Evo Morales

l’homme. Il ne peut donc pas tout faire comme il le désire et cela lui enlevé une part de liberté. Pour Freud, la société impose certaines règles morales pour limiter la force du principe de plaisir qui anime tout être humain. Mais aussi, pour freiner les désirs qui ne sont pas conciliables avec la vie sociale, l’homme convient de certains devoirs moraux que l’individu va intérioriser dans son éducation. De plus, l’homme est aussi déterminé par certaines choses dont il ne peut rien décidé. Par exemple

une liberté durable. Etre raisonnable permet de diversifier nos choix contrairement au fait de céder à l’instinct qui, on le voit chez les animaux, les font toujours agir de la même manière. Mais la responsabilité limite la liberté par les devoirs moraux et civiques qu’elle m’impose. Toutefois, à l’intérieur des limites, il y a place pour la diversité si l'on fait appel à notre ingéniosité. Alors il vaut mieux être responsable pour être libre, mais cela ne doit pas m’être imposé par la force : c’est

Moi, N..., j'embrasse et reçois fermement toutes et chacune des vérités qui ont été définies, affirmées et déclarées par le magistère infaillible de l'Eglise, principalement les chapitres de doctrine qui sont directement opposés aux erreurs de ce temps. Et d'abord, je professe que Dieu, principe et fin de toutes choses, peut être certainement connu, et par conséquent aussi, démontré à la lumière naturelle de la raison "par ce qui a été fait" Rm 1,20 , c'est-à-dire par les œuvres visibles de la création

qu’il doive être excusé en raison de sa faiblesse, ne peut cependant jouir de la paix de l’âme, de la connaissance et de l’amour de Dieu, mais périt nécessairement. »20 Il n'est donc pas nécessaire de présupposer le libre-arbitre, la responsabilité morale conçue au sens « judiciaire », et par conséquent aussi la culpabilité, pour appliquer un châtiment. Mais, et en cela Spinoza s'accorde avec Kant, quiconque s'abstient d'un crime par crainte de châtiment ne peut être dit « agir moralement » (Lettre

trente à la philosophie existentialiste et à la pensée marxiste; ils évoquent habituellement le nom de Jean-Paul Sartre. Toutefois, le concept d'engagement est employé rétroactivement pour qualifier des textes anciens qui résultent d'une intention morale ou politique d'agir sur la société.Cette catégorie de textes ne relève pas de la littérature populaire, il ne s'agit pas d'une littérature populaire au sens où elle est produite «spontanément» par le «peuple» hors des canons de l'«institution» lettrée

fois en 1678. Cette fables signifie une histoire de différents conseillers qui se sont présenter au roi. Problématique : En quoi le conte sert-il la visée satirique de la fontaine ? Qui est visé par cette satire ? Plan : I- Le conte II-La morale a)Les personnages -Le héron. « Le héron au long bec » (v.2) -La carpe. «  Ma commère la carpe » (v.5) -Le brochet « Avec le brochet » (v.6) -Des tanches « Des tanches qui sortait du fond de ces demeures » (v.14) -Des goujons « Du goujon ! »

facette qu'elle nous indique dans sa tirade au vers 316 : ''Un reste de chaleur tout pret à s'exhaler'', ce qui reflète parfaitement la tragédie. Racine à atteint un sommet de son art avec Phèdre, celui de la tragédie. Il insiste sur la valeur morale de son oeuvre en écrivant dans son préface : ''Les passions n'y sont représentées aux yeux que pour montrer le désordre dont elles sont cause : et le vice y est peint partout avec des couleur qui en font connaitre et hair la difformité. C'est là proprement

rédigée : Le poème s'ouvre sur l'apostrophe « Frères humains » qui favorise la communication à double titre. Elle a une fonction phatique puisqu'elle sert d'abord à établir le contact avec l'allocutaire et une fonction conative puisque, par sa charge morale et sentimentale, elle le prédispose à bien recevoir le message. Le lecteur est d'emblée fixé sur la situation de communication. Les deux premiers vers Frères humains qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis. précisent qu'il

2- Jeremy BENTAM Jeremy Bentham à laisse à la postérité d’œuvre monumentale INTRODUCTION AU PRINCIPE DE LA MORALE ET DE LA LEGISLATION paru en 1789 et LE PLAN POUR LA REFORME PARLEMENTAIRE publie en 1817.A travers ces ouvrages, Bentham y apparait comme un critique de la souveraineté du peuple, un critique du droit naturel, et un promoteur de l’utilité comme principe. Pour lui, l’utilité ou ce qui peut apporter le plus grand bonheur doit être le principe de notre action .Il théorise ainsi la liaison

véracité, sincèrement ; 109 1) objectivement 1a) ce qui est vrai quelle que soit la considération à - passe le test du temps, n’est pas soumis au parti pris. 1b) ce qui est vrai dans ce qui appartient à Dieu et aux devoirs de l’homme, vérité morale et religieuse 1c) la vérité enseignée dans la religion chrétienne, appuyée sur Dieu et l’exécution de ses desseins à travers Christ, dictant les devoirs de l’homme, rejetant les superstitions des païens et les inventions des Juifs, et les opinions