Est Il Vrai Que Seul Le Présent Existe

défieront toujours. Application de la distinction précédente (entre usage privé et public de la raison) au problème religieux, manière d’en souligner le caractère central. Que signifie en effet être un croyant « sincère » ? Quelle liberté peut-il exister dans la pratique religieuse, attendu que son caractère social (tradition, théâtralisation de la piété comme vertu sociale – les dévots, vrais ou faux, sont honorés, le pieux a bonne réputation auprès des siens…) et l’obscurité de ses mystères tendent

rien.» → dialogues aporétiques (sans conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de définir des concepts. Le language doit être l’instrument du vrai. Maïeutique (faire accoucher) socratique : par la remise en cause, on acouche d’une pensée vraie. But : la ´ ´ .   sophistes : fait un usage persuasif du language indépendamment du vrai et du faux : démagogie. Ironie socratique : dissoudre la doxa en nous faisant prendre conscience que nous ne savons pas, quand nous parlons, ce que nous

 UNE ŒUVRE D’ART PEUT-ELLE NE PAS ETRE BELLE ? Introduction : L'art, appartenant au domaine de la culture, est une activité qui est présente partout autour de nous et l'importance qu'on y accorde est haute. L'art est de façon évidente lié au concept de la beauté. En effet il est courant d’éprouver de l’admiration devant la beauté d’une œuvre d’art, puis ce que celle-ci est souvent qualifiée de « belle ». Mais alors plusieurs questions peuvent se poser. Comment

I. Le désir peut-il se raisonner? 1.La raison comme critère d'évaluation - Définition de la notion de raison : faculté humaine à distinguer le faux du vrai et le mal du bien , soit faculté qui pose et définit les valeurs tant sur le plan de la logique , de la pensée ou de la connaissance (usage théorique de la raison) que sur le plan de la conduite à tenir, de l'action morale (usage pratique de la raison)

B/ Le progrès scientifique s'effectue par un changement de paradigme. T.S. Kuhn (1962) → La structure des révolutions scientifiques Le paradigme = un modèle de représentation qui s'installe durablement en fonction de l'état des découvertes. Le vrai progrès n'est pas d'accumuler les découvertes mais de changer de paradigme. 2 exemples de Paradigme : A/ Du monde clos à l'univers infini = la révolution copernicienne ou galiléenne. La cosmologie d'Aristote fait place au XVème siècle à une

(dans la phénoménologie de l'esprit, présente la dialectique du maître et de l'esclave.  L'esclave par son travail s'émancipe et devient maître. Le maître ne connaissant pas la technique est dépendant de l'esclave. Ainsi, l'esclave devient le maître du maître et le maître devient l'esclave de l'esclave. Mounier : le travail travaille à faire une chose en même temps qu'un homme. Il montre l'accomplissement de soi même par le travail. Nietzsche : (dans Aurore) le vrai travail est le travail intellectuel

doctrine aristotélicienne (somme théologique). Il en tire alors que Dieu ne peut être connu que par ses effets. Réalisme moderne avec Auguste Comte (positivisme) : il nie qu'il existe autre chose par-delà les phénomènes. 4. Qu’est ce que le matérialisme ? Théorie selon laquelle la matière prévaudrait sur l’esprit. Il existe plusieurs courants internes au matérialisme : -Le matérialisme ancien d’Epicure, Lucres… Il explique le monde par le hasard : le clinamen aurait donné naissance à ce que nous

individu avec sa date et son lieu de naissance, son métier, sa famille, ses biens, son savoir mais un citoyen doué d'une capacité égale de s'exprimer, de prendre position, de voter et de participer à la représentation de la nation. L'individu est seul, le citoyen et collectif ; l’individu se distingue du reste de la société par des distinction de classe, de richesse, de culture, le citoyen, lui se confond dans la nation. Chaque individu est unique, chaque citoyen est égal. C’est ainsi que l’individu

s'agit de s'interroger sur la nature de la loi et la fonction des juges pour leurs rapports. Il est en effet douteux que la première puisse se passer des seconds car elle ne s'applique pas seule. Il ne peut exister de lois permettant d'appliquer les lois, car cela irait à l'infini : il devrait en exister une nouvelle expliquant comment appliquer la précédente, ainsi de suite. La loi ne suffit donc pas à tout régler ; il faut la distinguer de son application, qui est un acte de l'esprit rendant indispensable

l'être absolument infini, tout ce qui exprime une essence et n'enveloppe aucune négation, appartient a son essence. VII. Une chose est libre quand elle existe par la seule nécessité de sa nature et n'est déterminée à agir que par soi-même ; une chose est nécessaire ou plutôt contrainte quand elle est déterminée par une autre chose à exister et à agir suivant une certaine loi déterminée. VIII. Par éternité, j'entends l'existence elle-même, en tant qu'elle est conçue comme résultant nécessairement