Etranger Requisitoire Commentaire

fortement contestée ; et cet hiver encore, dans le texte que Sartre a donné à L'Observateur, on retrouvait, à propos de Baudelaire, l'idée qu'il est impossible d'expliquer un écrivain. À la limite, la thèse de Sartre portait condamnation de tout commentaire sous quelque forme qu'il se présente. Après tout, n'est-il pas normal de laisser les écrivains et les lecteurs face à face ? Ont-ils vraiment besoin d'un intermédiaire pour s'atteindre ?        Je crois cette idée fausse, pour deux raisons : l'une

merveilleux faicts d'armes qu'il fist pour le roi Artus. Deux ans plus tard, il reprit à sa manière l'histoire de Gargantua, sous la forme d'une libre adaptation des Cronicques. Il n'est pas d'ouvrage qui ait donné lieu à plus d'interprétations et de commentaires que celui de Rabelais. On y a vu un livre à clefs et l'on s'est évertué, sans succès, à vouloir assimiler Jean des Entommeures au cardinal de Lorraine, Gargamelle à Marie d'Angleterre, Gargantua à François Ier, Graudgousier à Louis XII, Pantagruel

du pécher originel. Pour les Jansénistes, l’homme a était profondément corrompus par le pécher originel et seul le secours de la grâce divine peut le sauver. Les Jansénistes tirent leur nom de « Jansénius », philosophe, qui publie en 1640, un commentaire de la théologie de Saint Augustin. Pascal écrit Les Provinciales qui sont des lettres clandestines, en 1656. Elles sont dirigées contre l’ambition politique des Jésuites et la morale indulgente qu’ils prônent pour séduire l’aristocratie. Cette œuvre

puis, pour achever de la perdre, le soir, la marche le long du fleuve, l’ensevelissement qui monte du Dior... C’est alors qu’elle avait commencé à appeler au hasard. Peut-être s’étaient-elles croisées ? Sans se voir ? Sans se reconnaître ? Avec une étrange lucidité, Maud remontait le calvaire de sa mère, et ne pouvait se détourner du spectacle qu’elle découvrait. Maintenant la voix reprenait, tantôt haletante, tantôt empreinte d’une tendresse qui coulait à pleines vannes : - Ma petite Maud ! Mon enfant

au directeur, il se contente d’un « oui » très bref, et apparaît peu loquace, solitaire (« pour n’avoir plus à parler »). Il semble aussi hésitant (date de la mort, attitude à adopter face au patron), peu sûr de lui. Des rapports étranges avec sa mèreDe son vivant : il a vécu avec elle puis l’a placée à l’asile 3 ans auparavant et l’a peu à peu perdue de vue. Pb de communication mère-fils : silence qui existe entre eux ; elle était malheureuse (pleurs) mais il n’a pas vraiment cherché

pour achever de la perdre, le soir, la marche le long du fleuve, l’ensevelissement qui monte du Dior... C’est alors qu’elle avait commencé à appeler au hasard. Peut-être s’étaient-elles croisées ? Sans se voir ? Sans se reconnaître ? Avec une étrange lucidité, Maud remontait le calvaire de sa mère, et ne pouvait se détourner du spectacle qu’elle découvrait. Maintenant la voix reprenait, tantôt haletante, tantôt empreinte d’une tendresse qui coulait à pleines vannes : - Ma petite Maud ! Mon

= Claude Gueux ou les autres personnages -1ère pers sing: je = le narrateur lui-même, qui commente son récit. (-1ère pers plur: nous (l. 712, p43 Magnard) = VH -3ème pers sing: on (l.537, p.35) = le juge d’instruction.) -Mise en garde, commentaires du narrateur / auteur : volonté de répéter l’authenticité de son récit. Souci de vérité. Son récit est présenté comme un témoignage ne s’appuyant que sur des faits avérés. -Présentation du contexte (voir à ce propos l’introduction de l’édition

possible d'un abandon voluptueux au sommeil qui peut être interprété aussi comme le rictus de la mort) et «la tête nue» en plein soleil sont inquiétantes. Et l'est encore plus «la nuque baignant dans le frais cresson bleu», car voilà une position étrange, d'autant plus que la nuque est une des parties les plus fragiles du corps et que, si cette fraîcheur, en plein soleil, peut être considérée comme un indice de bien-être, inversement, si le cresson y pousse, c'est peut-être que le terrain est marécageux

pour achever de la perdre, le soir, la marche le long du fleuve, l’ensevelissement qui monte du Dior... C’est alors qu’elle avait commencé à appeler au hasard. Peut-être s’étaient-elles croisées ? Sans se voir ? Sans se reconnaître ? Avec une étrange lucidité, Maud remontait le calvaire de sa mère, et ne pouvait se détourner du spectacle qu’elle découvrait. Maintenant la voix reprenait, tantôt haletante, tantôt empreinte d’une tendresse qui coulait à pleines vannes : - Ma petite Maud ! Mon

poésie cherche à s'accorder : refus des écoles politique,modernisation des formes exemples : vers libre,absence de ponctuation,calligramme,lyrisme très personnel. Les thèmes sont ceux de la ville,des traits,de l'avion,de l’électricité et des pays étrangers. Le poète assume son statut marginal et réussit à le concilier avec une vie circulaire,il travail avec d'autre artiste et il se sent libre de crée quand il veut (ex:Apollinaire). La poésie contemporaine à par thème la réalité quotidienne,le langage