Exemple De Diérèse

de français Considérations générales : Je prends en compte les objectifs de l'épreuve • l'épreuve orale est une démonstration de ma capacité à analyser un texte littéraire • mon interprétation du texte est personnelle ; elle se fonde sur des exemples précis • je n'oublie pas de prendre en compte la question posée par l'examinateur. • je peux procéder de 2 façons différentes : soit en faisant une explication linéaire soit plus synthétiquement, en faisant une lecture méthodique (à privilégier)

idéal; J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Diérèse et synérèse : Exemple : prononciation de "une liaison" En faisant la diérèse : une [li][ai]son -> 3 syllabes En faisant la synérèse : une [liai]son -> 2 syllabes Hémistiche et césure : L'hémistiche est la moitié d'un vers. Il est marqué par une césure. Exemple : Qui n'a pu l'obtenir || ne le méritait pas Harmonie sonore :

compte pas. - A l’intérieur du vers, le e se prononce s’il précède une consonne. Il compte alors pour une syllabe. - A l’intérieur du vers, le e ne se prononce pas s’il précède une voyelle. Il est élidé : c’est le phénomène d’élision. Exemple : « Beaux et grands bâtiments, d’éternelle structure, Superbes de matière et d’ouvrages divers, Où le plus digne roi qui soit en l’univers Aux miracles de l’art fait céder la nature. » (vers de Malherbe, fondateur de l’usage classique,

l’ambre, la musc, le benjoin et l’encensVers 9 : parfums frais Chair d’enfants Vers 8 : les sonsVers 14 : chantentVers 5 : longs échos Versification : alexandrin/ rythme : binaire, enjambement/ rimes : embrassés, croisée, suivies/ diérèse Exemples / RelevésProcédésAnalyseVers 1 : La nature est un temple Vivants piliers Est Vers 2 :Confuses Vers 3 :Passe Forêts de symboles1er quatrain Vers 5 : Se confondent Ténébreuse et profonde Nuit Vers 7 :Nuit clarté 2ème quatrain Vers 9 :Des parfums

: figure par laquelle  un orateur ( ou poète )  se détourne de son développement, l' interrompt pour s' adresser à une personne où à une chose personifiée. Assonance : Son voyelle qui se répète Césure : coupe principale du vers Diérèse : On appelle diérèse la séparation en deux syllabes de 2 voyelles en contact Distique : Strophe de deux vers Enjambement : le mot désigne le fait qu 'une phrase se poursuit d' un vers sur l' autre sans que l' on puisse marquer une pause Hémistiche

4ème vers : coupe régulière. Perception auditive positive « chante » 2ème Quatrain : * 5ème vers : personnification « bienheureuse », connotation positive, coupe du mot cloche * 6ème vers : connotation positive * 7ème vers : religieux : diérèse. Fidèlement : positif, idéal religieux * 8ème vers : comparaison : ainsi que, la cloche, vielle comme le vieux soldat. 1er Tercet : * 9ème vers : Anacoluthe, MOI. Analogie avec la cloche fêlée. Ennuie, le spleen ? * 10ème vers : les

Le "e" muet qui s’élide dans trois cas : en fin de vers, avant un mot commençant par une voyelle, devant un mot commençant par un "h" muet. • La diérèse. On compte pour deux syllabes deux voyelles voisines comptant d’ordinaire pour une seule syllabe. Par exemple : Dame du Ciel, Régente terrienne. (Villon) • La synérèse. C’est l’inverse de la diérèse : on compte pour une seule syllabe deux voyelles qui comptent d’ordinaire pour deux syllabes. Tu vis hier le Missouri/Et les remparts de Paris. (Laforgue)

prononce donc pas devant une voyelle et en fin de vers. « J’ai rêvé dans la grott(e) où nage la sirèn(e) »[El desdichado », Nerval] La diérèse : Elle permet de prononcer séparément deux sons habituellement groupés, pour respecter le mètre du poème. Ex : Li/on au lieu de Lion. « Les sanglots longs/ Des violons / De l’automne » [« Chanson d’automne », Verlaine] La diérèse est un procédé de mise en relief visant à attirer l’attention du lecteur sur un mot important. La synérèse : elle permet au contraire

classique. Ses alexandrins sont généralement coupés en deux hémistiches égaux, mais peuvent parfois être éclatés entre deux interlocuteurs quand le dialogue est vif. Les enjambements sont rares. On constate le recours aux habituelles licences poétiques (diérèses ; orthographes d’«encor», de «jusques»), et aux inversions qui servent surtout à jongler avec les mots pour placer à la rime celui qui convient («Rome le justifie. / Rome à trois affranchis si longtemps asservie» [vers 199-200]). Racine déploya

français ne se prononce pas toujours . ( exemple : riche ) en cas de fin de vers = on ne le compte pas à l'interieur du vers = si il est suivi d'une consonne , il compte si il est suivi d'une voyelle , il ne compte pas ( Elision ) 2 ) La diérese et la synerese se passe quand une voyelle suit un i , u ou le son ou si le groupe compte une seule syllabe on appelles ça une synerese si le groupe compte en deux syllabe on appelles ça diérese jusqu'au 19eme siecle, il n'y avait pas