Espèce envahissante

d'engrais ou de traitements chimiques permet à de nombreuses espèces d'accomplir leur cycle de développement, à l'exemple de la chicorée sauvage, du coquelicot ou la molène. Ces milieux accueillent également de multiples espèces d'insectes et des reptiles. D'autres plantes, comme le grand plantain ou la renouée des oiseaux trouvent un refuge de choix dans les espaces piétinés tels que les chemins de terre ou les parkings non revêtus. Ces espèces, dites pionnières, profitent de l'absence de compétition

responsable de la disparition des abeilles, ainsi que le varroa, un acarien, et un virus IAPV -Des espèces invasives(également appelé envahissante sont des espèces non originaires dans l’écosystème dans lequel elles ont été déplacées, intentionnellement ou par inadvertance.), notamment des colonies de frelons asiatique, ont également de lourdes répercussions pour l'apiculture française. Cette espèce se nourrit des abeilles, les attaque en plein vol ou siège à l'entrée des ruches, obligeant leurs habitants

inspirations: l’histoire de l’art de l’artiste: Les théoriciens du transformisme: Théorie biologique del'évolution des êtres vivants par transformations Théorie de l’évolutionnisme : Basée sur le fait que les espèces actuelles descendent de formes anciennes Auteurs de références: Lamark: Les individus s'adaptent à leur milieu. Si les conditions climatiques, géologiques, changent durablement les êtres vivants transforment leur corps (mais

Résumé : L’Homme est devenu le vecteur essentiel du déplacement des espèces hors de leur écosystème par la mise en place de nouvelles voies de communication. Ces espèces introduites devenant pour certaines envahissantes posent des problèmes au niveau de la biodiversité. Corbicula fluminea, mollusque filtreur d’eau douce, originaire d’Asie, importé en France par les ballasts des bateaux s’est répandue dans la quasi-totalité du réseau hydrogéographique français. Egalement racleur, ce mollusque pourrait

d’habitats ou des espèces pour lesquelles elles ont été désignées 2 - La stratégie globale pour la conservation des plantes Développée dans le cadre de la convention sur la diversité biologique (CDB) la stratégie globale pour la conservation des plantes (SGCP) engage les Etats membres à développer différents objectifs allant dans le sens de la conservation des plantes et du maintien des usages et savoirs-faire traditionnels. Elle concerne les espèces sauvages, mais également les espèces cultivées. Les

biodiversité ?La biodiversité, contraction de biologique et diversité serait donc la diversité biologique. Mais encore ? Elle est bien plus que la liste et la description des espèces vivantes qui peuplent notre planète. Étudier la biodiversité, c’est chercher à mieux comprendre les liens et les interactions existant entre les espèces et avec leurs milieux de vie. Un concept complexe mais indispensableL’usage du mot biodiversité est donc relativement récent mais la biodiversité est, elle, très ancienne

puisqu’il dégrade la biodiversité en chassant excessivement (ex: la baleine de Minke), en introduisant des espèces envahissantes, de par la déforestation mais également de par l’augmentation de l’agriculture intensive. Mais l’Homme la préserve quand même en réhabilitant des milieux de vie (création de récifs artificiels), en créant des parcs nationaux et régionaux, en réintroduisant certaines espèces mais également  par le biais d’organisation tel que Greenpeace par exemple, mais aussi par des traités

Biodiversité passée La biodiversité désigne toutes les variations du monde du vivant. Elle peut être observée sur trois niveaux avec les biodiversités spécifique, concernant les différentes espèces, génétiques, comprenant des allèles variées, et des écosystèmes. Si la vie est apparue il y a 3.8 milliards d’années, on peut considérer que la biodiversité est apparue il y a 2.1 milliards d’années, en même temps que les premières formes de vie complexes (multicellulaires) et s’est développée il

à la lutte contre la désertification. CONCLUSION Au terme de cet exposé une conclusion s’impose. L’avertissement est clair : les hommes sont devenus si nombreux sur notre planète, et leurs systèmes socio-économiques si envahissants, qu’ils en arrivent à détruire d’autres espèces inestimables et irremplaçables ainsi que leur milieu de vie à un rythme sans précédent. En fait les activités humaines sont en partie à l’origine de la dégradation de la surface des terres cultivables. Cependant comme

termes de diversité des espèces et des habitats; si la variabilité génétique des espèces végétales très répandue est également augmenté dans ces domaines exige une enquête plus approfondie. Surtout dans les régions alpines, les herbes transgéniques pourraient éventuellement causer des changements profonds dans la structure communautaire. Évaluation des risques écologiques des communiqués de culture transgénique ne doit pas seulement tenir compte des effets négatifs sur les espèces non-cibles et les écosystèmes