Etre Heureux Est Ce Seulement Ne Pas Souffrir

qui désire ne peut être satisfait, car ses désirs sont complexes et infinis, et tout objet de désirs implique une précision et une finitude. Ainsi, l’homme ne peut être comblé dans ses espérances et ses désirs, puisqu’ils ne peuvent être assouvis. Mais l’homme qui ne désire pas demeure un homme finit, sans projet ni but, il ne peut avancer. Dans ce paradoxe entre la souffrance et le désir, une question se pose : L’homme qui désire est-il inéluctablement un être destiné à souffrir ? Pour tenter

que tu ne connaîtrais pas par hasard la vraie définition de l’amour ? On a peut-être deux opinions différentes mais en tout cas les sentiments ne provoquent rien sur moi. Les filles ne sont faites que pour être manipulées, elles sont tout simplement des êtres inférieurs par rapport aux hommes, regarde un peu la réalité en face ! CLAIRE, suit son ami : Les êtres humains sont tous égaux. Aimer ce n’est pas seulement bien aimer, c’est aussi comprendre. Ton problème, c’est que tu n’arrives pas à établir

d’où on est, est clos dans l’espace et dans le temps Les grecs pensaient que l’on rendait le monde disharmonieux (manquant d’harmonie) Le monde est hiérarchisé Différence entre morale et éthique On n’a aucun pouvoir sur la nature, on peut seulement la contempler, cela signifie que l’on a pas de pouvoir. La notion de contre nature dépend de l’interprétation. Aujourd’hui, nous avons transformé la perception de la nautre. On dit que l’Univers est finalisé chez les Grecs, que le corps,

souffrance est bel et bien présente : attentes de l’aimé, peur de perdre l’autre, déceptions … En effet, plus on dépend des autres, moins on est heureux puisqu’on ne peut agir que sur ce qui dépend de nous. Désirer des actes, des faits, des paroles d’autrui conduit donc souvent à la souffrance car on ne contrôle pas autrui. Mais désirer est-ce nécessairement souffrir ? Tout d’abord, le mot « souffrance » désigne un état de douleur physique ou morale et « désirer » est souhaiter la réalisation, la possession

l’oppression ou tout autre moyen de contrainte de l’individu qui le rendrait malheureux. L’homme est un être sensible qui est capable de sentir le bonheur et le malheur. Ainsi, sentir de la douleur, c’est ne pas satisfaire ses désirs et, mais au contraire, sentir le bonheur serait de satisfaire nos désirs. Le désir que nous éprouvant pour être heureux sont pour autant des souffrances, aspirant à être résorbées. Nos désirs sont énormes, mais sommes nous capable de les satisfaire ? Nos désirs nous mènent-ils

plaisir. il peut etre spontanée et conscient et fait appel a l’imagination,.ce qui le differencie des animaux. l’homme a tendance a penser et a idealiser l’objet de son desire avant meme de le posseder.il pense que si il exauce son desir ,il sera plus heureux dans vie. or tres vite apres son aquisition vient une deception. Car le plaisir imaginé ,attendu n’est jamais obtenu. nous pouvons dire alors que le bonheur et le desir sont contradictoire, car desirer quelque chose ,c’est etre alienné a lui,ne

la tienne. Embrasse moi, emmène moi dans ces rêves. Embrasse moi, aime moi d'un amour sans trêve. Cette chaleur, la température monte je le sens. Que du bonheur, ta présence je ressens. Fais moi vivre, je souhaite être heureuse. Rend moi ivre, je suis seulement amoureuse. L'amour est affligeant, nous le savons. Car la réalité, nous la fuyons. Ouvrir les yeux pour tomber de plus haut. Viens, je t'emmène, viens, au delà des plaines. Le mensonge, roi de ce monde faux, Suis

reviendra, et il sera différent. En fait, selon moi, l'homme heureux est celui dont les désirs, qui reviennent sans cesse, sont toujours les même, et qu'ils ne sont pas difficile à satisfaire. Malheuresement, il faut pour cela vivre de manière très simple, et c'est dans la nature de l'homme d'être compliqué, et de vouloir toujours plus. Hélas. L'argent ne fait pas le bonheur, dit on, mais cependant, imaginons quelqu'un qui désir être entouré d'objet de valeur : il lui suffira d'être riche pour

l’amante de l’empereur et cela fait trois jours que Caligula est absent. Les patriciens sont inquiets. L’empereur revient cependant au palais. Mais il est troublé et sa vision du monde a changé. Il dit : « les hommes meurent et ils ne sont pas heureux ». Assoiffé d’une envie de liberté infinie, il va imposer à tous et au peuple de Rome une logique folle. Caligula rêve de pouvoir toucher l’impossible, et il va user de tout son pouvoir afin de faire de son règne celui de l’impossible. Pour l’empereur

leurs mauvais usages ou leurs excès. ». On peut dire de cette citation, que les passions, désignant au sens moderne une inclination exclusive vers un objet, un état affectif violent et durable, n’ont pas seulement un effet positif sur l’homme. La passion doit-elle alors être nuancée pour ne pas être négative ? C’est alors que nous nous demandons : « Vaut-il mieux se perdre dans la passion qu’avoir perdu toute passion ? » D’autre part, une passion peut bouleverser une vie et générer une extrême satisfaction