Esther Granek

porte  sur  le  thème  de  l’amour.  Ici, Paul évoque son manque de  sa femme en rappelant qu’il la  voit à chaque moment de sa journée.    ­ Ensuite,  nous  aurons “J’ai connu tant de ciels”, poème moderne de la fin  du XXème siècle écrit par ​ Esther Granek​ . Le poème traite aussi l’amour,  le personnage cherche ici sa femme qu’il ne trouve nul part…    ­ Puis,  nous  aurons  “Poison  perdu”  écrit  par  ​ Arthur  Rimbaud​ .  Ici,  Rimbaud  exprime  sa  nostalgie  de  l’endroit  où  il  s’amusait 

trouvée J’ai connu tant de fillesLes douces et les aigriesLes rondes les aplatiesLes vives et les bornéesEt ne t’ai point trouvée Et j’ai bu le nectarEt j’ai usé l’espoirDes partout des nulle partQui se moquent de vousEt ne t’ai point trouvée Esther Granek, Portraits et chansons sans retouches, 1976 Xxe siecle A M. V. H. ( A Mon Ami Victor Hugo?) Il faut, dans ce bas monde, aimer beaucoup de choses,Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux,Les bonbons, l’Océan, le jeu, l’azur des cieux

Deux recueils de poésie amoureuse : - Marceline Desbordes-Valmore, Amours (dans Poésies inédites), 1860 - Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou, 1947 Deux recueils de poésie contenant quelques poèmes amoureux : - Jacques Prévert, Paroles, 1946 - Esther Granek, Ballades et réflexions à ma façon, 1978 et Je cours après mon ombre, 1981Marceline

écrire ses premiers poèmes à l'âge de quinze ans, mais il renonce subitement à l'écriture à l'âge de 20 ans. Bien que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française Esther Granek est une poétesse belge de langue française. Auteur-compositeur de chansons, poèmes, ballades, textes d’humeur et d’humour, elle a publié plusieurs recueils. Née à Bruxelles le 7 avril 1927, elle est autodidacte du fait des lois anti-juives durant

dum singula amore capti circumvectamur » qui en français signifie : « Mais en attendant, il fuit : le temps fuit sans retour, tandis que nous errons, prisonniers de notre amour du détail ». Et encore dans notre propre siècle, des auteurs comme Esther Granek reprennent ce thème : « En quoi la fuite du temps influe-t-elle sur l'homme et son ressenti même de la vie ? » Car c'est bien là que se situe toute la question. Notre existence a une fin, nous le savons tous, nous n'y pouvons rien et c'est ce qui

malheureusement toujours des guerres, même pendant que écrit et au moment ou vous allez lire cette préface, et heureusement des poètes n’oublie pas les gens qui souffrent et elles ont écrient des poètes pour ces personnes. Les poèmes sont « Le Jeu » d’Esther Granek (2009) et « Exécution » de Sibylle Rembard (2010). J’ai choisi de ranger les poèmes de mon anthologie de façon chronologique pour vous permettre de mieux voir de développement de la poésie engagée : au début peu présente à cause des gouvernements

de la poésie sur des paysages naturels époustouflants, aux apparences familières et mélancoliques. Cette anthologie vous propose une lecture de poèmes de huit poètes de différents siècles : George Sand, Victor Hugo, Guillaume Apollinaire, Esther Granek, Joachim Du Bellay, Charles Baudelaire, Louis Aragon et Paul Eluard. Leurs poèmes, bien que sur le même thème sont complètement différents par leurs description, leurs beauté et leurs messages sur la nature.

d’enthousiasme montre aussi le lien crée par le jeu, au-delà des frontières et des barrières de la langue.Le « Tableau pour les Jeux Olympiques » de Lucie Llong, peint pour Paris 2024, rappelle la multitude de sports cités dans le poème.« Le jeu », d’Esther Granek, fait le parallèle entre les échecs, un jeu de plateau où l’on s’affronte en une bataille réglementée pour la victoire, et la vie, où chacun lutte aussi pour l’emporter.En observant « Les joueurs d’échecs » par Le Caravage, on peut remarquer la dague

l’instant tel un bouquetEt de sa fraîcheur s’imprégner.Et de ses couleurs se gaver.Ah ! combien riche alors j’étais !Saisir l’instant. Saisir l’instant à peine néEt le bercer comme un enfant.A quel moment ai-je cessé ?Pourquoi ne puis-je… ? Esther Granek, Je cours après mon ombre, 1981 Rupture J’effacerai le tempsJ’effacerai les joursMais je sais qu’au retourJ’irai me questionnant VoilàJ’ai les mains videsVides sont mes mainsVidesParfois je les regarde, stupideEt les feuilles tombent dans

au jeu de Pierre Corneille, 17e siècle -dans vos yeux de Gaston Couté, 19e siècle - j’ai presque peur en vérité de Paul Verlaine, La bonne chanson, 1870 -la courbe de tes yeux de Paul Eluard, Capitale de la douleur, 1926 - toi de Esther Granek 1978 -l’ombres des anges de Isaac Lerutan, 2009 -a jamais de Chloe Douglas, 2010 -a ma fée de Christophe Bregaint, 2011 -regard désarmé de Christophe Bregaint, 2011 Ces poèmes ont été choisis car il partage leurs émotions, et même