Évêque

Clivages sociaux C- Villes Chapitre II : Francs 1 Section I : Mérovingiens 1 I – Le Roi A- Nature juridique a) Caractères germaniques b) Métissage culturel B- Baptême de Clovis a) Cérémonie b) Roi et évêques (Entre 481 et 732) Au milieu du 7e siècle il y a une rupture avec l’antiquité, les noms changent (tria nomina) ce système anosmatique va changer pour le système d’un seul nom (le prénom d’aujourd’hui). De plus, le style de vie romain s’arrête (ils

se fait baptiser mais pas sacrer. Ce qui lui apporte le soutien et l’affection de tous les chrétiens de la gaule romaine. Il se fait baptiser avec cent guerriers de sa garde rapprochée. Ce baptême a lieu à Reims et Clovis reçoit le baptême d’un évêque de Gaule célère : l’évêque Rémi. Ce baptême a lieu le jour de Noël entre 496 et 499. L’union est telle derrière Clovis que celui-ci décide d’entreprendre une conquête de plus grande envergure et va attaquer le roi des Wisigoths : Alaric II. A bataille

possédait précédemment la papauté. Le pape est un évêque étranger, et ne peut plus désormais intervenir dans les affaires internes de Église d'Angleterre. D'une certaine façon, le schisme est alors consommé ; cependant, Henri veut, à tout prix, maintenir, parmi ses sujets, la foi catholique. Ce schisme ne connaît aucune résistance dans le peuple qui n'apprécie guère l'autorité abusive de la papauté. Seuls, quelques prêtres et quelques évêques résistent au roi, en refusant de prêter le serment

misères du temps et c’est à cette époque carolingienne que la hiérarchie de l’Eglise commence à s’organiser. A la tête de l’Eglise, on trouve le pape et la primauté pontificale commence à être reconnue dans tout l’occident. Sous le pape, on trouve les évêques, en dessous les curés (au niveau local de l’église). Donc l’Eglise a une organisation centralisée avec un seul chef. Donc pendant des siècles, face à l’émiettement féodal, l’Eglise incarne l’universalisme. Malgré la féodalité, l’Eglise conserve ses

confirmation ne formaient qu'une seule célébration lors de la veillée pascale. Au fil du temps, le christianisme, dans ses époques primitives, qui était initialement un phénomène urbain, s'est progressivement répandu dans les campagnes. Par conséquent, les évêques ne pouvaient plus célébrer toutes les messes de Pâques ni baptiser tous les catéchumènes qui étaient devenus trop nombreux et se trouvaient à des endroits trop éloignés. Par ailleurs, la mortalité infantile élevée poussait les gens à baptiser leurs

est reconnu comme étant l'un des meilleurs chroniqueurs du XVème. Après des études à l'université de Paris il entre dans les ordres et réside quelques années à Rome à la cour d'Eugène IV. Grand prélat nourrit de culture classique , il est en 1447 évêque-comte de Lisieux et il est conseiller du Roi Charles VII et s'occupe des affaires publiques notamment des mémoires pour la justification de Jeanne d'Arc. Ce qui nous intéresse le plus dans ses œuvres qu'il a rédigé c'est sans aucun conteste les 5

comme les protecteurs et les chefs de la chrétienté, les charges ecclésiastiques sont de gros enjeux politiques. Le résultat de cette situation est que les souverains carolingiens attribuent les charges ecclésiastiques, ils choisissent qui devient évêque, abbé, et cela ne scandalise personne. Cela leur permettait d’éviter la patrimonisation des pouvoirs. Les conciles nombreux au temps carolingien, qui émettent les documents capitulaires c’est-à-dire des normes en matière religieuse, sont convoqués

Durant sa jeunesse il reçoit une éducation religieuse par laquelle il devient chanoine à la Cathédrale d’Osma, et fidèle compagnon de son évêque Diego dans ses voyages. Il fait un voyage au Danemark, puis à Rome en passant en terre Languedocienne acquise au Catharisme, c’est un tournant de sa vie, il découvre sa vocation de prêcheur. Avec Diego son évêque, ils reçoivent la mission d’accompagner les Cisterciens qui tentent en vain de rechristianiser les Cathares. En 1206, Dominique s’installe

contemplation à Cluny - vie essentiellement contemplative - règle de St. Benoît  un peu déformée + de prière que de travail manuel c) le succès de Cluny - l’exemption de Cluny  monastère directement soumis au pape - abbé seul peut choisir évêque = extraordinaire - a quand même l’appui des seigneurs féodaux - lignage d´ abbés forts II) Le XIème siècle – Le tournant - avant notre cadre chronologique : déjà mesures pour améliorer l’état de l’Eglise (cf. définition : réforme) mais seulement

les canons. B) La législation des papes, les décrétales Décisions formulées dans des lettres émanant des évêques de Rome qui a partir de la fin du IVème siècle commencent à être appelées « papam » par les autres évêques de la chrétienté. 380 : Théodose dans l’édit Théssalonique secrète que la religion officielle de l’empire serait celle de l’évêque de Rome. A partir de ce moment si un évêque a un doute sur sa décision il écrit a l’évêque de Rome pour lui demander conseil : ils répondent en formulant