Évêque

la guerre de Cent Ans. Capturée par les Bourguignons à Compiègne, elle est vendue aux Anglais par Jean de Luxembourg pour la somme de dix mille livres, et condamnée à être brûlée vive en 1431 après un procès en hérésie conduit par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais et ancien recteur de l'Université de Paris. Entaché de nombreuses irrégularités, ce procès est cassé par le pape Calixte III en 1456; un second procès, en réhabilitation, est instruit, conclut à son innocence et l'élève au rang de martyre

armée. Elle participe aux opérations permettant de libérer Orléans puis Reims. Le 17 juillet, Charles VII est sacrée à Reims mais Jeanne d’arc est capturée et remise par les Anglais à la justice ecclésiastique. Elle est condamnée par Pierre Cauchon, évêque de Beauvais, et son tribunal, et est considérée comme hérétique avant d’être brûlée le 30 mai 1431 à Rouen. Suite à l’annulation du procès en 1456, on assiste au passage de l’histoire au mythe : on célèbre la Jeanne catholique, sainte visionnaire

Vicomte de Carcassonne à l'Abbé de La Grasse. Ces deux textes sont une lettre envoyée par Fulbert de Chartres à Guillaume V d'Aquitaine et une charte d'hommage entre un seigneur et son vassal. Fulbert de Chartres était un evêque du Xème siècle ( 960-1028 ) , nommé évêque de Chartres en 1006 par Robert le Pieux ( roi de l'époque ), un roi capétien , ce dernier a été chancelier du roi et a été nommé par Guillaume V d'Aquitaine trésorier en 1023. Guillaume V d'Aquitaine désirait obtenir des conseils

Martin-Tours.jpg Cet article est une ébauche concernant un évêque. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Fulbert dans sa cathédrale Fulbert de Chartres (vers 960 - 1028) est un saint (saint Fulbert) de l'Église catholique, évêque de Chartres, conciliateur et bâtisseur. Son nom vient du germanique : "Fulc" (peuple) et "Bert" (brillant). Certainement issu d'un milieu modeste, on ignore de quelle région il

professeur de Philosophie au collège du cardinal Lemoine (=évêques ). Il fut aussi avocat de certaines idées qui furent importantes pour la réforme, mais il restera toute sa vie Catholique, se qui montre bien que malgré tout se qu’il entreprend contre l’Eglise, il reste croyant. Il préférait réformer l’Eglise de l’intérieur, certains de ses livres ont même été condamnés pour hérésie. C’est un Ami proche de Guillaume Briçonnet, évêque de Lodève, qui se l’attacha, le produisit à la cour et l’emmena

servi de guide aux hommes. Anat. de la Forge. On vient nous répéter que la comédie corrige en amusant : Castigat ridendo ; il me semble bien plus évident qu'elle amuse sans corriger, quand toutefois elle amuse. Revue de Paris. Cela fâchait le grand évêque de Meaux qu'on appelât le théâtre l'école des mœurs, et il avait boudé Santeuil pour sa fameuse inscription : Castigat ridendo mores. J. Janin. Je n'ignorais pas que la comédie châtie les mœurs en riant : Castigat ridendo mores. J'ai donc ri avec

mort en 1028) au duc d'Aquitaine Guillaume V. L'auteur de cette lettre a d'abord été connu comme chanoine, c'est à dire membre du clergé attaché au service de l'église de Chartres, etécolâtre, maître de l'école monastique de Chartres. Il fut nommé évêque par le roi capétien Robert II en 1006. C'est à ce titre qu'il fut consulté par le duc d'Aquitaine, confronté au refusd'obéissance d'Hugues IV seigneur de Lusignan, sur les obligations du vassal envers son seigneur. Le lien vassalique apparaît au

perspectives d'avenir politique de Drogon étaient très favorables. Un fils plus âgé de Charlemagne a voulu assurer son avenir pour éviter d'en faire un adversaire. Drogon est devenu ecclésiastique en 818, abbé du monastère de Luxeuil en 820 et devint évêque de Metz en 823 puis archevêque en 834 à vie. Son plus jeune frère, Hugues, a été également ordonné. Il est resté extrêmement fidèle à son demi-frère Louis le Pieux et a acquis une forte influence sous lui. L'influence de Drogon a commencé à s'affaiblir

de lui et il est alors devenu l’œuvre la plus célèbre de Holbein. La peinture représente Jean de Dinteville, à gauche, ambassadeur de France en Angleterre en 1533, date de la réalisation du tableau. À droite, se trouve son ami, Georges de Selve, évêque de Lavaur à coté de Toulouse. Les deux hommes, qui regardent le spectateur, sont accoudés à un meuble comportant deux étagères en désordre. Sur l'étagère supérieure, on voit une sphère céleste, des objets de mesure du temps et un livre, disposés

ambassadeur de François I° auprès d'Henri VIII. Il a 29 ans (gravé sur la dague). Il est richement vêtu, il porte une robe courte rouge représentant sa puissance politique et ainsi que la richesse. Il a une fière posture. Georges de Selve : c’est un évêque de Lavaur (région de Toulouse). Il a alors 25 ans. Il est un ami de Jean de Dinteville, et comme lui il est ambassadeur. Sa robe longue représente son pouvoir religieux. Les deux amis s’appuient sur une étagère qui les relient par des objets