Évangile selon Luc

personnellement, la bonne nouvelle de l’Évangile (Hébreux 1:1, 2). Elle se résume en peu de mots: le don de ce Fils. — Mais comment faire entrer nos esprits limités dans la connaissance d’une telle Personne? Dieu y a pourvu en nous donnant quatre évangiles afin de nous permettre de considérer la gloire de son Fils sous plusieurs aspects, comme on met en relief un objet de grand prix sous des éclairages différents. Matthieu est l’évangile du Roi. Une généalogie est nécessaire ici pour placer d’emblée

arrestation, la veille de sa mort. Repas au cours duquel il institua l’Eucharistie : lors de la Cène, Jésus rompt un pain en deux et dit « prenez, mangez, ceci est mon corps » et d’un coupe qu’il invite à partager il dit « ceci est mon sang ». Selon les évangiles, ce repas qui réunit les douze apôtres autour de Jésus, dans la chambre haute, ou Cénacle, d’une maison amie de Jérusalem, fut préparé en vue du festin rituel de la Pâque juive. Tous dans ces mêmes textes, porte à croire que l’événement précéda

de l’attention de Dieu aux pauvres : non pas leur valeur religieuse et morale, mais l’initiative de son amour qui se plaît à se porter de préférence là où il y a le plus de besoin, non seulement d’avoir, mais d’être et d’être reconnu et considéré selon son plan de salut envers tous. L’enjeu de la relation aux pauvres n’est pas seulement moral, mais théologique L’image de Dieu est engagée dans la conception que l’on se fait de l’attention de Dieu aux pauvres. C’est un lieu majeur de sa révélation

Introduction aux 3 monothéismes Sources : Denis GIRA et Jean-Luc POUTHIER Les religions d’aujourd’hui. Une histoire pour quel avenir ?, Larousse, 2004 Denise AZRIA et Danièle HERUIEU-LEGER, Dictionnaire des faits religieux, PUF, 2010 I – Le judaïsme 1) Le premier monothéisme Histoire vieille de 4000 ans d’une religion mais aussi culture qui en fait le premier des monothéisme historiquement. C’est la proclamation de l’existence d’un Dieu unique donc, rupture avec jusque là que du

réponse imagée constitue un détour pédagogique. L’autre détour qu’offrent les paraboles ce sont les multiples interprétations possibles(exégèses) de l’histoire. Ex : la Parabole du bon Samaritain (NT, Evangile de Luc, 10, 25-37). Alors qu’un homme le questionne sur l’identité de son prochain que selon le commandement divin je dois aimer comme moi-même, Jésus raconte l’histoire d’un homme attaqué par des brigands. Ce malheureux n’est sauvé que par un homme sur les trois qui le voient. Ce dernier, qui

l’enseignement reçu de l’Eglise. Le compositeur nous dévoile sa sensibilité à travers la forme et permet à l’auditeur même peu averti des choses de la foi, de comprendre intérieurement le sens de ces Paroles du Christ. La Passion du Christ Selon les Évangiles, Jésus fut contraint, après avoir été condamné, à porter sa propre croix jusqu’au mont Golgotha, lieu du supplice. 1ère Parole : ayant refusé de boire le vin mêlé de myrrhe (gomme résine aromatique) qui adoucissait les souffrances des crucifiés

chrétiens qui racontent la vie de Jésus. On les appelle évangiles = la bonne nouvelle. Il ne s’agit donc pas de biographie mais de textes qui visent à susciter la foi chez leur lecteur ; ce sont des textes religieux et non historiques : il faut en tenir compte pour analyser les informations qu’ils révèlent. On dénombre 4 évangiles dans le nouveau Testament : Marc (67, grec, non-juifs), Matthieu (80-90, araméen, chrétiens d’origine juive) et Luc (80-90, grec, public païen cultivé) et Jean avant 100

récit biblique 2.38. Les tables Mul-Apin prouvent que l’ancienne religion mésopotamienne était sabéenne 2.39. Lien entre le sabéisme et l’Histoire, à propos de Nemrod 2.40. La dimension sabéenne du récit de la Création 2.41. Dieu le Père et Jésus, selon l’acception des Gnostiques / Yahvé, Indra et Jupiter, tous dieux mauvais aux yeux de ces mêmes Gnostiques 2.42. Le dieu Christos 2.43. La controverse entre les Fondamentalistes (qui sont ici des « Créationnistes ») d’un côté, et les partisans de

d’hommes illustrent ces propos en ayant subi le pire et ayant trouvé la force du pardon. L’exemple principal nous est apporté par la religion et les paroles du Christ sur la croix : « Père, pardonne leur, ils ne savent pas ce qu’ils font » évangile selon St Luc chapitre 23 versets 33-34, ceci est donc le mystère du pardon, il requiert une véritable dimension psychologique appelée « dimension surnaturelle de la grâce » par Pascal. Demander pardon  c’est alors reconnaître sa faute, assumer sa responsabilité

problème de la foi notamment dans la souffrance. Les références bibliques La présence du biblique est conséquente dans ce roman. Tout le roman en effet se met sous ce signe puisque l’épigraphe du roman, elle-même, est un passage de la bible : Evangile selon St Jean « En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il demeure seul : mais s’il meurt il porte beaucoup de fruits. » Par ailleurs, certains noms de chapitres sont évocateurs : confession d’un cœur