Espoir Et Désespoir

-COMPTE SPONVILLE * « Toute à la fin de sa vie le sage compris que la sagesse non plus n’avait pas d’importance » -COMPTE-SPONVILLE * « Il n’y a pas d’espoir sans crainte, ni de crainte sans espoir. » -SPINOZA * « Il n’y a pas de sérénité sans désespoir, ni de vrai désespoir sans une parte de sérénité. » -COMPTE-SPONVILLE * « La philosophie est cette aube toujours recommencé de la penser, qui ne cesse de se lever – lueur pâle de la raison ! – du fond de nos crépuscules

l’avenir de façon unanime et les plus touchés seront encore une fois les esprits les plus faibles, les jeunes les plus défavorisés qui ne trouveront pas dans leur environnement familial les aides, les conseils, l’énergie nécessaires, et qui, sans espoir, connaîtront davantage l’échec scolaire, premier étape dans la marginalisation sociale. De plus, ces leitmotive, médiatisés à l’extrême, sont-ils vraiment fondés, sincères ? Ne constituent-ils pas une sournoise préparation ? Si certaines entreprises

un courant qui suggère le rêve et s’agrémente de signification romanesque. La révolution et l’arrivée au pouvoir de napoléon, font naître de grands espoirs pour les jeunes gens du 19è s, appelés ‘les enfants du siècle’, qui rêve de bataille, d’héroïsme et de succès. Mais en 1815, Waterloo marque le déroulement tragique de l’épopée et les espoirs de gloire de la jeune génération s’écroulent. Les jeunes gens renoncent alors à leur avenir, sensibles et déçus, amers et mélancoliques, ils se replient

Après, on n'a plus qu'à laisser| | |faire. On est tranquille. Cela roule tout seul. C'est minutieux, bien huilé depuis toujours. La mort, la | | |trahison, le désespoir sont là, tout prêts, et les éclats, et les orages, et les silences, tous les silences: le| | |silence quand le bras du bourreau se lève à la fin, le silence au commencement quand les deux amants sont nus

Nous analyserons dans un premier temps l’expression du désespoir, puis dans un deuxième temps la provocation mise en œuvre dans le sonnet. L’expression du désespoir se fait tout d’abord par la répétition des marques de la personne traduisant l’exaspération du « moi » (« moi je » v.2, « moi » v.6, « me » v.7, « mon » v.14) ; et la position en retrait des hommes, montre l’isolement du poète vis à vis des autres. Il va « résigné », « sans espoir », et à son sort. L’hypersensibilité et la morbidité

(l'auxiliaire être et l'adjectif "plat") contribuent à accentuer le caractère fataliste de ce constat. L'ennui est confirmé dès le vers suivant : "Moi, je vais, résigné, sans espoir, à mon sort". Le rythme extrêmement découpé du vers, 1+2+3+3+3, crée un sentiment de lourdeur, comme si la marche du poète, "je vais", était entravée par le désespoir. Il ne va d'ailleurs nulle part que vers son "sort", son destin, c'est-à-dire la mort, les deux mots, "mort" et "sort" étant rapprochés par la rime. La vie se donne

questions rhétoriques comme « ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? » (vers 11), il a espoir de revoir cet idéal mais il sait que ca ne peut être que dans un ''ailleurs'', un''autre monde''. Puis il abandonne cet espoir (vers 12 « jamais peut-être »). Tout espoir c'est évaporé, c'est « trop tard » (vers 12) elle a « fuit » (vers 13), et cela plonge le poète dans un profond désespoir. On voit ce désespoir au vers 12 par exemple avec les trois exclamations. De la même manière, il se trouve dans

petit village misérable éclairé seulement par une lampe de cuivre. Le faible éclairage qui pourrait s’éteindre à tout moment renforce l’idée d’une vie qui peut être enlevé à tout moment. Le moulin fait donc office de symbole de cette fragilité. Désespoir existentielle et la mort +++symboliste difficile de continuer à avancer dans cette atmosphère Antithèse  : poète oppose le mouvement du moulin à l’immobilité de la nature endormie.   *citation : vers 1 et vers 8??? Rien d’autre

III/ Perte de l'Esprit (Grammaire et style) 1. Aucun espoir | Style | Allégorie, « Angoisse »=Emploi de la majuscule à l’intérieur= mettre en valeur Comparaison insolite  « pèse comme un couvercle » = la lourdeur oppressante d'un paysage agressif, sensation d'étouffement oxymore= « un jour noir » « crane incliné » = sa soumission,son aliénation personnification des sentiments et des actes l’espérance( cognant),angoisse(plante),espoir( pleure) par les majuscules leur sont attribués des

signes (je vois bien ce que je dois faire) et sa réfutation (je suis seul à décider du sens des signes) (p.46-47) − C. Le désespoir : redéfinition et revalorisation (p.47-51) − 1. Redéfinition du désespoir : ne compter que sur son action (p.47-48) p.48 : « Au fond, quand Descartes disait : " Se vaincre plutôt soi-même que le monde " il voulait dire la même chose : agir sans espoir. » − 2. Le critère de cette redéfinition : l'incertitude (il n'y a pas de sens de l'histoire) (p.48-50) p.50 : « demain