Esthétique transcendantale

l'historique) et comme un prin aduisent la corrélation au moins tendanc cipe ou un processus de subjectivation ielle entre faits de langue, faits de re (spontanément pensé dans la dimens ligion, faits de parenté, faits iondu "vécu", de l'individualité esthétiques au sens large (car il y a des "consciente" ou "inconsciente"). Entre styles de vie comme il y a des styles ces deux pôles il y aurait normalement musicaux ou littéraires), et faits poli correspondance ou réciprocité, suivant tiques. Mais en même

qu’essaya de faire Paul Cézanne en ayant ramené tout au cube, sphère et cône, chercher les différentes facettes d’une réalité en un seul moment pictural expressif ainsi qu’exprimé dans la peinture cubiste de Picasso, … ou produire un art et une esthétique en soi et pour soi comme cela a été manifesté dans les œuvres et les écrits de Wassily Kandinsky, ou encore rendre visible l’invisible tel qu’il a été revendiqué par Paul Klee, mais aussi un espace permettant à l’artiste, au désigner, ou à l’architecte

désespérés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots." Cela rappelle au passage que Chant = poésie lyrique, celle qui est destinée à exprimer les sentiments intimes, de préférence mélancoliques. Plaisir esthétique du sanglot, il y a là quelque chose qui peut paraître malsain, de masochiste ("Laisse-là s'élargir, cette sainte blessure") ; en tous les cas, cela confirme la nature tourmentée du poète. Introduction : Les poètes ont une réputation de « maudits

culturel ? Alors le sentiment esthétique nécessaire pour apprécier une œuvre d’art dépend-il du niveau culturel du spectateur ? Etre cultivé c’est se développer par l’instruction, avoir une palette de connaissance : transmises par l'éducation et portant sur la science, l'histoire, la littérature, la mythologie. La culture s'oppose à l'ignorance. De plus, apprécier une œuvre d’art peut signifier des choses très différentes. On peut trouver des qualités esthétiques à une œuvre d’art mais aussi vouloir

Jardin: n.m. Terrain, souvent clos, où l'on cultive des végétaux utiles (légumes, arbres fruitiers) ou d'agrément (fleurs, arbustes ornementaux). ENCYCL. En Occident, les deux grands types de jardins, s'agissant de compositions importantes, à ambition esthétique ou symbolique, sont le jardin régulier, qui impose sa symétrie à une nature domestiquée (jardin italien de la Renaissance, jardin "à la française" du XVIIe s.), et le jardin paysager, qui simule le pittoresque d'un paysage naturel varié (jardin

complète et équilibrée de l’enfance et de la jeunesse en aidant à vivre pleinement grâce à une participation à une activité physique réfléchie. L’EPS à l’école contribue selon l’ouvrage à l’éducation cognitive, psychomotrice, socio-affective, esthétique et morale afin d’enrichir la qualité de vie.

temps et la nature. Ronsard et du Bellay Le baroque (~1570 - ~1650) "Baroque" vient de barrocco, "les perles de formes irrégulières". Au départ, le terme n'est employé que pour les arts figuratifs. Le baroque est l'art du mouvement ; c'est une esthétique, une vision du monde, un comportement, une manière de réagir à une crise. Ce mouvement a une histoire : on le situe généralement entre le dernier tiers du XVIe siècle jusqu'au premier tiers du XVIIe siècle. Les lumières (1670-1820) La

plusieurs plans : celui d’une qualité esthétique intrinsèque, et celui d’une qualité subjective de la perception. L’art nous interpelle, nous parle : c’est le langage de l’art. Pour Goodman, ce langage de l’art se situe dans le courant de la théorie constructiviste. En cela, il s’oppose au Platonisme, selon lequel l’idée est à l’origine, au fondement de l’œuvre. Goodman, lui, défend une théorie qui affirme que les processus métaphysiques, esthétiques ou cognitifs, sont purement abstraits et

collines à la catégorie générale de la littérature populaire : c'est une œuvre d'accès facile, assez simple, construite sur un schéma dramatique classique, mettant en scène des personnages attachants et émouvants. Mais ce livre a aussi un intérêt esthétique, et son écriture a souvent une portée poétique. On y trouve aussi quelques indications ethnolinguistiques (provençal).

promet une longevité, il est le symbole de la durabilité grâce à ses 2kilomètres d’écriture. De plus, il n’indique aucun moment de faiblesse : tant que le stylo a de l’encre, il fonctionnera. Mais également la promesse de praticité, grâce a son esthetique très simple, sans vice caché. Il affiche toute sa technologie, c’est d’ailleurs le fait qu’il soit aussi facilement démontable qu’il en est détourné en cerbacane par les écoliers. Il est économique, sans fioriture. Il se suffit à lui même. A l’inverse