États généraux de 1614

règne de Louis XIV est un aboutissement plutôt qu’une fondation. * Les contre-pouvoirs sont éradiqués. Le Parlement résiste quand même sous LXIV. Les villes qui ont des encadrements autonomes restent des valeurs sûres. Il existe encore des Etats Provinciaux qui négocient l’impôt avec le roi et qui ne seront pas supprimés. i-l’heritage « absolutiste » 1643-1648 1-les heritages du xvie : l’option absolutiste a-une monarchie « arbitrale » Sur le plan théorique la monarchie absolue est théorisée

touchent le pays, particulièrement les crises politiques qui ont des répercutions sociales et économiques. Ces crises sont très mal vécues par les français. Pour la majorité des français il est nécessaire d'avoir un roi fort, la preuve c'est qu'aux EG de 1614 les représentants du TE réclameront que l'absolutisme devienne une loi de l'Etat. Une loi fondamentale, intouchable, que nul ne peut contourner et qui ne peut être remise en cause par les seigneurs du royaume. Cette demande du TE sera rejetée en raison

à la fin, il a toujours le dernier mots. Le roi agit pour la justice, c'est son premier devoir, cette justice est rendu pour le droit commun, il ne peut pas alors se tromper. Le roi doit néanmoins gouverner par conseil avec le parlement, les Etats Généraux. La contestation de ce système existe depuis le début de la monarchie, mais c'est au XVIII que la contestation, avec la contestation des Lumières, grandi. Mais cette contestation n'est pas un parti, il y a plusieurs formes. Mais avec le sacre

contractuelle On parle d’absolutisme on dit que le roi a tout les pouvoirs mais cela ne signifie pas que c’est une monarchie il existe des organes consultatif c’est bien le roi qui décide de la solution a adopté. Les états généraux représentent la nation mais elle n’est plus réuni depuis 1614 c’est un signe de l’absolutisme monarchique. Les parlements d’ancien régime qui sont des cours de justice charger d’enregistrait les édit du roi et d’émettre des remontrances. Pour autant si c’est bien le symbole

autre autorité. Les sujets sont libres mais n’ont pas le droit de se révolter. La République doit être un gouvernement juste, sur le droit et la morale. Jean Bodin se livre à une étude sur l’état de son époque. Guy Coquil était avocat puis procureur général du Nivernais. Il décrit le régime de la France comme une « vraie monarchie ». Ce n’est pas un régime mixte. Le roi est monarque et n’a pas de compagnon. Personne ne partage le pouvoir du roi. Il fait suivre une énumération des pouvoirs du roi. Ses

frontières du royaume, qui oppose l’Angleterre et sa « Grande Alliance » à la France, ceux-ci craignant une alliance entre le trône d’Espagne et de France. Aux Etats généraux de 1614, la tradition du roi en tant que race protégée et bénie de Dieu, que son pouvoir lui vient directement de Dieu, re-paraît et se renforce. Les Etats généraux proclament le principe du pouvoir de droit divin en tant que loi fondamentale du royaume. L’extrait de l’œuvre, lui-même extrait du livre III, se divise en 3 sous

résistance légale qui viendrait de magistrats. Sur ces bases on a auteurs français sur résistance légitime = les MONARCHOMAQUES. Parmi eux on a Philippe duplessis-mornay appartient à entourage d'Henri IV. Ouvrage en 1579 VINDICIAE CONTRA TYRANNOS l'idée générale est que le Roi tire son pouvoir du peuple, il réside dans un contrat qui est illustré dans serment prononcé lors du sacre. Si le roi rompt le contrat à ce moment là résistance légitime car l'obéissance au Roi n'est que conditionnelle. Ca passe par

fondamentales sur la tradition interdisant de rechercher le fondement du pouvoir , de peur de ne lui découvrir que des assises juridiques trop précaires. B) Les parlements de la fin de l'Ancien Régime Le 20 aout 1786,Calonne , contrôleur général des Finances , remit a Louis XVI un mémoire sur le déficit financier.Pour l'atténuer il proposa une reforme de l'Etat comprenant , notamment des dispositions fiscales tendant a l'unification des impôts et a l'égalité des français a leur égard. Le

malgré sa richesse et même si elle est le moteur de l’économie, celle-ci est dépourvue de toute expression politique. (Il a existé dans l’histoire une institution qui permettait au Tiers État en général d’être représenté politiquement à travers les États généraux, mais ils n’ont plus été réunis depuis 1614.) La philosophie des Lumières au 18ème siècle va apporter à la bourgeoisie une doctrine, un corpus d’idées théoriques à leur revendication. Elle revendique donc l’abolition des privilèges, sa représentation

aucun peuple afin de couper pour ainsi dire en deux leur destiné, et de séparer par un abîme, ceux qu'ils avaient été jusque là de ce qu'ils voulaient être désormais » les français ont préparé l'avenir. Entre le 5 mai 1789, date d'ouverture des états généraux et le 9 novembre 1799, coup d’état de brumaire, les bouleversements et les transformations vont changer la France. Entre ses 2 dates, on peut pas considérer que la Révolution soit linéaire, elle ne constitue pas un bloc, cette période de la Révolution