Euphemisme

- Onomatopée  : désigne un mot créé par imitation d'un bruit ou d'un son Les figures d’atténuation : visent à réduire la force de certains mots ou de certaines expressions - Euphémisme  : expression atténuée d’une idée qui serait choquante, déplaisante ou douloureuse - Litote  : atténuation de l’énoncé visant à dire le moins pour

présente tout au long de la scène → pendant l'agonie → après pour DG qui se maintien en vie → mise ou enterer M. tombeau II – Mort et amour 1 – Opposition dans le lexique : alternance euphémisme et expression directe. → mort de M. = périphrases → incapacité à dire la mort euphémisme → aténuation → ensevelissement = termes positifs directs → devoir de DG → retour sur le deuil 4 ans après 2 – L'amour s'exprime parallèlement à la mort dans cette référence constante au corps

développer l’esprit critique. L’homme de la société ne doit pas avoir de préjugés pour se faire sa propre idée. Ce texte polémique sur la torture déploie tous les trésors de notre imagination. Voltaire part en guerre contre la torture et utilise un euphémisme pour la désigner : elle ne respecte en aucun cas la vie humaine. Ce XVIIIème siècle qui affirme la philanthropie comme une valeur essentielle et recherche le bonheur est en contradiction avec la torture. C’est pourquoi voltaire s’engage contre cette

Manon. Composition et type dominant : Récit très court (résumé) s’adressant à l’auditeur et au lecteur (à la manière d’une autobiographie). Sobriété du récit : Un récit très court, indicible. Champ lexical du corps souffrant pour une agonie. Euphémismes. Registre pathétique : - Champ lexical de la mort - Tendresse des gestes réciproques. - L’acceptation de Manon. - Hyperboles pour traduire l’excès de souffrance - Allitérations en « s ». - Adresses à Renoncourt (pris à témoin) : phrases

dévastation au service du roi ! ▪ « selon les lois du droit public » => il n’y a plus de loi, c’est le chaos, l’anarchie. - Expressions qui minimisent volontairement : « la baïonnette fut aussi la raison suffisante » => euphémisme pour parler d’une véritable tuerie ! = en dire peu pour évoquer beaucoup. - Allusions aux philosophes, comparaison « qui tremblait comme un philosophe » + « raisonner ailleurs des effets et des causes » => les philosophes n’ont rien à

plus il est décrit comme un espèce de gâteau qui le rend encore plus appétissant pour l'Ogre . Ce qui rend comique la fable est aussi le naturel de ce brave Ogre, pour lui croquer le marmot est une chose normale , au v.17 on peut relever un euphémisme , il minimise la chose en disant '' C'est très simple ,pourtant c'est aller un peu vite . '' , il n'a pas encore penser aux conséquences de son acte . Ce n'est pas une chose très maligne à faire s'il veut plaire a la fée . On voit aussi la naïveté

les blessés. + symétrie, de chaque côté 2) la guerre vue comme un jeu - distance : le regard du narrateur embrasse tout le champ de bataille ; a un regard panoramique - les personnages semblent des soldats de plomb : renversèrent (euphémisme pour « tuèrent ») - sujets des phrases sont les noms des armes, pas des soldats qui les actionnent : l’intervention de l’homme semble effacée de la guerre, ce n’est qu’une mécanique inoffensive, sans conséquence qui se met en marche. - le compte

(contraire de ce que l’on pense) Répétition • Parallélisme (répétition de la même construction) • Anaphore (répétition d’un mot ou groupe de mot) • Accumulation • Gradation Exagération/Atténuation • Hyperbole • Euphémisme • Litote (atténuer la réalité en utilisant une tournure négative) • Prétérition (faire semblant de ne pas vouloir dire quelque chose alors que l’on est justement en train) Substitution • Métonymie (remplace une idée par une autre

sourirait un enfant malade ». D’ailleurs, on notera que chaque mention positive (sourire, soleil) est compensée par un terme négatif (malade, froid). D’autre part, le mot « dort » revient avec trop d’insistance : c’est un euphémisme pour signifier qu’il est mort. D’autres euphémismes jalonnent le poème, comme au vers 12 avec « les parfums ne font pas frissonner sa narine » ; cela signifie qu’il ne respire plus. Il en est de même pour l’expression « il est froid » qui renvoie à la rigidité cadavérique

dans les lignes 8, 13, 21 et 31 avec la répétition du sujet « elle », cette anaphore pour aider à comprendre le texte parle toujours du même sujet, l’agonie d’Emma Bovary. Ensuite, un euphémisme à la ligne 7 « je vais m’endormir » qui désigne ce qu’elle va faire quand va mourir : dormir. L’auteur utilise cet euphémisme pour masquer la réalité, elle veut mourir pour s’en aller loin de cette vie qu’elle a menée et qu’elle n’a pas aimée. Enfin, un oxymore à la ligne 21 « geste doux plein d’angoisse »