Étoile supergéante

.................................................. Départ L’horizon s’incline Les jours sont plus longs Voyage Un cœur saute dans une cage Un oiseau chante Il va mourir Une autre porte va s’ouvrir Au fond du couloir Où s’allume Une étoile Une femme brune La lanterne du train qui part P. REVERDY (1889-1960), in J. Charpentreau « Poèmes d’aujourd’hui pour les enfants de maintenant » (Éd. Ouvrières) Route Nationale 7 De toutes les routes de France, d’Europe Celle que j’préfère

idéal ;J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;Oh ! là là ! que d’amours splendides j’ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou.— Petit Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse ;— Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou. Et je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,Comme des lyres, je tirais

Les étoiles qui brillaient dans le ciel ce soir-là étaient particulièrement plus visibles que les autres jours de la semaine. Comme-ci elles voulaient me prévenir de quelque chose. Mais je n’y prêtai guère attention car j’étais plutôt préoccupé par le fait que le directeur de mon collège nous ait annoncé qu’à partir de la semaine prochaine nous pourrions sortir dans le parc. Tout le monde s’interrogea après l’annonce car cet endroit nous était interdit jusqu’à la cinquième pour diverses raisons de

Devant elle, les étoiles tombaient, une à une, puis s’éteignaient parmi les pierres du désert, et à chaque fois Janine s’ouvrait un peu plus à la nuit…. En même temps, il lui semblait retrouver ses racines, la sève montait à nouveau dans son corps qui ne tremblait plus. Pressée de tout son ventre contre le parapet, tendue vers le ciel en mouvement, elle attendit seulement que son cœur encore bouleversé s’apaisât à son tour et que le silence se fît en elle. Les dernières étoiles des constellations

l'intérieur, ça t'envahit... Quand tu es amoureuse, tu penses tout le temps à lui, c'est une obsession, tu te demandes ce qu'il fait, à quoi il pense, il t’obstine. Tu penses tout le temps à lui, tu envisages des projets avec lui, tu veux regarder les étoiles avec, tu veux simplement t'allonger dans l'herbe auprès de lui et écouter les oiseaux chanter, tu ne peux t'empêcher de le toucher, lui prendre la main et le serrer dans tes bras, tu ne rêves que de ça. Tu rêves de lui, tu imagines ta vie avec lui

nuit habite pendant le jour. Sur la ligne noirâtre des devantures, les vitres d'un cartonnier flamboient: deux lampes à schiste trouent l'ombre de deux flammes jaunes. Et, de l'autre côté, une bougie, plantée au milieu d'un verre à quinquet, met des étoiles de lumière dans la boite de bijoux faux. La marchande sommeille au fond de son armoire, les mains cachées sous son châle. ------------------------------------------------- Il y a quelques années, en face de cette marchande, se trouvait une boutique

ma main dans ta gueule . - Avant de baver sur ma gueule , commence par fermer tes cuisses Biatch . - J'ai le sang chaud , le sang l'atino & l'italie dans la peau . - Génération Je t'aime ma puce , seulement si tu m'suce . - J'irais toucher les étoiles & au bout de mes rêves les plus fou . - Déconnecter moi de la vie comme sur Internet . - Ma chambre est un vrai bazar & mon coeur un vrai trou noir . - J'aurais aimer etre celle que je voulais etre . - Le chemin de mon coeur est le chemin de l'extreme

d'irréel, et lui confèrent une valeur universelle. *Dans le premier chapitre, l'auteur présente d'abord le cadre spatio-temporel de l'histoire et le personnage principal, Micromégas ; il vit sur une planète sans nom, autour de l'étoile de Sirius, cette étoile étant la plus brillante du ciel. "Dans une de ces planètes qui tournent autour de l'étoile nommée Sirius, il y avait un jeune homme de beaucoup d'esprit." *Les données sur le personnage principal le font paraître extraordinaire, irréel. Micromégas

à cette planche je citerai le Coran sourate XXIV, dite la Lumière, verset 35 : Dieu est la lumière des cieux et de la terre ! Sa lumière est comparable à une niche Où se trouve une lampe. La lampe est dans un verre ; Le verre est semblable à une étoile brillante. Cette lampe est allumée à un arbre béni, L’olivier, qui ne provient Ni de l’Orient ni de l’Occident et dont l’huile est près d’éclairer sans que le feu la touche. Lumière sur lumière ! Dieu guide, vers sa lumière, qui il veut. Dieu propose

scène 3. DON RODRIGUE Par mon commandement la garde en fait de même, Et se tenant cachée, aide à mon stratagème ; Et je feins hardiment d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suivre et que je donne à tous. Cette obscure clarté qui tombe des étoiles Enfin avec le flux nous fait voir trente voiles ; L'onde s'enfle dessous, et d'un commun effort Les Maures et la mer montent jusques au port. On les laisse passer ; tout leur parait tranquille ; Point de soldats au port, point aux murs de la ville