Exécution de Louis XVI

rappeler à l’ordre les parlementaires. C’est ce que l’on appel « la querelle du greffe et de la couronne ». Il y a un exemple très concret de cette théorie des classes. Il s’agit de l’affaire de Bretagne qui donnera suite à une cinglante réponse de Louis XV, la séance de la flagellation. L’affaire de Bretagne est politique. Le parlement conduit par le Procureur de la Chalotais qui accuse le Duc D’Aiguillon (gouverneur de la province donc représentant du roi) de s’être livré à des actes arbitraires

guerre américaine à laquelle la France a participé a coûté cher (2Milliards de livres), soit 4 ans de recettes, l’État doit rembourser ses dettes qui s’élèvent à la moitié de ses revenus. L’impôt rentre mal. D’où l’idée souvent revenue (déjà sous Louis XV) de faire payer les riches c'est-à-dire d’abolir certains privilèges. Le Parlement de Paris refuse au nom de la défense des libertés (comprendre des privilèges) le bras de fer s’engage avec le roi, le 7 juillet 1788, c’est la journée des Tuiles

La guerre est déclarée car le roi souhaite que les monarchies étrangères interviennent afin de l'aider à réimposer sa monarchie absolue. Ceci explique la fuite du roi chez son beau-frère autrichien. C'est alors que l'Autriche vient en aide à Louis XVI. En avril 1792, la guerre est déclarée alors que l'armée française est très mal organisée ; ce qui provoque des tensions. En effet, la guerre coûte cher en argent et est difficile à organiser et à approvisionner en armes et en nourriture. En

gestes. En 1791, Olympe de Gouges, réclame l’émancipation des femmes avec « les droits de la femme et de la citoyenne. » qu’elle envois à la Reine. Elle fût guillotinée en 1793 pour avoir pris la défense de Louis XVI. Elle eut droit à une éloge funèbre le lendemain de son exécution « Rappelez-vous l’impudente Olympe de Gouge, qui la première institua des sociétés de femmes et abandonna les soins du ménage pour se mêler de la République et dont la tête est tombée sous le fer vengeur des lois…

Intro : En 1789, 28 millions de Français vivent en monarchie sous Louis XVI. La dynastie capétienne, l’Ancien régime règne depuis 800 ans. La France est une nation organisée, la société est divisée en 3 ordres : le clergé, la noblesse et le tiers état , les 2 premiers étant privilégiés. Seulement la société depuis 800 ans a évolué et la nécessité de réformes est ressentie par tous, au milieu de ce bouillonnement des idées, influencé par la pensée des Lumières (quoiqu’elle ne soit diffusée que dans

nom du comité de défense, un rapport sur nos relations avec l'Angleterre, et dans le procès de Louis XVI, s'éleva si éloquemment au nom de la politique, contre la mort du roi, que celui-ci, en apprenant son arrêt s'écria: «Je croyais que M. Brissot m'avait sauvé. » Brissot vota le renvoi aux assemblées primaires, et répondit, au 3e appel nominal : « Dans l'opinion que j'ai présentée, j'ai déclaré que Louis paraissait coupable du crime de haute trahison, qu'il méritait la mort, « J'étais, et je suis

qui débuta avec l’entrée des troupes versaillaises dans Paris le 21 mai pour s’achever avec les derniers combats au cimetière du Père-Lachaise le 28 mai. Les témoins évoquent tous de nombreuses exécutions sommaires de la part des troupes versaillaises. On évoque, selon les sources, de 10 000 à 25 000 exécutions sommaires, viols, meurtres d’ouvriers communards durant la semaine sanglante. En contrepartie, il faut noter que les Communards détruisirent une partie de Paris, notamment en incendiant volontairement

ces trois documents mis à notre disposition.Rédigés entre 1929 et 1998, il s'agit d'un extrait du dernier jour d'un condamné de Victor Hugo, d'une chanson «  l'assassin assassiné » de Jean loup Dabadie et d'un article de journal intitulé «  une exécution très clean » d'Alain Rollat. Nous nous demanderons donc quels sont, ici , les procédés utilisés pour dénoncer cette pratique. Notre réponse s'axera sur 3 parties : La force de la persuasion, la présence de l'ironie et enfin le paradoxe entre le sujet

l'article relatif à la peine de mort : "Le criminel sera décapité ; il le sera par l'effet d'un simple mécanisme." Le Code pénal de 1791 précise que "tout condamné à mort aura la tête tranchée", suivant une formule devenue célèbre. C'est alors à Antoine Louis, secrétaire perpétuel de l'Académie de chirurgie, que l'on s'adresse pour la réalisation de ce "simple mécanisme". N'ignorant sans doute pas l'existence ancienne d'instruments à décapiter en Europe, il conçoit une machine et s'adresse d'abord au charpentier

petit-fils, Louis IX, signe enfin la paix avec les Plantagenêt. Il affirme le droit du roi de légiférer dans tout le royaume, y compris dans les grands fiefs quand l'intérêt commun l'exige. Il met en circulation une monnaie royale stable et fiable, le gros tournois d'argent valable dans tout le royaume. Il place définitivement la monarchie au-dessus du bien commun. Ses légistes affirment que rien ne peut justifier la rébellion d'un vassal et qu'aucun évêque ne peut excommunier le roi. Louis IX se croise