Étreintes brisées

attentes passionnées de Emma. Bien qu’il profite de l’attirance que la jeune femme a pour lui et brise les promesses de fidélité qu’elle a faites en se mariant avec Charles, Rodolphe ne comprend pas l’ampleur de l’implication de sa maîtresse dans cette liaison. Très vite, il a peur car il voit qu’Emma veut vivre une réelle histoire d’amour avec lui alors qu’en réalité, il ne veut lui offrir que des étreintes cachées. Toujours à la partie 2, peu de temps après avoir consommée leur amour, il décide de

oxymores « comblé d’angoisse », « belle sorcière ». Alchimie présente : « philtre », « sorcière ». Présence du spleen à travers la prière, objurgation, supplique : sentiments négatifs (angoisse, ce qui étreint) enjambements successifs : aucun point dans cette strophe . Métaphysique, agonie visible, mort proche phrase

pour rien aux yeux de l'Histoire. Basculement dans le vulgaire : rouge est une couleur voyante, manque de distinction III. Force de ce texte de nous donner à sentir la violence/l'angoisse de la guerre sans jamais la nommer. Claude Simon → étreinte brisée → violence de la guerre. L'écriture dans ce texte est le prolongement de ce cri, la tentative de lui donner forme, de l'habiter, de la transformer en vision sous la forme d'une seule phrase ininterrompue qui à cause de son étirement, de sa longueur

souffrance est reconnue par Sainte Colombe dans une formule frappante à la fin du chapitre X : « Cependant votre voix brisée m’a ému. Je vous garde pour votre douleur, non pour votre art. » Beaucoup de scènes montrent une communion profonde entre les personnages au-delà du langage, par les sentiments qu’ils éprouvent. Comme la scène de la petite viole, dans laquelle Toinette enfant étreint son père qui reste muet au chapitre III. Les sentiments de SC sont réels, invisibles, mais profonds. On le voit

de vivre sa « mexicanité » : incarnant aussi bien la « culture indigène » en portant des costumes traditionnels, que de représenter les « femmes modernes », libres et indépendantes dans leur vie et dans leurs choix. Des peintures comme « La Colonne Brisée » (« La Columna Rota », 1944) et « Le Cerf Blessé » (« El Venado Herido », 1946) où elle s'exprime crûment, et sans volonté de « faire du beau » : ce sera là la marque de son succès. Elle peint même pour ces chirurgiens qui tente de lui redonner une

la rumeur d’un rivage par le flot tourmenté et tiens dans la main des grains du sable d’or — bien peu ! encore comme ils glissent à travers mes doigts à l’abîme, pendant que je pleure — pendant que je pleure ! Ô Dieu ! ne puis-je les serrer d’une étreinte plus sûre ? Ô Dieu ! ne puis-je en sauver un de la vague impitoyable ? Tout ce que nous voyons ou paraissons, n’est-il qu’un rêve dans un rêve ? Un rêve dans un rêve, Edgar Allan Poe J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans.Un gros meuble

ascenseurs aux aiguilles acérées plantées dans les peaux. Les yeux rivés au sol, j’avais pressé Maude afin que nous nous rendions au plus vite à l’étage où grand-père se trouvait. Notre mère nous attendait près de la chambre. Après nous avoir étreints longuement, elle avait murmuré que le médecin était passé. Elle n’avait pas eu à en dire plus. Grand-mère était assise près du lit et tenait dans sa main droite un chapelet qu’elle égrenait en marmonnant. Je l’avais vue souvent s’assoupir dans

s’enlace dans ce récit. La mort serait-elle un prétexte à un amour sans fin, paradoxalement? “La Mort, subite, avait foudroyé. La nuit dernière, sa bien-aimée s'était évanouie en des joies si profondes, s'était perdue en de si exquises étreintes, que son cœur, brisé de délices, avait défailli” p 104/105. Le coup de foudre amoureux semble être relié à cette mort. Est-ce une façon de dénoncer la mort de l’individualité, puisque l’amour c’est être deux, sans être soi. Vouloir aimer, est-ce vouloir mourir

lune blanchis, Coupaient l'ombre, ou tremblaient dans une eau réfléchis. Peut-être on entendait vaguement dans les plaines S'étouffer des baisers, se mêler des haleines, Et les deux villes surs, lasses des feux du jour, Murmurer mollement d'une étreinte d'amour ! Et le vent, soupirant sous le frais sycomore, Allait tout parfumé de Sodome à Gomorrhe. C'est alors que passa le nuage noirci, Et que la voix d'en haut lui cria : - C'est ici ! VIII La nuée éclate ! La flamme écarlate Déchire

de Louise qui était lui-même gonflé par les pleurs. De plus, ayant touché un nerf, l’antérieur d’Echo se souleva brutalement. Celui-ci cogna la tête de Louise de plein fouet. C’en était trop pour la cavalière qui tomba dans le coma le cœur lourd, brisé et