Esthetique Baudelairienne

toutes les apparences d’une scène de jeux enfantins entre deux amis : une simple scène de pêche à la crevette. Mais l’innocence des deux enfants est troublée, le jeu de pêche glisse insensiblement vers un jeu d’une toute autre nature. A travers une esthétique de la lenteur mise en contraste avec la vivacité, grâce à l’importance accordée à la mise en scène des corps et à une gestuelle minutieusement décrite, Colette exprime subtilement la transition qui s’amorce entre les deux compagnons.

DISSERTATION DE PHILOSOPHIE: L'oeuvre d'art nous apprend – elle quelque chose ? L'art est une activité spécifiquement humaine. Toutes œuvres d'arts, qui sont une déclinaison de l'art, ont pour objet de provoquer, communément, une satisfaction esthétique. Nous ne sommes pas tous artistes, pour autant nous y sommes sensibles. Pourquoi l'homme crée – t – il des œuvres d'art ? L'artiste nous associe à son imaginaire. L'œuvre d'art se présente comme un désir ou une satisfaction qui provoque en l'homme

lui-même et pour le plaisir qu’il apporte, et non plus seulement pour l’usage qu’on pouvait en faire (par exemple, comme instrument de contestation ou de sociabilité). Dans cette culture du rire pour le rire (comme il y a, à la même époque, une esthétique de l’art pour l’art), ce sont les formes comiques les moins signifiantes qui sont désormais privilégiées, alors qu’elles étaient systématiquement dévalorisées dans la culture d’Ancien Régime. Dans le traitement comique de la langue, seuls les jeux

moins à une classe d'objets produisant un plaisir de type esthétique -ce serait là confondre les Grecs de l'antiquité et la vision que les Romantiques allemands en avaient- qu'à une manière d'être de certaines réalités: celles-ci n'ont pas en elles-mêmes le principe de leur existence. C'est pourtant cette célèbre formule d'Aristote, tirée des austères leçons de sa Physique dans un contexte ayant peu à voir avec les questions esthétiques, qui est devenue l'un des mots d'ordre les plus discutés

combinaison de plusieurs points pour former un certain équilibre en général. L'idée esthétique du créateur, la réalité industrielle, le réseau de distribution ainsi que les goûts de la clientèle doivent former un « tout » dans le design. » (Le Monde, 12.6.1971) . La création d'objets, d'oeuvres et d'environnements font partie intégrante du design en général. Toutes ces créations doivent être très fonctionnelles et surtout esthétiques afin de plaire à la société. Ceci conduit à la production industrielle ou

connaissances sur les formes musicales, les genres, les instruments…) – mémoriser un certain nombre d’œuvres musicales significatives vous servant de points de repère auditifs et vous permettant d’inscrire l’œuvre libre choisie par le jury dans un contexte esthétique et historique – affiner votre perception auditive : exercer votre oreille à percevoir les sons, les caractéristiques de l’écriture musicale, du traitement rythmique, du traitement vocal ou instrumental, à prendre sous la dictée des motifs, des thèmes

c’est un homme ouvert d’esprit et curieux. Sur le plan social il est agréable et poli. Il est aussi de bonne compagnie, il a l’art de plaire, il est divertissant et évite d’être ennuyeux. Les classiques ont un souci de la perfection. L’idéal esthétique est une recherche d’équilibre, de naturel et d’une certaine finesse dans l’analyse morale et psychologique des personnages. Le but primordial est de plaire et d’instruire, l’art doit provoquer la réflexion. On retrouve toujours la notion d’imitation

Définition "art"= 1) Au sens ancien, tout savoir-faire humain, toute pratique produisant un résultat non naturel (artificiel). 2) Au sens esthétique moderne, production ou création d'oeuvres destinées à plaire (beaux-arts), c'est-à-dire à susciter par leur aspect, une appréciation esthétique positive. - Tout le problème c'est de définir ce qui est où ce qui n'est pas de l'art. Cette notion est tellement subjective qu'elle appelle plusieurs réponses également valables. Certains verront l'art dans

fresque, sculptures…) et beaucoup d’innovations quand à la technique, la peinture à l’huile, la perspective linéaire, le sfumato…, qui lui donnent des caractéristiques propres. A cette époque, le nu devient un sujet à part entière et exprime une esthétique nouvelle. Au début les corps étaient très corpulents pour montrer que l’on entrait dans une nouvelle ère d’opulence mais surtout parce que les humanistes voulait placer l’homme au centre du monde. Plus tard les corps musclés font leur apparition

« aiguille » ou à une « épée ». Si l’aiguille semble fragile et n’est qu’un instrument de travail, l’épée, qui a la même forme allongée qu’elle, suggère la force, parce que c’est une arme. L’intérêt de Paris ne réside donc pas seulement dans sa perfection esthétique, mais aussi dans l’affirmation d’un caractère, d’une certaine force morale, révélée par les connotations attachées à l’adjectif « forte » et au mot « épée ». Ce dernier annonce clairement sa capacité à résister, à combattre, contrairement à ce