Etudier Le Personnage De Bérénice

privilégie avant tout le mouvement, qui s’exprime dans le goût de l’action, mais aussi dans les formes : volutes et arabesques en architecture hyperboles et métaphores et en littérature. Romans interminables, surchargés d’intrigues, pleins de personnages. Tragi-comédie avec plein d’actions etc… Le sentiment d’instabilité s’exprime à travers les thèmes de la Fortune et du hasard, de l’inconstance en amour, de l’illusion ; la folie et les songes sont régulièrement convoqués. Le baroque fait usage

Ce corpus est composé de quatre monologues, tirés des oeuvres Le Cid de Pierre Corneille, Bérénice de Racine, Lorenzaccio d'Alfred de Musset et Ruy Blas de Victor Hugo. Ce sont toutes des pièces de théâtre écrites entre le XVIIe et le XIXe siècle par des auteurs français. Un monologue est, au théâtre, un moment de la pièce où l'acteur parle tout seul à voix haute, dans le but d'être entendu des spectateurs. Il intervient souvent à un moment précis de l'action et possède bien des caractéristiques

Chacun de ces texte s’avèrent être une scène de rencontre. Le premier texte étudié est extrait du roman La princesse de Clèves rédigé par Madame de Lafayette et est paru en 1678. Le deuxième extrait provient du roman Le rouge et le noir de Stendhal rédigé en 1830. Gustave Flaubert a écrit L’éducation sentimentale en 1869 dont se trouve être extrait le troisième texte de ce groupement et enfin nous trouvons ici un incipit d’Aurélien, récit écrit par Louis Aragon en 1944. Quelles

grand-mère, Marie Moulins. Il va alors suivre son éducation au Couvent de Port-Royal, il y recevra une religion janséniste qui est une religion sur la grâce et la prédestination. En 1658, il entre au collège d'Harcourt, dirigé par des jansénistes, où il étudie la philosophie. Il commence alors à écrire des poèmes, il décide donc de s'adonner à la littérature et au théâtre. En 1660, il compose la Nymphe de la Seine pour le mariage de Louis XIV en l'honneur de Marie Antoinette. Il écrit d'autres poèmes en

justement, pourquoi est-ce que le conflit entre les personnages pourrait-il être ce que nous retenons avant tout de cette lecture ou de la représentation d’une pièce de théâtre ? Dans un premier temps nous constaterons que les différents types de conflits accompagnés de leur fonctionnement créent la trame du théâtre. Nous analyserons donc ensuite les enjeux du conflits et l’essence derrière ce dernier, aussi bien ce qu’il révèle au niveau du personnage mais aussi l’effet qu’il donne à son auditoire.

lutte avec la volonté, dans ses hésitations. Nous aurons la possibilité d’entrevoir l’amour en tant que l’émotion qui rend l’homme faible et par conséquent violent. Nous analyserons les tragédies suivantes : Andromaque, Britannicus, Mithridate, Bérénice, Iphigénie et Phèdre ne laissant de côté que Bajazet en raison de son thème exotique. Nous allons omettre les deux premières pièces également, Alexandre le Grand et Thébaïde, puisque nous considérons Andromaque comme une œuvre qui représente un tournant

théâtre. Dans le premier extrait, il nous est présenté la scène 2 de l’acte III de la pièce de théâtre l’école des femmes écrit en 1662 par Molière. Le seconde quant à lui est un extrait appartenant à la scène 5 de l’acte IV de la pièce de théâtre Bérénice écrit en 1670 par Racine, le troisième texte est encore un extrait correspondant à la scène 4 de l’acte I de la pièce de théâtre Un chapeau de paille d’Italie écrit en 1851 par Labiche. Et enfin le dernier extrait représente la scène 1 de la pièce

terminé ou parce que des pages ont été perdues)Dans le texte tel qu’il nous est parvenu, Aristote étudie les deux genres littéraires les plus importants selon lui : l’épopée et la tragédie.Définition donnée par Aristote de la tragédie « La tragédie est l’imitation d’une action de caractère élevé et complète, […] dans un langage relevé d’assaisonnements […], imitation qui est faite par des personnages en action et non au moyen d’un récit, et qui suscitant pitié et crainte, opère la purgation propre

les œuvres de situations de rencontre grâce aux personnages. Cela est mis en évidence dans les œuvres de Madame de la Fayette, La princesse de Clèves publié en 1678, puis de Stendhal dans Le rouge et le noir publié en 1832 ensuite de Flaubert dans l’éducation sentimentale édité en 1869 et enfin de Aragon dans Aurélien publié en 1945. Les auteurs abordent la rencontre de manière spécifique. Le jeu de regard et les premières impressions des personnages l’un envers l’autre sont d’abord mis en évidence

Les objectifs de Première La définition de cet objet d’étude « Théâtre : texte et représentation » met en valeur les spécificités de ce genre que vous avez étudié en Seconde dans la perspective des registres (comédie, tragédie). ‡ Il vous est donc nécessaire d’envisager Bérénice dans le contexte de l’histoire littéraire pour le texte mais aussi de garder à l’esprit le problème de la mise en scène de cette pièce. En effet, le théâtre - surtout à l’âge Classique - s’appuie sur un art de l’illusion