Est Il Irrationnel De Croire En Dieu

importante de toutes les choses, je veux dire la liberté, on voie régner le caprice et la fantaisie. Non, mon ami : la liberté consiste à vouloir que les choses arrivent, non comme il te plaît, mais comme elles arrivent. » Épictète, Entretiens, 1,35. Croire en l'indépendance, n'est-ce pas faire preuve d'égarement ? Selon Épictète, l'homme vraiment libre ne recule pas devant la réalité. Il ne veut pas modifier ce qui ne dépend pas de lui. Aussi, il veut les contraintes sur lesquelles il n'a pas de prise

l’Europe a été de toute évidence estompé en Occident, comme l’a été celui de la civilisation arabo-islamique en général. L’Europe n’est pas seulement la fille de la culture gréco-latine et du judéo-christianisme, comme on voudrait parfois nous le faire croire. Il y a donc un travail de mémoire à effectuer sur « l’héritage oublié » de l’islam [1], notamment. En réalité, ce travail a été engagé depuis quelques décennies ; il doit être entrepris non dans un esprit de revendication religieuse, communautariste

n’est pas ici le refus irrationnel d’explication, mais une condition de l’explication biologique. III. Les transformations du vivant. La biologie comprend d’une part l’histoire naturelle, qui se place à l’échelle des espèces, et d’autre part la génétique, qui se place à l’échelle des individus. A. Au niveau des espèces : l’histoire naturelle. L’histoire naturelle a rencontré trois obstacles à sa constitution comme science : 1° l’observation qui amène à croire en l’éternité des

celui de l’émotion et des passions. Certains auteurs, comme Blaise Pascal, pensent que le coeur est une conscience spirituelle, une intuition supérieure qui, par opposition à la raison, permet de sentir les plus hautes vérités, notamment la présence de Dieu. On constate donc tout de suite que ces termes sont en opposition, en effet, nous avons d'une part le rationnel, et l'émotionnel d'autre part. De plus, il faut également mettre l'accent sur le terme «nécessairement» qui signifie ce qui ne peut pas

et les opinions communes et plus profondément encore l’autorité de ceux qui en font usage pour se maintenir au pouvoir, tant temporel que spirituel. De deux choses l’une en effet : soit la vérité (accord entre ce qu’on pense et ce qui est) vient de Dieu où de ceux qui prétendent le représenter sur terre (prêtres ou rois) et est l’objet d’une révélation incontestable à laquelle tous doivent se soumettre inconditionnellement (exemple : « le soleil tourne autour de le terre, car cela est écrit dans le

commune/ idée reçu / préjugé), cela veut aussi dire une contradiction.Ex : je ne dis jamais la vérité. (Paradoxe)En générale, si vous êtes entouré de gens et que vous ne connaissez pas le sujet dont vous parler ayez l’air confiant et les gens vont vous croire. Faut juste que tu aies l’air confiant et en contrôle de ce que tu dis et le monde vont te croire.Au contraire, une personne ayant un jugement plus nuancé vas se faire mettre de côté dans un jugement.L’ignorance engendre plus fréquemment la confiance

Accumulation de termes sur la superstition : des éléments irrationnels sont utilisés pour former le discours historique. Critique généralisée (présentatif « ce sont » au pluriel et adverbe « partout »). Parallélisme « Etats » et « empires » : la fable historique est utilisées à tous les niveaux, importance politique. « Bêtes qu’on adore » : religions païennes et parallélisme « ici » et « là ». Chiasme dieux hommes//hommes dieux : Homme au centre, écrasé par Dieu, superstition pour asservir l’Homme. « Je » sujet

nous évoquons, a une fonction sociale. Par ses « fabulations » elle donne une triple assurance à l’homme qui garantit l’ordre moral contre les désordres que pourraient y introduire l’intelligence rationnelle. Ainsi les interdits, les tabous sont irrationnels du point de vue de l’individu, mais ils servent les intérêts de la communauté sociale. De plus, la religion offre un salut individuel contre la pensée désespérante de la nécessité de la mort. L’intelligence désespérant de la vie, s’en détache.

la lumière naturelle par laquelle nous saisissons les idées innées que Dieu a mises en nous : la vérité est en nous, préformée, a priori et constituant le fond de notre pensée. De ce point de vue, l'esprit humain est mis en rapport de manière particulière avec le divin ; en effet, dans certaines doctrines, la raison humaine peut se fondre en Dieu (Malebranche, Spinoza, etc). Ainsi l'homme ne pense-t-il pas, mais est pensé en Dieu par l'intermédiaire de sa raison. C'est cette thèse extrême du rationalisme

nous évoquons, a une fonction sociale. Par ses « fabulations » elle donne une triple assurance à l’homme qui garantit l’ordre moral contre les désordres que pourraient y introduire l’intelligence rationnelle. Ainsi les interdits, les tabous sont irrationnels du point de vue de l’individu, mais ils servent les intérêts de la communauté sociale. De plus, la religion offre un salut individuel contre la pensée désespérante de la nécessité de la mort. L’intelligence désespérant de la vie, s’en détache.