Est Il Légitime De Vouloir Avoir Raison

de répondre à la question philosophique suivante : « Peut-on haïr la raison ? ». Tout d'abord énonçons que cette question nous amènera a une réponse complexe et que cette question n'admet pas de réponse arbitraire. Mais avant tout, définissons les quelques termes importants pour bien comprendre le sujet. « Peut-on » nous renvoie à la question : est ce légitime ? Ensuite, « haïr » signifie vouloir la destruction, et enfin la raison est la capacité de vérifier que l'Homme possède lui. Nous allons donc

2 catégories : les atteintes aux personnes et les atteintes aux biens Elle peut aussi être gratuite, sans motifs, vouloir agresser, faire souffrir une personne (violence aux femmes par exemple), satisfaire ses pulsions, dominer. L’homme a une part de violence par nature, mais, une part de sa violence lui vient de son environnement social et y a-t-il le droit à une violence légitime ? L’Homme par nature peut être violent à cause de problèmes psychologique, du coup il réagit facilement par la violence

alors la liberté à l’indépendance : être libre, ce serait ne dépendre de rien ni de personne, avoir toute l’attitude de se déterminer par soi-même. La liberté apparaît alors comme un pouvoir illimité. Cette définition de la liberté comme un absolu peut s’appliquer à cette notion en tant qu’elle concerne l’action humaine en général, auquel cas elle serait le pouvoir de s’abstraire de toute cause ou raison nous poussant à agir d’une certaine manière, comme à la liberté en tant que notion politique

que l’on sonne de manière prolongée pour avertir d’un danger. de la raison se fait entendre dans tout l’univers ; reconnais tes droits. Le puissant empire de la nature n’est plus environné de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges. Le flambeau de la vérité a dissipé tous les nuages de la sottise et de l’usurpation 2 Fait de s’attribuer un bien de façon illégitime, sans y avoir droit. . L’homme esclave a multiplié ses forces, a eu besoin de recourir

Philosophie L’ignorant est un sujet qui n’a aucune connaissance, que ce soit sur le monde ou sur lui-même. Aussi l’ignorant a une autre vision du monde et de lui-même. Il est légitime de se demander si avec ce manque de connaissance sur tous, il peut s’empêcher d’être l’auteur de ses choix. L’ignorant ayant un manque général de connaissance il peut se croire libre. Cependant à cause de ce, l’ignorant est prisonnier des avis des autres sujets qui l’entourent. C’est pourquoi on peut se demander

consiste exactement la bêtise, est-elle une disposition d'esprit, une manière de se comporter ou encore une manière de penser? Est-on dans la bêtise volontairement? Et dans quelle mesure celle-ci s'oppose t'elle à l'intelligence? Cette question est légitime parce qu'elle permet justement d'éviter de tomber dans la bêtise et de savoir comment y échapper. Ainsi, nous verrons d'abord comment la bêtise est selon l'opinion commune une affaire de contenu, comment celle-ci est une manière de se comporter

| |On ne peut pas faire ce qui est physiquement impossible, c’est-à-dire contraire aux lois naturelles | |ou incompatible avec elles, comme être immortel ou voler sans aile par exemple. Cela ne nous empêche| |pas cependant de le vouloir parfois. Dans ce cas, notre désir se heurte à la nécessité naturelle. | |Est nécessaire ce qui ne peut pas ne pas être. | |

puisque c’est lui qui la produite (de plus, de fait, les rois n’ont cure de la nourriture du peuple : il s’agit de faire la guerre et donc de le ponctionner par les impôts) : il n’y a donc pas d’échange (unilatéral et non réciproque), on ne peut donc vouloir être esclave. Reste un second type d’échange (§3) : le peuple échangerait sa liberté contre la sécurité. Or cet échange là a toutes les apparences de la rationalité : le peuple obtient bien quelque chose qu’il n’avait pas auparavant et à quoi il

préserver son autonomie morale. En outre, à première vue, la liberté est une valeur pour laquelle les Hommes n’ont cessé de se battre, au cours de l’histoire. Cependant, avoir continuellement à assumer ses responsabilités et à prendre des décisions

aussi des différences d'un individu à l'autre. Ne serait il pas injuste, dans ces conditions, de vouloir une égalité pour tous? La recherche de l'égalité est-elle toujours juste? Cela ne reviendrait-il pas à commettre une injustice, en allant contre l'ordre naturel des choses? Le problème consiste donc à déterminer dans quelle mesure l'égalité peut être considérée comme juste, c'est à dire légitime. Dans un premier temps, nous analyserons en quoi la recherche de l'égalité semble être le principe