Eugène Viollet-le-Duc

essentielles afin de retrouver l’esprit et la vocation du monument. C’est pourquoi, de haute lutte, il impose une vision respectueuse de l’histoire des monuments et l’emploi des architectes et des artisans les plus qualifiés de son temps. Ainsi Eugène Viollet-le-Duc son ami d’enfance se voit confier d’énormes responsabilités. Il restaure entre autres la basilique de Vézelay, la cathédrale Notre-Dame de Paris ou encore la cité de Carcassonne que Prosper Mérimée avait décrit ainsi : « Il y a deux villes

la frivolité du rococo ont laissé la place au doute et les artistes l’expriment chacun à leur manière, sans style commun, ou plutôt chacun son style. Certains privilégient le dessin, d’autres la matière et la touche, d’autres encore la couleur. • Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple, 1830. • • • • A contre courant de l’académisme, le romantique utilise un vocabulaire jusqu’alors inexploré : le rêve, la folie, le doute, la peur, l’angoisse de n’être rien face à une nature déchaînée

maison américaine :addition de pièces - la cheminée est au centre de la maison – échelle domestique : idées dʼadaptat° de lʼarchi au sol et aux hommes La notion de “structure” selon Eugène Viollet-le-Duc Question que se posent les artistes du XIXe siècle : En quel style devons-nous construire ? Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879) : Autodidacte meilleur dessinateur de son époque. “restaurer un édifice, ce n’est pas l’entretenir, (...) c’est le rétablir dans un état complet qui peut n’avoir jamais existé

des plus puissants de la province devait fournir au prince, son suzerain, huit cavaliers d'ost, pendant six semaines, et les entretenir à ses frais. Maison de Laval in Dictionnaire raisonné de l'architecture française du XIe au XVIe siècle, Eugène Viollet le Duc, 1856 Au XIIe siècle, une confrérie apparaît dans l'organisation de l'accueil aux pèlerins. Elle est créée le plus souvent par d'anciens pèlerins, dans le but d'entretenir la dévotion à saint Jacques. Les plus importantes de l'époque sont

l’ordinaire. Désireux de donner de nouveaux fondements à l'art, les artistes de la fin du XIXe s. multiplient textes et interventions et se dotent de nombreuses institutions : revues, expositions, salons, groupes et associations. Le peintre et affichiste Eugène Grasset publie notamment un recueil de botanique appliquée à l'art : la Plante et ses applications ornementales. Le peintre Henry Van de Velde publie en 1895 à Bruxelles ses Aperçus en vue d'une synthèse de l'art, tandis que l'architecte belge Victor

à l’Opéra Le Peletier, l’Empereur souhaite offrir à la haute société une structure plus sécurisée et flamboyante. Au final, ce sont près de 171 concurrents qui s’affrontent sur ce projet délicat et ambitieux suivi de près par Georges Eugène Haussmann. Viollet-le-Duc, qui travaille sur le nouveau Louvre, est le grand favori. Ce qui n’est pas le cas du jeune Charles Garnier qui fait office d’outsider. Mais le Parisien possède un véritable atout : son éclectisme acquis à travers ses années de voyage

projet de statue est confié au sculpteur français, né à Colmar, Frédéric Auguste Bartholdi, le concepteur. Il fut aidé par deux spécialistes: En effet, les choix des cuivres employés pour la construction a été délégué à l 'architecte Eugène Viollet-le-Duc qui utilisa la technique du repoussé. Puis en 1879, Frédéric Auguste Bartholdi , fait appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue et qui imagine un pylône métallique sue lequel sont fixés les plaques

de l’œuvre) fut inauguré le 8 janvier 2010 par Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture. Le chantier a été réalisé par deux jeunes en insertion qui furent par la suite été recrutés en CDI par le Groupe. 2 – Violet le Duc Les archives de l’architecte Eugène Viollet-le-Duc sont entrés dans les collections publiques grâce au mécénat d’Eiffage. La collection est d'une valeur de 1,636 million d'euros. L’Etat détenait déjà une partie du fond, mais elle a pu obtenir la seconde (composée de dessins

Edouard de Laboulaye en 1865. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique du repoussé (qui consiste à travailler à froid, à l'envers, une feuille ou une fine plaque de métal, de manière à faire ressortir une image ou un ornement, à l'aide de divers outils en métal ou en bois). En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. La statue

Charle II disparut à tout jamais. Seul des dessin de François Roger de Gaignières nous en garde le souvenir ainsi que la description faite par Violet le duc dans son dictionnaire raisonné de L'architecture. La disparition de ce magnifique tombeau, unique en son genre, laisse un vide majeur dans la nécropole royale de Saint-Denis. Eugène Viollet-le-Duc envisagea une restitution au milieu du XIXe siècle. Il nous en a laissé ces dessins mais ce projet ne fut pas réalisé. Naissance de la féodalité[modifier]Charles