Évangile selon Matthieu

tous ensemble. Ce sont ces dernier livres que l'on appelle canoniques, bien que l'usage les qualifie plus communément de saints. Selon Pierre-Toussaint de Maillane (auteur d'une Histoire du droit canon datant du XVIIIème siècle), ils sont dits Saints, " parce qu'ils sont tels, et par la Sainteté de leur matières et par celles de leurs Auteurs ". Toujours selon cet auteur, les Saintes Ecritures sont " la base du Droit canonique, le modèle et (...) le miroir de toutes les Lois ecclésiastiques

soulignant même des incohérences de dates que l'on peut trouver en opposition dans telle ou telle partie de la Bible (plus particulièrement dans les Évangiles, que l'on peut rapprocher à la Bible) ; ainsi dans l'article Christianisme il soulève : « Les savants se sont aussi fort tourmentés sur la différence des deux généalogies de Jésus-Christ. Saint Matthieu donne pour père à Joseph, Jacob […]. Saint Luc au contraire dit que Joseph était le fils d'Héli [...] ». Finalement, par ces diverses procédés

l'ère chrétienne, l'auteur du livre de la Sagesse le désigne comme le diable celui qui, selon le sens du mot grec diabolos, « se jette en travers » du chemin que l'homme parcourt sur la terre (Sg 2,23ss). En utilisant la ruse et le mensonge, il séduit l'être humain et lui apprend à douter de la confiance que Dieu met en lui. Il incite l'être humain à renier sa condition d'être vivant créé à l'image et selon la ressemblance de Dieu. Il se comporte en adversaire de la vocation de l'homme de vivre

Bible, et un sondage récent de George Barna, appuie cette pensée. « Les recherches de Barna ont montré que 60 pour cent des Américains sont incapables de nommer cinq des Dix Commandements, et que 63 pour cent ne connaissent pas le nom des quatre Évangiles du Nouveau Testament. Quatre-vingt-un pour cent croient que l’expression “Dieu aide ceux qui s’aident eux-mêmes” vient directement de la Bible…. » — La traduction française est la nôtre. Quelle honte ! Quelle témoignage pitoyable de la part de la

par l’attachement manifeste à une personne. A- Qui était Jésus ? Quelle était son attitude face au pouvoir romain ? Peu de sources nous renseignent hormis Le Nouveau Testament (« la nouvelle alliance ») et Les quatre Evangiles (« bonnes nouvelles » en grec) de Matthieu, Marc, Luc, Jean. Pour ce qu’on sait, Jésus naquit à Bethléem (cf. doc. 1) ( ce qui est discuté par les historiens, et d’une conception virginale qui ne peut être confirmée par l’histoire, car cet enseignement relève de la

sentences ne peuvent qu’inquiéter. De fait les sorcières sont en permanence dans l’ambiguïté, leurs propos sont à double sens. Avec elles nous plongeons dans un pseudo mystère, c’est-à-dire que nous devons accepter que leurs propos contradictoires selon la logique se manifestent finalement comme vrais. Comment peut-on admettre cette prophétie paradoxale d’un Banquo plus petit et plus grand que Macbeth ? Il y a là une énigme qui torture la logique et sollicite l’intérêt du spectateur. Toute l’habileté

Personne n'appelait sien ce qu'il possédait : ils mettaient tout en commun… il n'y avait pas d'indigents parmi eux ; ceux qui possédaient de terres ou des maisons les vendaient et venaient en déposer le prix aux pieds des apôtres ; puis on le distribuait selon les besoins de chacun […] »[13] Le rite d’initiation est le baptême, qui confère le don de l’Esprit[14] et qui tire son origine du baptême de pénitence de Jean-Baptiste[15]. Le baptême est donné au nom du Père, du Fils et de l’Esprit et comporte

catabases moins connues : celle de Pythagore (rapportée par Hérodote, Sophocle et Diogène de Laërce), celle d’Er le Pamphylien (racontée par Platon dans La République), celle de Jésus Christ (mentionnée dans l’évangile selon Saint Matthieu, et précisément décrite dans les évangiles apocryphes)… Mais ce thème n’est ni limité à la littérature ni à l’antiquité. L’exemple de l’oracle du héros Trophonios (en Béotie, entre le VIème siècle avant Jésus Christ et jusqu’au IIème siècle) est une représentation

acceptable et l’enseignement officiel ressemble de plus en plus à une rhétorique: irréaliste, impossible à croire et (pour beaucoup) remarquée ‘surtout à cause du hiatus qui existe entre l’enseignement officiel de l’Eglise et son attitude pratique’ ou, selon le mot de Shakespeare, remarquée more in the breach than in the observance’ (Shakespeare). Loyauté vis-à-vis de l’Eglise semble demander de moi que j’accepte le status quo injuste, que je baisse la tête et que je ne secoue pas trop la barque ou que

étoiles et des sept chandeliers d’or. Plusieurs mystères sont révélés dans le livre de l’Apocalypse. Un mystère est une chose cachée, voilée. En ce qui concerne les mystères du royaume de Dieu, ils sont révélés par le Seigneur à ses disciples. Matthieu 13.11 L’apocalypse n’est pas un livre scellé (22.10) quoique certaines choses doivent être tenues cachées jusqu’à leur accomplissement. (Daniel 12.4, 9 – Apoc.10:4) Des différents mystères dont il est fait mention dans le Nouveau Testament, le