans le courant littéraire du classicisme et du baroque. Jean de La Fontaine a écrit celles-ci au XVIIème siècle, en s’inspirant du poète Esope mais en dédicaçant son recueil au Dauphin ; le but est d’atteindre le pouvoir royal incarné par la monarchie absolue de Louis XIV. Cette fable est intitulée, Perrette et Le Pot au Lait, et à partir de la narration d’une anecdote apparemment banale l’auteur va exposer de façon

Rien n’est si vain, si mal entendu, que la morale par laquelle on termine la plupart des fables ; comme si cette morale n’était pas ou ne devait pas être étendue dans la fable même, de manière à la rendre sensible au lecteur ! Pourquoi donc, en ajoutant cette morale à la fin, lui ôter le plaisir de la trouver de son chef ? Le talent d’instruire est de faire que le disciple se plaise à l’instruction. Or, pour qu’il s’y plaise, il ne faut pas que son esprit reste tellement passif à tout ce que vous

très souvent allégorique, rédigé en vers ou en prose, qui renferme des enseignements, dont on tire une morale pratique. Il constitue également un genre littéraire. L'Antiquité a connu deux formes essentielles d'apologue, les fables en prose du grec Esope (VIe siècle av. J.-C.), en vers du latin Phèdre (I° siècle ap. J.-C.) et les paraboles de l'Évangile. Les premières utilisent très souvent des animaux comme personnages. Les secondes mettent en scène des êtres humains à qui se trouve délivré un enseignement

des arguments avancés par Jean de La Fontaine et destinés à la défense du genre. La thèse du fabuliste passe par un récit imagé pour diffuser un message = argumentation indirecte = persuader - La Fontaine s’appui sur les fables du Grec Esope et du latin Phèdre et poursuit la tradition du récit imagé; il renouvèle ses fables ( nouveau P39 ) grâce à la versification et à la morale énoncée le plus souvent de façon explicite. La Fontaine donne une saveur à la fable, grâce à l’ajout d’un récit

d'une besace : il a destiné la poche de derrière à nos propres défauts, et celle de devant, la plus lourde, aux défauts d'autrui. DE là vient que nous ne pouvons voir nos vices ; mais nos semblables font-ils une faute, aussitôt nous les censurons. » Esope

également fait du règne humain, un lieu ou portait ses regards et ses critiques. Inspiré de la fable « La Mort et le Bûcheron » d’Esope, différentes transformations sont apportées → En quoi « La Mort et la Bûcheron » est-elle originale par rapports à Esope ? 1ère transformation LF utilise des mètres variés de longueur décroissante, 10llbes dans les 10 premiers vers puis 8llbes + 10llbes (v11-16) puis 7llbes → donne vie au récit par variations rythmiques et appuie le discours véhiculé puisque l’7llbes

dessins animés plaisent aux enfants car ils retiennent leur attention avec les formes, les musiques, les voix, le décor etc... On éveille les enfants, on les initie tout en douceur au monde et c'est ça le début de l'éducation. Tout commence avec Esope, VII-VIe Siècle avant J-C, il serait l'inventeur des fables. Corneil et Jean de la Fontaine le succède au XVIIe Siècle Chez Disney, pour rendre immortelles ces récits, ils ont simplement repris toutes les histoires qui ont bercé des millions d'enfants

I- Indications d'ensemble .Cette fable fait partie du livre 1er du Recueil de Fables de Jean de La Fontaine ; publication du livre 1er : 1668 ; sujet emprunté à Phèdre et à Esope .II- Analyse et distribution de la fable.C'est, comme la plupart des fables de La Fontaine, un véritable petit drame qui, - en dehors de la morale- comprend trois parties :1° Une exposition : l'agneau se désaltère ;2° Une première péripétie : arrivée du loup ;3° Une deuxième péripétie : discussion du loup et de l'agneau

propre avantage? (5) La Fourmi n'est pas prêteuse : Cest-là son moindre défaut. Quels sont les autres ? peut-être d'être carnacière, d'être armée d'un aiguillon très-piquant, qui la rend souvent incommode au voyageur. (6) Emprunteuse. Terme de mépris, qui prépare au dénouement. (7) A tout venant , comme on dit, à tout propos, sans règle et sans raison, à l'oreille du premier-venu. (8) Vous chantiez ? j'en suis fort aise, et à cette réponse de la Fourmi a essuyé des critiques, qui retombent