Est On L Artisan De Son Propre Malheur

L'art introduction : le mot art est ambigu, il peut renvoyer à la technique, aux beaux-arts, au travail de l' artisan ou à celui de l' artiste. Dans tous les cas il a le sens d'une production humaine ; quelque chose qui s'ajoute à la nature (Bacon dira : « l'homme ajouté à la nature ») mais qui ne vise pas traditionnellement parlant l'utilité ou en tout cas qui est sensé viser une valeur spécifique qui serait le beau. La tradition veut donc que l'art ou les arts désignent une production

été énorme, assurant la fortune de son auteur, le tout sur fond de polémique. Le sujet principal abordé dans ce livre est le malheur causé par l’alcoolisme. Le principal lieu de débauche est l’Assommoir, débit de boissons tenu par le père Colombe dont le nom est ironique car une colombe apporte la paix alors que ce dernier rend les gens violents et répand le malheur dans la classe ouvrière. Au milieu du café du père Colombe, trône le fameux alambic (un appareil destiné à la séparation de produits

l. 34-35. La voix narrative intervienne pour rectifier un terme employé à mauvais escient par tel ou tel personnage et qu'elle s’entrecroise avec la voix du personnage en question ; il installe par exemple un écho touchant entre « Ce malheur était l’absence de Julien ; elle l’appelait, elle,  le remords  » (p. 593) et « L’ambition était morte en son cœur, une autre passion y était sortie de ses cendres ; il l’appelait le remords d’avoir assassiné madame de Rênal » 

imposent. Mais les plaisirs passionnel sont à la fois corporels et spirituels ; être sage signifie donc simplement savoir les régler avec une habileté telle que les malheurs qu’ils engendrent demeurent mesurés et acceptables. Comment les passions peuvent elles former un monde ? Alors qu’il réfléchissent sur ce qui est le propre de l’homme , les philosophes se posent des questions sur le mode de vie d’un homme pour être heureux en tant qu’ Homme. Les passions paraissent un obstacle au bonheur :

un homme comme les autres". On pourrait définir le poète comme un écrivain qui travaille la langue, qui a une sensibilité exacerbée et qui exprime à travers la poésie les émotions qu'il ressent. Dans l'étymologie du mot poète on trouve le terme "artisan" qui rejoint l'idée de celui qui pétri la langue comme le boulanger pétri la pâte. Mais cela en fait-il un homme différent des autres ? Dans la première partie nous allons développer les arguments qui laissent penser que le poète est un être différent

mais ignorant il n’a pas beaucoup de fierté ni d’amour propre car on apprend qu’il aurait bien aimé vivre comme tout le monde 3) Des adieux tragiques a) Un conflit sans issues malentendu n’est pas dissipé MrdC refuse la verité, il meurt plein de soupcon PDC a voulu retrouver une relation de qualité avec son mari avec son aveu c’est sa parole qui a mis en marche la jalousie de son mari Present b) PDC, artisan de son propre malheur situation passée MrdC cleves c) Malediction situation

(«  que je ne puis m’empêcher d’en parler ici »)  : l’auteur prend position et annonce l’exemple qui lui permet de conforter ca thèse : on ressent une jubilation de la part de l’auteur - «  L8 : ce malheur arriva si plaisamment » : antithèse : ironie III le récit Marquée par l’ironie : (l 11…) Le récit de l'événement choisi par Fontenelle

narrative ( exposa , parla , dplora , I. 20 22) avec une insistance particulire sur les consquences humaines de la politique de Louis XIV ( tant dnergie , une manire si pathtique I. 22). Il dclenche une raction sensible chez lIngnu, pris au sens propre de compassion ( lIngnu son tour versa des larmes , I. 24-25), qui pose alors une longue question elle-mme argumente ( Do vient donc ... ainsi ... , I. 25 et s.). c) LIngnu est ici fort proche du personnage du candide ou du voyageur quaffectionnent

réalisme, naturalisme Explication du titre : Dans ce roman on traite principalement de l’alcoolisme et son engendrement du malheur, en effet l’un des principaux lieux de débauche est l’Assommoir, débit de boissons tenu par le père Colombe où on note une certaine ironie : la colombe étant symbole de la paix alors que le cafetier et ses boissons apportent la violence et le malheur chez ses clients. Au milieu du café, trône le fameux alambic, sorte de machine infernale dont le produit, un alcool frelaté

tous comme des animaux sauvages pour obtenir quelques billets verts. Quoi faire pour avoir une société plus juste alors que nous pensons être bien dans notre civilisation? Est-il possible de trouver une issue bien que nous soyons les artisans de notre propre malheur, êtres imbéciles et dégénérés? Comme Rousseau le montre si bien, la nature de l’Homme a changé au fur et à mesure que l’Histoire se dessinait. L’Homme naturel est devenu un être corrompu et artificiel et Rousseau pense qu’il faut l’observer