Étreintes brisées

enfants, qui me soutiennent au cours des longues journées que je passe devant mon ordinateur et à tous les lecteurs et lectrices qui ont pris le risque d’acheter ce modeste roman où il est question de la rencontre d’un garçon et d’une fille aux vies brisées, je dis merci. « Lorsque je t’ai vue, je suis tombé amoureux et tu as souri parce que tu as compris. » Arrigo Boito. Temporaire. Ce mot décrit à merveille les dernières années de ma vie. J’ai un job temporaire jusqu’à ce qu’enfin je parvienne

l’autodestruction. C’est une issue logique, s’il y a 1 face à 1, cela fait toujours 2 alors que les amants recherchent l'unité. La fusion n’est pas l’unité. Ou bien, la dualité signifie autre chose, l’idée que la complétude du Soi a été comme brisée, que l’âme est comme coupée d’une part de soi, de sa part divine. Le cheminement du désir prend alors un tout autre sens. Si l’âme désire, ce n’est pas qu’elle est en recherche de "l’autre", c’est qu’elle est en quête de sa propre totalité, de la

les pas lourds et les craquements dans l'escalier. Puis ce sont des cris, des plaintes et le bruit d'une sonnette. Le narrateur se lève et court aux nouvelles. Il trouve M. Alphonse mort, gisant sur le lit nuptial brisé, le corps couvert de contusions. Son torse semble avoir été étreint violemment par un cercle de fer. Mme Alphonse est en proie à une crise d'hystérie13. Elle ne décèle sur le corps aucune trace de sang bien que la mort ait été violente compte tenu de la pose angoissée14 que le visage

comme des cercles obscurs parce qu’il les ait mémorisé l’impression de ses yeux obscurs et profond de cette nuit. La ligne jaune verticale au dessous de son rame est la lumière de la lune reflète et brisé a la surface de l’eau. (Cette image et délibérément fait à être  phallique. Les parties brisées plus bas de la réflexion lunaire sont prédites a représenter les goutes de fluide séminal). Münch répète ce motif dans ses peintures pour représenter la relation sexuelle. La robe de Millie est blanche

obscur et le ciel bleu qui caractérise la représentation hugolienne de ce qui est. L’octosyllabe fréquemment employé apporte son évidence brève à la phrase, et vient parfois, comme l’hexasyllabe, rythmer la strophe dominée par l’alexandrin qu’il brise ou prolonge. La richesse de ce livre permettra de multiples liens thématiques et formels avec d’autres œuvres littéraires et artistiques, pour aller plus loin. Un groupement de textes sur l’enfance en poésie donnera un aperçu de l’auteur comme poète

l’éprouvent. Tout se passant comme si l’extase et la fatigue existaient indépendamment des personnages qui en sont le siège. Puis du troisième au sixième vers s’esquisse un décor naturel évoqué de manière imprécise à travers des termes tels que « bois », « brise », « ramure », « voix ». Les éléments nommés sont peu nombreux. Ils sont à peine décrits : deux adjectifs seulement dont l’un (« petite ») possède une faible valeur descriptive. Quant à la notation, de couleur dans « ramure grise », elle suggère comme

Semble, sous le bandeau de sa rousse clarté, Le spectre d'une nonne au voile ensanglanté. III Oh ! si, comme une fée amante de la brise, La MORT sur un nuage avec mollesse assise, Descendant jusqu'à moi du haut de l'horizon, Venait pour piédestal élire ce balcon !... Mon oeil s'arrêterait ardent sur son oeil vide, Je l'emprisonnerais dans une étreinte avide, Et, le sang tout en feu, j'oserais apposer Sur sa bouche de glace un délicat baiser ! Pilothée O’neddy Jacques Brel Ne me

promis Aux égarements des douleurs Quand la colère des flots fume Et qu’elle déchire les récifs Que des écharpes de brumes S’enroulent à son corps massif Il tend son flanc souverain Aux torpeurs enivrantes Affilé par les embruns Et leurs étreintes conquérantes Sur l’autel de ses écumes Dans l’orgie de ses reflux Quand sous ses quartiers de lune La peur déroule ses affûts Il émerge de cette attente Epuisé par les aguets Et les craintes de ces tourmentes Qui menacent de leurs ivraies

l’éprouvent. Tout se passant comme si l’extase et la fatigue existaient indépendamment des personnages qui en sont le siège. Puis du troisième au sixième vers s’esquisse un décor naturel évoqué de manière imprécise à travers des termes tels que « bois », « brise », « ramure », « voix ». Les éléments nommés sont peu nombreux. Ils sont à peine décrits : deux adjectifs seulement dont l’un (« petite ») possède une faible valeur descriptive. Quant à la notation, de couleur dans « ramure grise », elle suggère

vous, tu me montres ? Il reprit son grand sourire charmeur qu'il avait délaissé pour se joindre à mes pleurnichages. Il me prit par le bras, sa main douce me donnait envie de courir pendant des heures, une impression de liberté se dégageais de son étreinte. Il me conduisit dans un petit recoin du jardin en trottinant. J'avais trop longtemps oublier ce que ressentait mes pieds quand ils foulaient de l'herbe fraichement tondue. Je m'abandonnais à cette sensation de douceur et Jordan se retourna en souriant