Est Ce Parce Que Nous Sommes Ignorant Que Nous Avons Des Croyances

dénier à ses semblables. Toute atteinte à ces droits est contraire à l’esprit d’universalité. Tout ce qui concerne les droits fondamentaux ne peut être dénié à nos semblables sous prétexte de préserver une tradition, une croyance. Dans ce domaine, il faut tendre vers l’universalité parce que l’humanité, tout en étant multiple est d’abord une. L’identité est une chose qui se construit tout au long de l’existence. 3. Texte de la Genèse : Trouver l’aspect théologique (ce que l’on a voulu révéler)

Le narrateur du récit tout comme son auditeur est dans l’incapacité de vérifier la validité et l’authenticité de ce savoir; on ne se pose pas même la question. Le but du mythe dans cette optique étant de dire les coutumes, les traditions et les croyances d’un peuple, sans en vouloir remettre en questionnement le fondement. Avec les Présocratiques, le discours s’organise selon les exigences de la raison qui tente de trouver un principe qui puisse en même temps rendre compte de la multiplicité des

..............................................................................................4 2.1 Un idéal de citoyenneté participative et délibérative mal en point.............................................4 2.2 Des données inquiétantes: la croyance au paranormal...............................................................5 2.3 L’éducation et le savoir livrés aux tyrannies privées.................................................................6 2.4 Les médias de la société du spectacle contre la citoyenneté participative

une orthopraxie (les textes sacrés sont des recueilles de foi et des pratiques, et non pas de dogmes). Autrement dit : le prêtre romain est un juriste et non pas un théologien. Un savoir pratique, savoir pratiquer. Dans la religion romaine, nous sommes face à une religion bidimensionnelle et hiérarchique à la fois : elle est théologique et juridique, mais le côté juridique va toujours premier. Il n’y a pas des dogmes à interpréter mais de pratiques : c’est une religion de PACTE. Les romains faisaient

dessine, à travers ses techniques une noosphère difficilement franchissable. Nous pensons et agissons toujours à partir d’une langue et d’une culture, pourrait-on dire. On parle ici de cette diversité culturelle qui interdit à l’occidental que nous sommes de comprendre la culture japonaise par exemple. - Enfin, au sein d’une culture donnée, nous pouvons nous cultiver ou bien, reproduire les formes de l’abandon à cette culture (reproduction) ou à sa destruction (divertissement). Dans un troisième sens

..............................................................................................4 2.1 Un idéal de citoyenneté participative et délibérative mal en point.............................................4 2.2 Des données inquiétantes: la croyance au paranormal...............................................................5 2.3 L’éducation et le savoir livrés aux tyrannies privées.................................................................6 2.4 Les médias de la société du spectacle contre la citoyenneté participative

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primaires mais inévitablement on demande sur quoi ces qualités primaires reposent elles ? Locke propose comme réponse : nous ne sommes pas dans une situation meilleure que l’indien qui disait que le monde était soutenu par un grand éléphant, on lui demande sur quoi l’éléphant repose-t-il : sur une tortue. Sur quoi repose-t-elle : quelque chose, je ne sais quoi. → Nous sommes dans la mm situation pour la notion de substance : on dit qu’elle existe sans vraiment le savoir car il faut bien une support

obstacle surgissait, ni visible ni tangible : une interdiction. Pourquoi obéissons-nous ? La question ne se posait guère ; nous avions pris l’habitude d’écouter nos parents et nos maîtres. Toutefois, nous sentions bien que c’était parce qu’ils étaient nos parents, parce qu’ils étaient nos maîtres. Donc, à nos yeux, leur autorité leur venait moins d’eux-mêmes que de leur situation par rapport à nous. Ils occupaient une certaine place ; c’est de là que partait, avec une force de pénétration qu’il n’aurait

dirige librement sa vie. Or, Diderot constate que cette prescription morale nous rend malheureux : ceux qui parviennent à être chastes se brident eux-mêmes, et sont malheureux tout en rendant d’autres malheureux, et ceux qui n’y parviennent pas aussi, parce qu’ils s’en prennent à eux-mêmes, à leur soi-disant manque de volonté. Cette philosophie de l’homme libre et volontaire est donc certainement une mauvaise compréhension de l’homme, une erreur intellectuelle, qui a des conséquences réelles. Il est plus