Espoir Et Désespoir

est né en 1799 à Tours. Il est l’auteur de 91 ouvrages et a créé plus de 2000 personnages. Dans ce livre l’auteur nous parle d’un homme nommé Raphaël de Valentin qui a tout perdu et qui réfléchit au suicide. L’extrait présenté ici nous rapporte le désespoir de cet homme et ses sentiments. Mais comment dans cet extrait romantique, l’auteur sensibilise-t-il son lecteur à la question du suicide, à travers les grands enjeux de ce texte ? Nous observerons d’abord comment l’auteur fait ressortir l’enjeu critique

furieux, Qu’il m’ôte enfin toute espérance. Je me sens abîmer dans le vaste Océan Avec une frayeur étrange ; Nul n’a pitié d’un pauvre enfant, Ni mon Dieu, ni l’Homme, ni l’Ange. Je me console alors dedans mon désespoir ; Venez me noyer tout à l’heure, Ameres eaux ! car mon espoir Se perd : il est temps que je meure. Je me trouve arrêté par de frêles roseaux ; Je vois une main secourable, Qui vient me retirer des eaux, Pour me rendre plus misérable2. Je vois de tous côtés les hommes

première qui symbolise la souffrance > "La nuit qui précéda sa mort" (v.1) horreur car il est conscient de l'heure de sa mort alors qu'il est plein de vie - la deuxième qui symbolise l'espoir (6 derniers vers) > "Et le jour se leva pour lui" (v.12) espoir qui naît au coeur même de l'horreur, fondé sur la conscience que son combat va continuer après son éxecution On passe des ténèbres de la nuit aux espérances d'un nouveau jour qui se lève. 6premiers vers vers 1 : la nuit est liée à la solitude

d’insatisfaction qui semble influencer, imprégner même, chaque acte du narrateur qui se transfigure en véritable explorateur d’âme. L’exclamation qui succède illustre son enthousiasme normalement, exprime plutôt ici désespoir (« le jour qui va suivre doit être si long ! »), désespoir accentué par la modalisation excessive avec adverbe « si » et locution verbale « doit être » qui exprime une fatalité inexorable. Concession pourtant « J’ai bien une terre libre à parcourir », mais de nouveau connecteur

par l'utilisation de la première personne du singulier : "mon" "moi" "je" 2- Passé simple + Passé composé montre que B. fait le constat de sa jeunesse qui est un temps révolu . Le constat est négatif . Beaudelaire décrit de manière imagée le désespoir et le tristesse de sa jeunesse. C'est un être tiraillé, souffrant, éprouvant soit : - un pessimisme exagéré: " ténébreux orages" -un optimisme débordant: "brillant soleil" cependant le constat demeure négatif avec Le terme hyperbolique "ravages"

Poésie Abandon- Absence - Aimer - Ame - Amie - Amitié - Amour - Ange - Attente - Avenir - Besoin - Bonheur - Chagrin - Choix - Ciel - Coeur - Confiance - Deception - Destin - Distance - Douleur - Départ - Dépression - Désespoir - Désir - Elle - Enfant - Enfer - Envie - Espoir - Fille - Fin - Haine - Histoire - Illusion - Indifférence - Je t'aime - Joie - Larme - Larmes - Liberté - Love - Lui - Mal - Malheur - Maman - Manque - Moi - - Mort - Mourir - Mutilation - Mélancolie - Nature - Noir - Nous

pour par la suite en venir à l'environnement hostile qui l'entoure. Nous allons dans un tout premier lieu aborder l'Angoisse du poète à travers trois de ses manifestations: tout d'abord le mal être physique de l'auteur, puis la présence d'un désespoir qui va le mener à la douleur et enfin le malaise spirituel qui l'anime. Dans un premier temps, il est entendu que le poète est victime d’un mal être physique. En effet, dès la première strophe, le « jour » est paradoxalement comparé à des « nuits »

manière dont il perçoit la nature. Cette utilisation de la nature comme reflet des sentiments du poète est d’ailleurs un procédé très fréquent chez les écrivains romantiques dont Victor Hugo était le chef de file. *** [Transition ?] L’expression du désespoir du poète se manifeste en premier lieu par le constat de son déclin, sa chute vers le néant s’effectuant tout d’abord par un jeu polysémique sur le mot « tombe », présent dans le groupe verbal « le soir tombe » et dans le groupe nominal « la tombe »

dans la société. En effet, à cette époque, les femmes sont considérées comme mineures toutes leur vie. Elles sont d’abord placées sous l’autorité de leur père, puis de leur mari. «Cette idée d’avoir pour enfant un mâle était comme la revanche en espoir de toutes ses impuissances passées. Un homme, au moins, est libre; il peut parcourir les passions et les pays, traverser les obstacles, mordre aux bonheurs les plus lointains. Mais une femme est empêchée continuellement. Inerte et flexible à la fois

Dans l’extrait « La chute du napoléon », on peut voir que le narrateur met beaucoup d’accent sur le désespoir de Raphaël de Valentin face à sa situation. Premièrement, il est présenté qu’une grande lassitude occupe l’esprit de Raphaël. En fait, comme il est illustré, le protagoniste est fatigué de devoir chercher à refaire sa richesse. Ainsi, lorsqu’il rentre dans le casino, il a l’apparence d’un noble déchu de par « l’élégante misère de ses vêtements.» (l.26) L’oxymore utilisée là par le narrateur