Est Ce Morale

Chapitre 2 : Morale, devoir     I] Quelle est l’origine de nos croyances ?       ∙         ​ A. À première vue, la morale provient d’une éducation :  ­ Origine de nos croyances morales  ­ Examiner « la valeur des valeurs »  ­ La morale est d’abord une affaire de pulsions     ∙         ​ B. Mais, n’y a­t­il pas un sens inné de la morale ?  ­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre

arrive qu’on soit moral par intérêt, mais si l’intérêt n’est pas justement l’unique raison d’être de la morale. - La formulation du sujet est quelque peu provocatrice, car intuitivement, on a tendance à opposer la morale à l’intérêt, comme on opposerait l’altruisme à l’égoïsme. Il est courant de considérer que ce qui est moral est désintéressé, et que ce qui est intéressé est immoral. - Aussi, si l’on n’était moral que par intérêt, ce serait alors comme si la morale n’existait pas

PHILOSOPHIE MORALE | I. INTRODUCTION a. QU’EST-CE QUE LA PHILOSOPHIE MORALE La philosophie comme approche conceptuelle du monde (distance, abstraction). C’est une discipline autoréférentielle (=se référer à ses propres concepts). Elle va prendre pour objet la morale et l’aborder (en tout cas) avec une prétention à la distance. C’est également être capable d’être critique de cette prétention. La philosophie morale est une partie de la philosophie dite « pratique », c’est celle qui se

qui appellent aux règles (l'économie, la morale, religion). A- Le droit et la morale. Le droit et la morale ne sont pas faciles. S'il l'on veut les distinguer, il faut trouver la définition de la morale notamment dans des dictionnaires le Littré. Il définit la morale comme "un ensemble de règles devant diriger l'activité de l'homme décomposée en 2 parties et faire connaitre ses devoirs et obligations". 2ème dictionnaire philosophique "lalande" la morale est "une théorie raisonnée du bien et du

QU'EST-CE QUE LE DROIT ? L'image du droit - Droit, Morale et religion - Droit, sociologie et politique L'image du droit Ou plus exactement les images du droit car, en raison de sa complexité, ce phénomène social ne saurait se réduire à une seule et unique représentation. La polysémie du mot et le chatoiement de la réalité qu'il traduit impliquent la multiplicité des figures censées refléter ce qu'est le droit. C'est comme si une image morcelée du droit nous était renvoyée par un miroir brisé

Question : Est-ce la morale ou la recherche du bonheur qui doit motiver les actions des hommes ?Antithèse : Le bonheur doit être le guide de nos actions quotidiennesThèse : La morale doit se situer au centre des préoccupations de l’homme ainsi qu’à l’origine des faits et gestes des individus.Problématique : Pourquoi les hommes ne doivent-ils prendre en compte que la morale lors de leur processus de réflexion, au détriment d’autres facteurs tels que leur bonheur ?Enjeux :1. Enjeu social : Faut-il

“ Une morale nue apporte l’ennui ; Le conte fait passer le précepte avec lui .” Affirme Lafontaine, auteur du 17eme siecle, s’opposant et critiquant la monarchie absolue, par le biais de ses fables à morale. Il met en scène des animaux, créant ainsi une métaphore de la cours, façon habile de la critiquer en échappant à la sencure de l’époque. On se propose d’annalyser cette affirmation sous trois angles : L’assimilation de la morale, la façon dont elle est tournée, pour être perccutante ou non

N'est-on moral que par intérêt ? L'homme est communément comme un être supérieur au reste des êtres vivants car celui-ci, contrairement aux animaux, aux végétaux, ou aux autres éléments naturels, n'est pas immanent, il ne dépend pas entièrement de la nature, il a le pouvoir de la transcender. En effet, l'homme apparaît comme un être libre en puissance, capable de fixer lui-même ses propres fins, de ne pas répondre simplement à une cause comme le font les animaux soumis à leur instinct. Ainsi

DISSERTATION Le droit et la morale« Quid leges sine moribus ?» (que sont les lois sans la morale ?) de Cicéron. Ici, l’auteur reconnaît un lien entre le droit et la morale. Pour lui, ces deux notions sont associées. Mais avant de comprendre les rapports entre celles-ci, il s’agit de les définir. Selon Boris Stark , le droit est « l'ensemble des règles de conduite qui gouvernent les rapports entre les hommes et dont le respect est assuré par l'autorité publique ». Concernant la morale, elle correspond à ce

et le mal. Qu'il s'agisse de morale apprise à l'école ou en famille, nous possédons en nous des sortes de garde-fous nous empêchant de mentir, de faire du mal, de nuire à autrui. Des dictons comme « tu ne tueras point », « nulle raison ne pourrait justifier le mensonge » sont souvent venus nous rappeler que le fait de contrevenir à certaines règles