Exemple De Diérèse

cet oeil : son incertitude, appuyée par la diérèse «mystéri-eux» (qu’il faut respecter pour que le vers ait ses douze pieds), ses variations constantes, sa versatilité inquiétante. Et, au dernier vers de la strophe, se dessine déjà la correspondance entre la femme et le ciel. La deuxième strophe, établissant une correspondance entre cette femme et une atmosphère où sont atténuées la lumière, la chaleur et la visibilité («jours blancs, tièdes [autre diérèse] et voilés»), il montre son effet nocif (thème

règle de la diphtongue : On appelle diphtongue deux voyelles qui se suivent à l’intérieur d’un mot (exemples : luire, adieu). Elles peuvent être prononcées en une ou deux émissions de la voix (Lui/re ou lu/i/re) et compteront selon le cas pour une ou deux syllabes. Important : C’est le nombre total de syllabes du vers qui indique si la diphtongue doit être lue comme une synérèse ou une diérèse. On appelle synérèse une diphtongue prononcée en une seule émission de voix, ce qui équivaut à grouper

acentue l’impression de diversité et atteste du brio du fabuliste-poète.Arrêtons nous aussi sur les diérèses : « Lion », « Consolation », « affliction », la prose n’a pas ces ressources.Ici , la forme poétique est porteuse d’un sens didactique et satirique, l’allongement de sa désignation tout comme l’aspect verbeux , voire contre-productif des conventions sociales face à la mort est accentué par les diérèses suivantes.On pourrait être aussi sensible à des jeux sur la rime « être parêtre » qui montre le

en poil, d'autres des "casques polis" d'acier (v. 16). Hugo parle même des "guêtres de coutil " blanches des grenadiers (v. 13). L'origine de la glorieuse Garde ne lui échappe pas. Formée en grande partie des vétérans d'illustres victoires, par exemple Rivoli (1797 contre les Autrichiens en Italie) ou Friedland (1807 contre les Russes en Prusse-Orientale), elle acquit une telle renommée dans toute l'Europe que certaines batailles changeaient de face dès son apparition. Les horreurs de la guerre

disposition concerne non seulement les rimes embrassées mais aussi éventuellement les sonorités). Rythme ternaire : consiste à faire se succéder trois éléments (adjectifs, noms, verbes, propositions, etc.) ; procédé fréquent dans le style oratoire, par exemple celui des discours solennels. Ex : il se mit à gémir, à soupirer, à se plaindre. Gradation : consiste à faire se succéder des termes dont le sens est de plus en plus fort (dans ce cas : gradation croissante ou crescendo ou ascendante), ou de moins

préconçue. Posez-vous vraiment la question formulée par le sujet. S'il s'agit d'une citation, mobilisez vos connaissances sur son auteur, l'œuvre dont elle est issue, etc. Arrêtez-vous sur chaque terme du sujet et demandez-vous ce qu'il implique. Par exemple, la question « dans quelle mesure… » n'appelle pas le même type de réponse que la question « pourquoi » ; l'expression « peut-on vraiment dire » invite à se demander qui « dit » cela et pourquoi, etc. Interrogez-vous sur ce que l'on attend de votre

occupent dans le vers. les pauses : ce sont des coupes dans le vers qui isolent des groupes de syllabes. 1) Le décompte des syllabes : Pour compter le nombre de syllabes à l’intérieur d’un vers, il faut connaître quelques règles: a) Il faut, par exemple, savoir déterminer les moments où le e est muet et ceux où il est vocalique, c’est-à-dire les moments où il se prononce : Les syllabes terminées par un e muet s’élident devant un mot commençant par une voyelle ou un [h] muet. Cela signifie qu’il

occupent dans le vers. les pauses : ce sont des coupes dans le vers qui isolent des groupes de syllabes. 1) Le décompte des syllabes : Pour compter le nombre de syllabes à l’intérieur d’un vers, il faut connaître quelques règles: a) Il faut, par exemple, savoir déterminer les moments où le e est muet et ceux où il est vocalique, c’est-à-dire les moments où il se prononce : Les syllabes terminées par un e muet s’élident devant un mot commençant par une voyelle ou un [h] muet. Cela signifie qu’il

dans/ les/ fon/tai/nes/ bleues Là /-bas/ sous/ les/ dat/tiers/ des/ pan/thè/res/ con/nues Don/ne/-lui/ tout /de/ mê/me à/ boi/re /dit/ mon/ père A la Diérèse et à la Synérèse : La nécessité d’un nombre régulier de syllabe peut conduire à dissocier une syllabe habituellement groupée, on dit qu’il y a diérèse (li-on au lieu de lion). Lorsque le groupe de voyelles compte pour une syllabe, on dit qu’il y a synérèse (lieux au lieu de li-eux). Ex : la nation chérie a violé

cet oeil : son incertitude, appuyée par la diérèse «mystéri-eux» (qu’il faut respecter pour que le vers ait ses douze pieds), ses variations constantes, sa versatilité inquiétante. Et, au dernier vers de la strophe, se dessine déjà la correspondance entre la femme et le ciel. La deuxième strophe, établissant une correspondance entre cette femme et une atmosphère où sont atténuées la lumière, la chaleur et la visibilité («jours blancs, tièdes [autre diérèse] et voilés»), il montre son effet nocif (thème