Espèce envahissante

Les espèces comme les individus naissent, se développent et s'éteignent. Aujourd'hui, le rythme d'extinction s'est accéléré de 1 000 à 10 000 fois, entraînant un appauvrissement du vivant. L'univers du vivant en danger Depuis toujours, l'Homme modifie l'environnement à son profit en le considérant comme une ressource inépuisable. Aujourd'hui, l'impact des activités humaines est tel qu'il préfigure une nouvelle vague d'extinction des espèces. La nature évolue à un rythme beaucoup trop lent pour

Les espèces comme les individus naissent, se développent et s'éteignent. Aujourd'hui, le rythme d'extinction s'est accéléré de 1 000 à 10 000 fois, entraînant un appauvrissement du vivant. L'univers du vivant en danger Depuis toujours, l'Homme modifie l'environnement à son profit en le considérant comme une ressource inépuisable. Aujourd'hui, l'impact des activités humaines est tel qu'il préfigure une nouvelle vague d'extinction des espèces. La nature évolue à un rythme beaucoup trop lent pour

le climat ou les ressources et contribuent aussi à préserver la biodiversité. Le concept de biodiversité | La Biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques. L'expression biological diversity a été inventée par Thomas Lovejoy en 1980 tandis que le

description des colonies est sa forme générale… De nombreuses espèces bactériennes forment des colonies rondes. Cependant d’autres donnent des colonies aux formes plus ou moins variées… Les quatres types de colonies que vous allez rencontrer en général, sont : [pic] [pic] [pic] [pic] RONDE IRREGULIERE EN ETOILE ENVAHISSANTE II Le relief Après la forme générale, il est important

sein d’une même espèce (diversité génétique), entre les espèces (diversité des espèces) et entre les écosystèmes (diversité écologique). - Diversité génétique : le patrimoine génétique d’un individu vivant, toujours différent de celui de ses congénères et de ses parents, lui confère des aptitudes différentes à s’adapter à des changements de son environnement (notamment ceux induits par le réchauffement climatique). La diversité génétique est donc garante de la pérennité d’une espèce. De même l’Homme

riche (plus de 450 espèces) avec 252 espèces qui sont endémiques à la Nouvelle-Calédonie, dont une soixantaine qui n’existent que dans ses fragments de forêt sèche. On y trouve notamment le badamier de Poya ou Terminalia cherrieri. Cet arbre, pouvant atteindre jusqu’à 15 mètres de hauteur, est localement réparti sur le littoral ouest de la Grande Terre entre Beaupé et Nékoro, dans la région de Poya d’où il tire son nom. On a aussi la Turbina inopinata ou Guirlande des bois, espèce endémique rare de

impact significatif sur la faune. Il est admis que ce sont les colons européens qui ont eu le plus d’impact sur les espèces natives d’Australie. Depuis leur arrivée, l‘exploitation directe de la faune locale, la destruction des habitats naturels, l’introduction de prédateurs exotiques entrant en compétition avec les espèces australiennes et surtout la chasse contre certaines espèces dites dangereuses tels les crocodiles ou les tigres de Tasmanie a été un véritable choc pour la biodiversité australienne

spécialistes de l’utilisation durable de l’Union mondiale pour la nature/Commission de sauvegarde des espèces (UICN/CSE-ESUSG), la Fédération des Associations de Chasse et de Conservation de la Faune sauvage de l’Union européenne (FACE) et le Conseil international de la chasse et de la conservation du gibier (CIC). Cette Charte aborde la chasse comme une forme d’utilisation et/ ou de gestion des espèces d’oiseaux et de mammifères terrestres en Europe orientée sur la consommation et sur les loisirs, dans

dont les cinq principales sont la destruction, la fragmentation et l’altération des habitats naturels ; l’introduction d’espèces exotiques envahissantes ; la pollution de l’environnement ; la surexploitation des espèces et le changement climatique. Ces pressions qui menacent l’équilibre global du système ont pour conséquence un rythme d’extinction des espèces (1.8 million connues en 2010) de 100 à 1000 fois supérieur au rythme de disparition normal ! Tous les milieux, même la nature « la plus ordinaire »

sur Terre. C'est la biodiversité spécifique. Au sein de chaque espèce, on constate qu'il existe un autre niveau de biodiversité : la biodiversité génétique, c'est-à-dire la diversité des allèles d'un individu à l'autre. Ainsi, différents humains posséderont les mêmes gènes, mais pas les mêmes allèles de ces gènes. Le troisième niveau est la biodiversité des écosystèmes ; il correspond à la diversité des milieux de vie, incluant les espèces qui les habitent et toutes les relations qu'elles ont entre