Espèce protégée

Biodiversité: - Montrer qu’elle évolue à la cour du temps (livre). La dérive génétique est l'évolution d'une population ou d'une espèce causée par des phénomènes aléatoires, impossible à prévoir. Du point de vue génétique, c'est la modification, d’une génération à une génération, de la fréquence d'un allèle, ou d'un génotype, au sein d'une population, indépendamment des mutations, de la sélection naturelle et des migrations. Les effets de la dérive génétique sont d'autant plus importants que

souligne l’absurdité de la guerre. Ici, l’homme est comparé à plusieurs espèces animales, un procédé aussi utilisé par Jean de La Fontaine dans ses fables. Nous étudierons aussi l’ironie très présente dans ce texte. Ce texte dénonce la guerre et ceux qui la font, l’auteur fait la « morale » aux hommes, il s’adresse à eux comme pour les réprimander. Il utilise souvent les animaux comme comparaison, cette mise en relation avec des espèces dotées d’une intelligence « inférieure » prouve que La Bruyère considère

le génome d’une espèce, un ou plusieurs gènes issus d’une autre espèce. Comment les différentes espèces réagissent-elles à ces modifications ? Certaines espèces s’épanouissent dans ces zones modifiées mais d’autres fuient pour aller vivre ailleurs. Exemple : la déforestation entraine certaines espèces sauvages à changer de milieux. Partie 2 : Animaux, plantes, écosystèmes :l’érosion en cours du monde sauvage Comment sont inventoriées les différentes espèces sauvages ? L’inventaire

facilement que le sol a été retourné, désherbé ou qu'il ne présente pas de flore naturelle qui concurrencerait son avancée. Ce pollen est l'un des plus allergènes connus et il peut réaliser des réactivités (allergies) croisées 5 avec les pollens d'autres espèces de pollens armoise, mais aussi pissenlit, chrysanthème, cyprès, bouleau, fléole des près etc. ou avec certains aliments comme le (miel, cucurbitacées : melon, pastèque, concombre, banane, céleri, kiwi, litchi, pêche, kaki). Le latex d'hévéa est aussi

A. Deux théories : le créationnisme et l’évolutionnisme La théorie créationniste estime que les espèces animales et végétales ont été créées subitement dans leur état actuel, qu’elles sont le fruit de Dieu qui les auraient façonnés ainsi que le prétend la Genèse. Cette théorie s’oppose à la théorie évolutionniste et donc scientifique de Darwin. Cette théorie qui explique l’évolution des espèces postule « une lente modification des formes, selon un processus élaboré par la pression et la pratique

pu l’apercevoir, si ce n’et la future victime ou quelqu’un de sa famille. » 7/ Je penche pour la légende car c’est beaucoup plus poétique. De plus je pense qu’on ne connaît pas encore toutes les espèces qui vivent dans nos océans notamment dans les profondeurs. Peut-être existe-t-il quelques espèces de grande taille à allure un peu monstrueuse, comme les calamars géants. Ce récit m’a beaucoup plu car j’ai aimé le courage de Stefano qui malgré la malédiction et sa peur du K, a fini par l’affronter

utilisant la méthode interjuges (plusieurs observateurs). • Les comportements d’auto-exploration sont plus rapides chez certaines espèces de singes que chez d’autres. • le test du miroir a été appliqué à un grand nombre d’espèces, ce qui pose le problème de la validité : • est-il pertinent d’utiliser un test créé pour p p l’homme et le chimpanzé sur d’autres espèces ? • si ces échecs sont de vrais échecs (absence de la conscience de soi) ou bien un problème méthodologique (absence de la capacité

« la totalité de toutes les variations de tout le vivant » Selon les scientifiques, la biodiversité est la dynamique des interactions dans des milieux en changement. Elle se décline en diversité écologique (les milieux), diversité spécifique (les espèces), et diversité génétique. Cette définition met en évidence deux notions essentielles : 1. la biodiversité c’est « tout le vivant », donc l’homme en fait partie. 2. la biodiversité c’est la dynamique des interactions. Or si l’on parle maintenant

l'homme ou après leur avoir échappé, c'est ce qu'on appelle le phénomène du marronnage. Ces animaux se réadaptent très facilement à la vie sauvage. Il ne faut pas confondre leur situation avec celle des espèces comme le tarpan et le cheval de Przewalski, qui n'appartiennent peut-être pas à la même espèce que le cheval, et n'ont jamais été domestiquées. Les mustangs américains forment la population de chevaux sauvages la plus connue, mais des chevaux sauvages se trouvent sur tous les continents : Le

1) Le texte de ROUSSEAU part du principe ou si il n’y avait pas de culture les hommes ne seraient pas différent entre eux .La présence d’une culture permet donc une population varié même avec une culture commune suivant leur mode de vie, leur valeur ou même leur éducation qui on forgé leur caractères. Rousseau présente plusieurs arguments tels que notre tempérament vient souvent de la manière dont on a été éduqué et que si nous étions à l’état sauvage il n’y aurait pas autant de différence. Selon