Est Il Nécéssaire De Penser Pour Avoir Des Opinions

toutes les opinions de tous les individus dû à ce principe de liberté. Cependant, il y a certaines opinions qui peuvent avoir des répercussions néfastes sur la société. En effet, certaines de ceux-ci peuvent être poussées à la haine et la méchanceté. C'est pourquoi nous pouvons nous demander la question suivante : Toutes les opinions se valent-elles? En d’autres mots, est ce que les jugements de chaque personne devraient être acceptés, admis? Tout d’abord, dire que toutes les opinions se valent

Introduction La liberté d’expression peut être définie comme un droit d’exprimer son opinion personnelle dans différent domaines (politiques, philosophique, religieux et morale…) par tous les moyens qu'elle juge opportun et sans être entravé par quelconques conditions particulières. Dans l’antiquité ce genre de liberté était méconnu des civilisations gréco-romaines. Ce concept n’a pu avoir une place dans le monde qu’à partir du 15ème siècle, avec la préoccupation des humanistes de la condition

jeune, il est vieux de tous ces préjugés, on croit savoir alors que l’on ne sait pas. La vérité dont se réclament le philosophe et l’homme de science n’a aucun rapport avec la vie quotidienne. Ne renoncent t-ils pas à une certaine façon de vivre et de penser ? N’y a-t-il pas une rupture entre la connaissance sensible et la connaissance rationnelle ? Ne connait-on pas contre une connaissance antérieure ? Accéder à la vie philosophique est un déchirement, cette rupture marque le commencement de toute pensée

sur la capacité à se souvenir de notre histoire, d’avoir une opinion sur nous-mêmes — nous nous trouvons beau ou laid, aimable ou pas, intelligent ou idiot — et ce regard peut changer selon les situations. Par contre, en développant l’esprit contemplatif, nous pouvons voir au-delà de ces images. Nous faisons l’expérience de l’esprit originel, de la conscience avant qu’elle soit conditionnée par la perception. Si nous essayons de penser à cet esprit originel, nous serons piégés par nos facultés

intérieur est dans toute pensée : car celui qui ne se dit pas finalement "Que dois-je penser ?" ne peut pas être dit penser. La conscience est toujours implicitement morale ; et l'immoralité consiste toujours à ne point vouloir penser qu'on pense, et à ajourner le jugement intérieur. On nomme bien inconscients ceux qui ne se posent aucune question d'eux-mêmes à eux-mêmes. Ce qui n'exclut pas les opinions sur les opinions et tous les savoir-faire, auxquels il manque la réflexion, c'est-à-dire le recul

de la méthode » est de mettre en place du mieux qu’il le peut à son époque, une méthode pour apprendre aux gens de bien interpréter leur jugement et leur raison. Il veut instaurer une méthode pour inciter la population à penser par eux même et arrêter de laisser les autres penser pour eux et en quelques sorte aussi décider pour eux par de fait même. De plus, il explique sa démarche qu’il lui à permit d’en arriver à une philosophie métaphysicienne. Ce qui cause les erreurs selon Descartes, son des

aucun cas du peuple; et nul n'osait, ni ne désirait peut-être, contester leur suprématie, quelles que fussent les précautions à prendre contre l'exercice oppressif qu'ils en faisaient. Le pouvoir des gouvernants était ressenti à la fois comme nécessaire et extrêmement dangereux: comme une arme qu'ils pouvaient à loisir retourner et contre leurs sujets et contre leurs ennemis extérieurs. Pour éviter que d'innombrables vautours ne fondent sur les membres les plus faibles de la communauté, il avait

en aucun cas du peuple; et nul n'osait, ni ne désirait peut-être, contester leur suprématie, quelles que fussent les précautions à prendre contre l'exercice oppressif qu'ils en faisaient. Le pouvoir des gouvernants était ressenti à la fois comme nécessaire et extrêmement dangereux: comme une arme qu'ils pouvaient à loisir retourner et contre leurs sujets et contre leurs ennemis extérieurs. Pour éviter que d'innombrables vautours ne fondent sur les membres les plus faibles de la communauté, il avait

l’entendement mais dans un manque de décision et de courage de s’en servir sans la direction d’autrui. « Sapere aude ! » Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Ceci est donc la devise des Lumières. » L’homme doit donc avoir la force de penser par lui-même, de s’affranchir de toutes dominations intellectuelles qui nuisent au développement de son propre esprit critique notamment. Il doit oublier les préjugés, les idées reçues et doit se servir de son propre entendement afin d’oser

expliquerai les règles et les maximes et je vous ferai part de mon opinion. Tout en vous disant si on les utilise toujours aujourd’hui. La première règle est l’évidence, cette règle consiste à ne rien admettre comme vrai si on a un doute. Pour admettre quelque chose, il faut avoir une preuve concluante. De plus, il faut savoir juger les choses comme elles sont, ce qui veut dire de ne pas se laisser influencer par nos opinions, nos valeurs et prendre la peine d’interroger tout ce qui nous entoure