Essor Du Capitalisme Libéral Aspects

20ème siècle l’essor économique s’accélère, il y a la répartition des forces, la dimension internationale de l’économie et ensuite on se demandera si le monde éco est encore libérale en ce début du 20ème siècle. L’essor économique s’accélère C’est une période apogée du monde libérale. Remarque  C’est le prodigieux essor économique du 19ème : en quelques dizaines d’année la phase du monde à changer. Il y a des évolutions au 19ème siècle, les chemins de fer, la machine à vapeur… C’est un siècle

ses valeurs. Au début du XIXe siècle, on a une résistance des groupements populaires au capitalisme industriel. Cela ramène à la révolution française qui a ouvert les portes à l’économie de marché et au capitalisme avec les droits de l’homme et les libertés économiques. C’est un passage à un autre système pour palier au système de privilège de l’ancien régime. Cette notion de concurrence liée au capitalisme a apporté l’exode rural, une hausse des manufactures, bref, une vie effroyable. A la

caractériser leur régime politique. Des pratiques différentes existent en URSS (1917-1991) marqué par le stalinisme (1928-1953), dans l’Italie fasciste (1922-1945) et l’Allemagne nazie (1933-1945). Les trois totalitarismes tentent de contrôler tous les aspects de la vie en société pour créer un homme nouveau. Pour cela les Etats usent de la propagande mais aussi de la violence (brutalités policières, déportation, meurtres…). Le dirigeant est un guide infaillible (duce, Vojd « petit père des peuples », führer)

            Le parallèle entre la crise de 1929 et la crise actuelle a été rapidement établi. En effet, il est tentant de voir dans la crise actuelle une répétition de la crise de 1929. La crise est-elle un phénomène cyclique ? Quels sont les aspects évolutifs du capitalisme qui se dégagent des deux crises ? L’ampleur du phénomène actuel ainsi que sa dimension universelle corroborent la vision de la répétition. Mais faut-il céder à la facilité du simple phénomène répétitif ? Avant de pouvoir confirmer ou

l'intérêt, de la monnaie qui propose ses idées novatrices pour répondre à la crise économique des années 30. Keynes est un capitaliste convaincu mais modéré, il est conscient des imperfections du marché, dont il critique le libre fonctionnement (vision libérale) et il tente de proposer des solutions à ces imperfections qui passe souvent par une intervention de l'Etat. La question provocatrice “Faut-il brûler Keynes ?” pose avant tout le question de la valeur à accordé à l'héritage keynésien. Le terme brûler

contribuées à l’arrivée de notre économie actuelle. Nous pouvons suivre chapitre par chapitre son évolution et les difficultés qu’elle a rencontré. Les étapes les plus importantes sont : la révolution industrielle (1750-1850), le triomphe du capitalisme (1850-1914), l’entre deux guerre (1919-1939), les Trentes Glorieuses et enfin nous étudierons la crise contemporaine en perspective. LA REVOLUTION INDUSTRIELLE La révolution industrielle reflète l’évolution des mœurs, ainsi que la maîtrise

relations d'interdépendance, elle perd sa fonction qui est d'être la mesure du besoin. Elle mesure alors le désir d'argent lui-même, comme moyen de jouissance. Une telle analyse préfigure bien ce que Marx amènera quand il situe la spécificité du capitalisme dans l'émergence de l'argent comme capital (passage de la circulation marchandise – argent – marchandise des sociétés traditionnelles à la circulation capitaliste : argent – marchandise – argent, en quantité supérieure dès lors que dans l'échange

éditorialiste au monde. intro: La société post-industrielle peut être définit comme une société de service,de la connaissance ou de l'information. Le capitalisme du 20eme siècle s'est construit autour de la grande firme industrielle, Durkheim parlait alors de solidarité mécanique liant un mode de production et de protection. le capitalisme du 21eme siècle organise la destruction de cette société industrielle, les différentes étages de la grande entreprise industrielle sont dissociés les uns

on assiste au dev’ d’une pensée éco. , d’ une théorie. Les théories sont faite pour répondre au problème. On voit se mettre en place les penseurs fascinés par le marché, les classiques, les néo-classique (fin 18°) et ceux qui vont s’opposer au capitalisme et/ou au libéralisme (dont les marxistes). Cette affrontement structure la « société ». Problème : la pensée éco. n’existe pas depuis la fin du 18°. Il y eu des prémices et l’éco. politique est née au 16° avec les mercantilistes qui précèdent les

grand commerce et de la finance qui mettent en place un capitalisme commercial à travers la Méditerranée vers l’Asie notamment, puis l’Atlantique. 1850 marque une rupture car les Révolutions Industrielles bouleversent ces sociétés avec mutations sociales (naissance du prolétariat, domination bourgeoise), politiques (socialistes et libéraux s’opposent sur la répartition des « fruits » de la croissance), scientifiques et techniques, paysagers (essor urbain considérable, pays noirs), artistiques… C’est